vendredi 8 novembre 2024
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Noël dans l’air – « Plus belle la vitrine » : des commerces jouent le jeu à travers tout Marseille

© ACP

L’Association des Commerces Positifs (bien connue des commerçants du centre-ville) lance la 3ème édition de « Plus belle la vitrine ». Forte de son succès des années précédentes, elle fait entrer dans la boucle des boutiques de toute la ville de Marseille, alors que l’événement ne concernait auparavant que le centre-ville.

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« La première année, on parle de 30 boutiques du centre-ville, rappelle Marie-Pierre Cartier, co-fondatrice de l’Association Commerces Positifs. Rapidement, on passe à 130, avec beaucoup de demandes de l’extérieur du centre. » Le principe de « Plus belle la vitrine » : les commerçants décorent leur vitrine ; des étudiants de deux classes du lycée Peguy et Saint-Exupéry (soit une soixantaine d’élèves) ont pour mission de venir prendre des photos sous tous les angles, puis de les poster sur les réseaux sociaux. Les commerces bénéficient ainsi d’une belle mise en valeur… qu’ils doivent mériter ! L’initiative est clairement source de dynamisme.

Encourager et récompenser

Il faut dire que les commerçants sont ravis de l’attention qui leur est accordée. Quatre prix, décernés début janvier, viennent récompenser les efforts des vitrines élues par un jury. Ce dernier est composé d’acteurs de la ville qui connaissent bien le monde des petits commerces (Guillaume Sicard, président de la fédération Marseille centre ; le président de la Chambre de Commerce par exemple). Un prix spécial ; un prix de l’esprit de Noël ; un prix de l’esprit de créativité ; un prix du public (la photo la plus aimée sur Instagram).

© ACP

Mais plus que les prix qui récompensent, c’est l’état d’esprit qui est apprécié : pour les commerces, décembre est le plus gros mois de l’année. « Ils ont envie que les gens regardent de tous leurs yeux. Pour ma part [elle gère un salon de coiffure], rien ne me fait plus plaisir que quand les enfants s’arrêtent la bouche grande ouverte devant ma vitrine », sourit Marie-Pierre Cartier.

Le sens de la fête

De la décoration traditionnelle à l’innovation du côté des « concept stores », c’est l’imagination et l’esprit de la fête qui réunissent les commerces participants de « Plus belle la vitrine ». « L’Association Commerces Positifs a exactement été créée pour cela, résume la co-fondatrice ; du festif, de la joie, du lien : pour les commerces, c’est gratuit et spontané. » Nombreux sont les commerçants (dans une période qui reste difficile pour eux), à vouloir montrer aux Marseillais et aux acteurs de la ville que les boutiques sont aussi là… pour le plaisir des yeux !

Jeanne RIVIERE

Avant-match – OM-Troyes : réaction attendue !

© OM / Twitter

Ce dimanche 28 novembre, l’OM reçoit Troyes pour le compte de la 15ème journée de Ligue 1. L’Europa Ligue derrière nous, les Olympiens doivent tout mettre en œuvre pour rectifier également le tir en championnat. Ce n’est pas la crise en Ligue 1 ; l’OM pointe à la 5ème place, mais nos joueurs ne sont pas sur une bonne dynamique, 6 petits points sur 12 possibles. La dernière victoire remonte au 31 octobre dernier, avec une courte victoire 1 à 0 sur la pelouse de Clermont.

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Des retours probables

Certains absents lors du dernier match devraient permettre à l’OM de retrouver de la confiance et de la sérénité dans un groupe en perte de vitesse. Une remise en question générale doit être faite, à commencer par le coach Jorge Sampaoli qui est apparu sans solution et dont les choix du système de jeu par rapport aux joueurs sur le terrain ne paraît pas adapté.

Equipe proposée par le coach Fabrice Huart © DR

Le retour du meneur de jeu Dimitri Payet, dont l’OM semble dépendant, mais également celui de Under, véritable détonateur de l’attaque olympienne, devraient nous permettre de trouver des solutions. Absent également à Istanbul pour cause de suspension, Valentin Rongier très en forme nous donnera de l’équilibre autant sur l’animation offensive que défensive.

Du côté de l’ESTAC

Ce n’est pas la folie du côté de l’ESTAC : ils pointent à la 15ème place, leur dernier fait d’arme remonte au 24 octobre avec une victoire 2 à 1 sur la pelouse de Reims. Ils ont tout de même obtenu un probant match nul face à l’équipe en forme du moment : le stade rennais. De plus, Laurent Batlles, jeune entraîneur qui prône le bon jeu, peut venir jouer les trouble-fêtes malgré de nombreux absents, donc méfiance.

Equipe probable © DR

Peu importe la manière !

L’OM doit s’imposer à domicile peu importe la manière ; pour cela, un sursaut d’orgueil serait le bienvenu. Le public toujours présent en nombre sera attentif à la réaction du groupe : attention aux faux pas qui pourraient plonger l’OM dans une crise.

Victoire de l’OM 3 à 1

Fabrice HUART

Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.

OM/Troyes : Sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match ?

© DR

L’OM reçoit ce dimanche 28 Novembre. Le coup d’envoi sera donné à 20H45, et le match diffusé en direct sur Amazon Prime Vidéo.

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Hyères – « La Banque », un nouveau musée à la croisée des temps et des arts

André Gouirand, "Cannes, vue de La Napoule, 1890. Collection du musée des explorations du monde, ville de Cannes © Mairie de Cannes / C. Germain

A la croisée des paysages, des ambiances et des époques, Hyères : il n’est pas étonnant que tant d’artistes de la région et d’au-delà soient tombés amoureux de ce coin de paradis où la lumière est exceptionnellement dorée. Créé en 1883, le musée de la commune varoise était tombé en sommeil depuis une vingtaine d’années.

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Le nouveau musée de la ville, dont l’inauguration a lieu fin novembre, veut ressusciter l’histoire de son passé culturel : baptisé « La Banque, musée des cultures et du paysage », il rassemble désormais sous son toit des centaines d’œuvres issues de tous les domaines (beaux-arts, sciences naturelles, archéologie, photographie…) Les collections hyéroises y seront mises à l’honneur, et d’autres expositions seront accueillies sur le lieu.

Banco

Un lieu d’ailleurs… un peu particulier, qui conserve la trace de sa précédente fonction. Le site a en effet été édifié en 1925 pour accueillir une succursale de la Banque de France. D’inspiration néoclassique, il a été acquis en 2004 par la ville et transformé par Alain-Charles Perrot, architecte en chef des Monuments Historiques. Les visiteurs se promènent ainsi entre la caisse auxiliaire (dévolue au rangement des billets), transformée en centre de documentation, et la salle des coffres, avec les collections du musée.

Henri-Edmond Cross, Baie de Cavalière ou La Plage de Saint-Clair, 1906-1907. Collection Musée de l’Annonciade, Saint-Tropez © Pierre-Stéphane Azema

Entre histoire et modernité

L’une des principales difficultés, étant donné justement l’originalité du lieu, était de réussir à rassembler avec délicatesse les chefs-d’œuvres de peintres des siècles précédents, tout en laissant une place à la modernité du projet. Le jardin méditerranéen (anciennement jardin à la française) en est l’une des manifestations. L’œuvre majeure d’Oscar Dominguez, « Le Chat » dans sa version originale, y a été installée. Face au jardin, la création d’une ombrière sur la terrasse sud constitue également un geste architectural novateur.

Avec le chemin de fer, le sud devient à la mode !

Pour célébrer la renaissance de son musée, la ville de Hyères accueille une exposition exceptionnelle. Cette dernière évoque, entre terre et mer, la découverte des paysages méditerranéens par les peintres entre 1850 et 1950. Une large palette chronologique, donc. Citons tout de même quelques noms : parmi les artistes du sud, Paul Guigou, Emile Loubon, Jean-Baptiste Olive. Et puis, avec la mise en place toute fraîche de la ligne Paris-Marseille, la Méditerranée devient très à la mode ! Elle attire touristes aristocrates et bourgeois, collectionneurs et peintres confirmés. Le rejet du simple travail en atelier amène ces derniers « sur le terrain » : d’Auguste Renoir à Paul Signac, d’Henri-Edmond Cross à Louis Valtat. A Paris, on découvre les couleurs de ce sud ignoré.

© Musée de Hyères

L’attirance s’accroît au début du XXème

Un nouveau pas est franchi à partir du début du XXème siècle. Les artistes se régalent de couleurs, qui deviennent prétexte à toutes les originalités. La Méditerranée s’impose comme le motif décliné par les peintres, et dans lequel les sujets disparaissent la plupart du temps. Pierre Bonard, Emile Othon Friesz, Raoul Dufy, Picasso… les artistes poursuivent une quête de la lumière qui est aussi symbole d’introspection et de « lucidité » (du latin « lucidus », « brillant »). Ce qu’il en ressort appartient à chaque artiste : douleur, joie ou mysticisme.

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Un acteur culturel majeur du territoire

« L’ouverture de La Banque, musée des Cultures et du Paysage peut apparaître comme une parfaite illustration de la volonté d’Hyères de rester fidèle à son histoire et de cultiver son identité, tout en offrant son patrimoine en partage », résume Jean-Pierre Gira, maire de Hyères. Le nouveau musée se veut un trait d’union entre l’histoire et le monde actuel, et entre les diverses formes de beau, tout simplement.

Jeanne RIVIERE

Nice-Cannes : J-2 avant l’un des plus importants marathons de France

© Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes

Le dimanche 28 novembre, 10 000 coureurs et 20 000 spectateurs sont attendus pour le retour du « marathon des Alpes-Maritimes », qui fête sa 13ème édition. De Nice à Cannes, les coureurs passent par Saint-Laurent-du-Var, Cagnes-sur-Mer, Villeneuve Loubet, Antibes-Juan-les-Pins et Vallauris-Golfe-Juan. Le top départ sera donné à 8 heures de la Promenade des Anglais, et l’arrivée à Cannes se fera devant l’hôtel Martinez.

Trois épreuves au choix sont programmées : 2 x 21,1 km pour 2 coureurs. Depuis Nice jusqu’à Villeneuve-Loubet (20 km) ; et enfin marathon-relais, de 3 à 10,7 km pour une équipe de plusieurs personnes.

« Gardons une COP d’avance » : la Région Sud s’engage pour la gestion des déchets

© Pxb

La Région Provence-Alpes-Côte d’Azur est l’une des plus belles de France, et on ne se lasse pas de le répéter. Aujourd’hui, à l’heure où les enjeux environnementaux sont planétaires, il importe d’agir, chacun à son échelle. La Région et ses partenaires s’engagent pour faire de notre territoire la première  région éco-responsable de France.

En trois ans, le Plan Climat a consacré 1,3 milliard d’euros aux projets régionaux visant à combattre les effets du changement climatique. Des avancées concrètes ont vu le jour : déploiement de l’énergie photovoltaïque dans les lycées, développement d’une agriculture locale durable, intermodalité des transports, préservation de la biodiversité marine et terrestre…

Désormais, le deuxième volet de ce Plan Climat est lancé. Sous l’expression « Gardons une COP d’avance », la Région Sud destine 40% de son budget régional aux défis environnementaux. Pour Renaud Muselier, président de la Région Sud, il importe, via ce projet, de « devenir la première région éco-responsable de France » : « Cette immense responsabilité nous incombe en tant que région capitale-euroméditerranéenne, celle de redonner aux habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur et à notre environnement toute la place et le respect qui leur est dû, pour une Région Sud exemplaire et préservée. »

Ces défis se rassemblent autour de six grands thèmes, présentés par Le Méridional au cours des prochaines semaines : la gestion des déchets, l’air, le quotidien, l’énergie, la mer et enfin, la terre.

En cette semaine européenne de réduction des déchets, la présentation de l’engagement régional prend particulièrement son sens.

Retour de match – Galatasaray/OM (4-2) : c’est Noël en novembre

© OM / Twitter

Hier soir, l’OM disputait un match décisif pour la qualification en Ligue Europa face à Galatasaray.

Les Olympiens sont apparus apathiques ; ils ont eu toutes les peines du monde à mettre de l’intensité dans le jeu. Il est vrai que les Marseillais n’ont plus joué de rencontre en compétitions depuis plus de 15 jours ce qui peut expliquer le manque de rythme.

Noël avant l’heure !

Ils se sont déplacés à Istanbul avec la hotte pleine de cadeaux ; le premier but intervient à la 11ème minute après une perte de balle de Kamara à 35 mètres de notre but. Les attaquants stambouliotes ne se sont pas fait prier pour ouvrir le score. Les Olympiens ont réagi par l’intermédiaire de Dieng, qui a été le joueur le plus en vue mais qui a manqué de précision dans le dernier geste. Sur un contre des Turcs, nous encaissons un second but. Notre défense a été en grande difficulté sur chaque attaque rapide et sur la gestion de la profondeur car sur tous les ballons longs nous avons été pris dans le dos des défenseurs.

A la pause, nous étions menés 2 à 0. On aurait pensé que la révolte aurait lieu dans le second acte mais au contraire, c’est sur une nouvelle offrande de Saliba que Galatasaray aggrave la marque en menant 3 à 0. La suite est anecdotique, les Marseillais réduiront la marque à deux reprises par Milik.

Le score final sera de 4 à 2 pour les Turcs qui ont géré la rencontre en patrons. Ces derniers sont habitués aux joutes européennes, ils vont donc poursuivre l’aventure. Les Marseillais, quant à eux, devront digérer cet échec et se concentrer sur le championnat en commençant par la réception de Troyes ce dimanche. Un sursaut d’orgueil est attendu.

Fabrice HUART

Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.

Marseille – Noël aux Docks Village

© Docks

Jusqu’au 2 janvier prochain, les Docks de Marseille se transforment en village de Noël : vitrines animées, créations de mode, cortège royal, photographie avec le Père Noël… les enfants peuvent également déposer leur lettre de Noël. Une belle ambiance de fête.

  • Cortège royal de la reine des Neiges : 28 novembre, 5, 12 et 18 décembre de 14h à 17h.
  • Photographie avec le Père Noël : 27-28 novembre, 4-5, 11-12, 18-19 décembre de 14h à 18h près de la Grand Place.

Les Docks Village, 10 place de la Joliette, 13002 Marseille

Patrons marseillais : la fin du droit de cuissage

© Pxb

Un professeur de médecine de renom, chef d’un service hospitalier à Marseille, a été condamné mercredi 24 novembre 2021 par la sixième chambre du tribunal correctionnel de Marseille à une peine de dix mois de prison avec sursis assortie de plusieurs sanctions financières. Il devra verser 2 500 euros de provisions à la jeune infirmière qui a été reconnue victime d’une « agression sexuelle », 2 500 euros de dommages et intérêts à l’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail et 1 500 euros au Conseil départemental de l’ordre des infirmiers.

Il ne s’agit pas d’un viol mais d’un baiser non consenti dans le bureau du patron qui avait tendance, il est vrai, à inviter les infirmières à prendre des cafés, ce qui en d’autres temps aurait été qualifié de « drague un peu lourdingue ». Il se trouve que cette fois, la vie de la jeune femme mariée a été bouleversée par cet épisode douteux et qu’il lui a fallu des mois pour s’en remettre. Elle a demandé réparation en justice et l’a obtenue au-delà même de ce qu’elle était en droit d’espérer.

Il n’est pas question pour nous, au Méridional, de citer le nom de ce patron qui a certes commis une faute mais ne doit pas pour autant être traîné dans la boue et stigmatisé comme un seigneur ayant droit de cuissage sur tout ce qui bouge.

Le procureur ne s’est d’ailleurs pas trop attardé sur cette affaire : « L’agression sexuelle est caractérisée, a-t-il indiqué. Un baiser sur la bouche a bien été imposé à cette jeune femme qui s’est retrouvée en état de choc, effondrée et hagarde. Elle n’a aucune tendance affabulatrice et elle ne majore pas les faits allégués. L’absence de lien hiérarchique avec l’auteur de ce baiser labial résulte de la loi mais il existe en réalité une autorité naturelle et médicale du patron sur les infirmières. Le patron exerce une sorte d’autorité révérencielle dont il ne doit pas abuser. » Et le magistrat de requérir six mois de prison avec sursis à l’encontre du professeur incriminé.

Le tribunal a donc salé l’addition. « Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai fait une connerie », a reconnu le professeur. L’ennui, pour lui, c’est que les langues se délient aujourd’hui. La crainte d’un patron tout-puissant ne s’exerce plus comme par le passé. Célia, Alice, Charlotte et Mélanie, jeunes infirmières débutantes sont toutes sorties de l’ombre pour mettre en accusation le grand ponte qui les appâtait avec des cafés pour les circonvenir…

La décision du tribunal est en quelque sorte historique. Car si dans certains services (et pas seulement dans les hôpitaux) des femmes ont pu être séduites par leur patron, si elles ont subi des attouchements ou des relations sexuelles pour ne pas perdre leur emploi, si certaines internes ont parfois cédé aux exigences de leur maître de stage pour obtenir une bonne note, la condamnation de ce médecin a un immense intérêt pédagogique.

Les patrons, quels qu’ils soient, doivent définitivement oublier les traditions légendaires liées à ce qui était un droit de cuissage ou de jambage. Grosso modo, le seigneur s’octroyait le loisir d’avoir des relations sexuelles avec la femme d’un vassal ou d’un serf la première nuit de ses noces. Très longtemps, dans l’opinion, les mâles exerçant un pouvoir pouvaient s’inscrire dans la lignée des seigneurs médiévaux. Ils sauront désormais qu’en cas de dérapage, si minime soit-il, ils s’exposent à une peine carcérale.

José D’Arrigo, rédacteur en chef du Méridional

Galatasaray/OM : Le live commenté du Méridional

©DR
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