jeudi 7 novembre 2024
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Journée mondiale du vélo – Il y a deux siècles, le « vélocipède »

© WKMC

Depuis 2018, le 3 juin a été déclaré Journée mondiale du vélo par les Nations-Unies, ou plus exactement « Journée mondiale de la bicyclette », en français. Elle veut attirer l’attention sur ce mode de déplacement, tout de même vieux de plus de deux siècles.

L’ancêtre du vélo, « la draisienne », a en effet été inventée en 1817 par le baron allemand Karl Drais. Il s’agissait à l’origine d’un simple engin à deux roues, relié par une traverse en bois. On s’asseyait (pas très confortablement) sur celle-ci et l’impulsion était donnée avec les pieds. D’où le nom de « vélocipède » qui lui a rapidement été attribué. « Véloce » renvoie à la rapidité, et « pède », du latin pes, pedis, aux pieds. Le système de pédales tel qu’on le connaît aujourd’hui a été mis en place plus tard au cours du XIXème siècle.

« PACA Dental », une collaboration d’avenir entre Biotech Dental et AMU

© AMU

Ce mercredi 2 juin a été inaugurée une nouvelle chaire, qui prend sa place dans le paysage du territoire. Après plusieurs années de réflexion commune, Biotech Dental et Aix-Marseille Université (AMU), via le Laboratoire de Biomécanique Appliquée et l’Ecole de Médecine Dentaire de la Faculté des sciences médicales et paramédicales, s’associent pour créer la chaire « PACA Dental », pour une durée initiale de 5 ans. A travers cet accord mis en place avec les équipes de Protisvalor, Biotech Dental, entreprise basée à Salon-de-Provence, marque encore davantage sa volonté de s’ancrer dans le territoire régional.

Biotech Dental est riche de plus de 30 ans d’expérience et est présent dans une quarantaine de pays. Le groupe Biotech Dental est devenu un acteur français de référence dans le domaine de la Santé. La société se positionne actuellement parmi les leaders sur le marché de l’implantologie dentaire. Aujourd’hui, Biotech Dental est la société référente sur le marché de la dentisterie à travers une offre de produits et de services numériques exclusifs : conception et fabrication d’implants et de prothèses dentaires, scanner intra-oral, logiciel d’analyse du sourire, gouttières transparentes sur mesure fabriquées par des procédés de fabrication numérique innovants ainsi que les formations associées. Une palette de technologies diversifiées et adaptées au monde actuel.

De gauche à droite : E. Berton (président d’AMU), P. Veran (président de Biotech Dental), B. Fotti (directeur de l’Ecole de Médecine Dentaire), P-J Arnoux (directeur du Laboratoire de Biomécanique appliquée). © AMU

Pourquoi une nouvelle chaire ?

« Cette collaboration va permettre, grâce aux moyens de l’université et à ceux de l’industrie, de créer un pôle d’excellence et de recherche universitaire tout à fait unique dans notre région » explique dans son discours d’inauguration Philippe Veran, le président de Biotech Dental.

La nouvelle chaire veut en effet fédérer les potentiels de recherche et développement autour de la plateforme Biomécanique et médicale LBA-CERC sur l’Homme Virtuel et de l’école de médecine dentaire, pour développer des solutions technologiques, et offrir une expertise scientifique et technique sur les problématiques de dispositifs médicaux implantables, notamment en chirurgie dentaire, orthodontique et maxillo-facial et implantologie.

Professeurs, chercheurs et professionnels dentaires : la nouvelle chaire bénéficie du soutien des plus grands talents © AMU

Comment se matérialisera-t-elle ?

La nouvelle chaire se matérialisera notamment par :

  • Un partenariat de recherche en « ingénierie, conception, développement et optimisation de prothèses implantables ».
  • L’accueil de personnels dans les locaux des différentes parties prenantes.
  • D’éventuelles actions conjuguées avec les facultés de sciences médicales et paramédicales, et d’odontologie.
  • La mise en place d’activités de formation, tant ponctuelles pour des besoins à court-terme que diplômantes pour des besoins à moyen et long termes.

L’accord de création a été signé par M. Eric Berton, président d’AMU et M. Philippe Veran, président de Biotech Dental, avec le soutien de M. Bruno Fotti, directeur de l’Ecole de Médecine Dentaire, M. Laurent Badih, président de Glad, M. Bruno Marroni, directeur de Protisvalor, et de M. Pierre-Jean Arnoux, directeur du Laboratoire de Biomécanique Appliquée (LBA).

« Nous ne pouvions rêver de meilleur partenariat que cette chaire de recherche PACA Dental que nous inaugurons aujourd’hui », conclut Philippe Veran. Cet accord ne pourra que se montrer fructeux pour l’économie et la recherche du territoire.

Raphaëlle PAOLI

Roland-Garros – Hécatombe chez les Français

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Alors que le premier tour de Roland-Garros s’est terminé le 1er juin, seulement 7 Français sur les 29 du départ ont réussi à se qualifier. C’est le pire bilan depuis le début du tennis « moderne », soit la formule de 1968. Une véritable hécatombe.

Sur les 7 qualifiés, il y a 4 femmes et 3 hommes. Pour les femmes, il s’agit de Harmony Tan, Caroline Garcia, Kristina Mladenovic et Fiona Ferro. Côté hommes : Enzo Couacaud, Gaël Monfils et Richard Gasquet. Ce triste bilan montre la difficulté qu’a la nouvelle génération du tennis français à émerger.

La question maintenant est de savoir si un Français va réussir à se qualifier pour la deuxième semaine du tournoi. L’année dernière, seul Hugo Gaston s’était qualifié pour les huitième de finale et avait alors perdu comme Dominic Thiem dans un match épique regardé par 5,7 millions de téléspectateurs. Il était la révélation du tournoi. Cette année, il n’a pas réussi à confirmer en perdant face à son compatriote Richard Gasquet dès le premier tour.

Le syndicat Upe 13 choisit ses candidats pour l’élection 2021 de la CCI

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En vue des élections 2021 des Chambres de Commerce et de l’Industrie (CCI), l’Upe 13 (Union Pour les Entreprises) a désigné il y a quelques jours ses deux candidats lors d’un vote de son conseil exécutif.

Ce vote a été placé sous le signe de la continuité et de l’expérience. Ont en effet été désignés comme candidats : Jean-Luc Chauvin (51 ans), Président de SFC Invest pour la CCI Aix-Marseille-Provence et Stéphane Paglia (48 ans) Gérant de Master Systèmes pour la CCI Pays d’Arles.

Pour Philippe Korcia, Président de l’Upe 13, « La situation économique à la veille de la reprise nous a convaincus de faire le choix de la continuité et de l’union. Nous avons besoin de tous et d’équipes expérimentées immédiatement efficaces. Nous savons pouvoir compter sur l’engagement total de nos deux mandataires que sont Jean-Luc Chauvin et Stéphane Paglia pour poursuivre le travail engagé et faire de l’outil consulaire un véritable levier d’attractivité du territoire afin de remettre le plus grand nombre de nos entreprises sur les rails de la croissance. Aussi j’appelle tous les entrepreneurs qui le souhaitent à s’engager, soit à la CCIAMP, soit à la CCIPA en envoyant leur candidature. »

L’élection aura lieu les 27 octobre et 3 novembre prochains; seuls les commerçants et chefs d’entreprise inscrits au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) pourront voter.

Mercato OM : après les rumeurs, l’attente

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La saison n’était pas encore finie que les rumeurs de transferts battaient déjà leur plein à Marseille. Bien que le mercato ne s’ouvre officiellement que le 9 juin, Thiago Almada, Gerson, Amine Adli, Mattéo Guendouzi, pour ne citer qu’eux, étaient annoncés très proches de rejoindre l’Olympique de Marseille. Mais aucune officialisation n’a pour l’instant été actée. Les supporters restent donc dans l’attente. Même situation pour les joueurs qui étaient prêtés cette saison. Personne ne sait pour le moment si Pol Lirola, Leonardo Balerdi et Arkadiusz Milik vont rester ou non la saison prochaine.

On le sait, le chantier qui attend Pablo Longoria dans ce mercato est immense. Le club est à la recherche d’une dizaine de joueurs, au moins un à chaque poste. Il devrait y avoir au moins autant de départs. Pablo Longoria souhaite boucler la majorité des dossiers dès la première semaine du mercato, afin de laisser à l’entraîneur Jorge Sampaoli le soin de travailler avec la quasi-totalité de son effectif durant tout l’été. Cela permettrait évidemment de préparer au mieux la saison prochaine.

Du côté des arrivées, il y a de nombreuses rumeurs mais rien de concret pour le moment. Mattéo Guendouzi pourrait bien être la première recrue. Les deux parties sont tombées d’accord et Guendouzi souhaite rejoindre l’OM. En revanche, son arrivée pourrait s’accompagner d’une mauvaise nouvelle : celle de l’abandon du dossier Almada ou Adli. En effet, les Marseillais ne pourront pas se permettre de recruter autant de milieux. Cela pourrait nuire à l’équilibre de l’effectif et Longoria manquerait de moyens pour recruter dans d’autres secteurs.

Concernant les joueurs prêtés à l’OM cette saison, Pablo Longoria est en négociation exclusive avec la Fiorentina au sujet de Pol Lirola. Problème, ce dernier est courtisé par d’autres clubs, et Gennaro Gattuso, l’entraîneur de la Fiorentina, souhaiterait à tout prix le conserver. Longoria pourrait inclure Kevin Strootman dans la transaction. Concernant Leonardo Balerdi et Arkadiusz Milik, la tendance est plutôt positive pour qu’ils restent au club.

Les autres dossiers brûlants concernent le poste de défenseur. Avec les probables départs de Duje Caleta-Car et de Boubacar Kamara, il va falloir renforcer ce secteur. Pour ce faire, Pablo Longoria pense à Nicolas Nkoulou. Ce dernier a joué à l’OM entre 2011 et 2016 et a laissé un bon souvenir sur la Canebière. Agé de 31 ans et libre de tout contrat, il pourrait être un bon renfort à moindre coût. Loïc Badé, le défenseur central de Lens, aurait également le profil parfait pour évoluer dans le système de Sampaoli. Jeu sous pression, conduite de balle, jeu long et habitué au 3-4-3, il se présente comme la recrue idéale. Mais pour le moment, Longoria n’a pas donné suite à cette piste.

Après l’emballement en fin de saison pour le mercato, les supporters demeurent dans une attente que certains qualifieraient de surchauffée. Ces derniers jours ont marqué le pas. Mais de belles surprises pourraient arriver dans les semaines qui viennent…

Mayeul LABORDE

Pour relancer l’économie, il faut casser la tirelire

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A la suite de la récession de 2020 provoquée par la crise du covid-19, le gouvernement espère que les Français vont dépenser leur épargne pour relancer l’économie du pays.

Les Français, entre le premier trimestre 2020 et la fin du premier trimestre 2021 ont épargné environ 142 milliards d’euros. Un record. Pour faire repartir l’économie, le gouvernement parie donc sur une dépense de cette épargne sur le territoire. La réouverture des bars et restaurants a particulièrement marqué cette reprise. Pour que cela se traduise au niveau national, il faudra que cette relance perdure lors des prochains mois; ces derniers seront cruciaux, compte tenu de tous les événements économiques (soldes, festivals, expositions, activités etc.) qui se tiendront à nouveau sur le territoire.

Les « Bistrots de Pays », ou l’esprit de village

© Bistrot de Pays

Les bistrots de pays  offrent un refuge chaleureux où l’on se retrouve autour d’un verre et d’un repas authentique, dans une atmosphère de convivialité et de tradition. Au cœur des villages, symboles de l’âme rurale, les bistrots de pays préservent un patrimoine culinaire et culturel unique… Un voyage dans le temps, une immersion dans l’essence même du Sud.

Le label Bistrot de Pays fait partie des bonnes idées qui veulent redonner de l’importance aux petits établissements des communes rurales. Il a été créé en 1993 pour soutenir les patrons de bistrots indépendants ; ceux-ci s’engagent, en retour, à respecter la charte correspondant au label.

L’opération Bistrot de Pays est une démarche originale qui veut mobiliser les établissements comme les bistrots, les cafés, les débits de boissons etc.  autour d’une volonté commune : à travers un réseau local d’animation, le Bistrot de Pays recrée un tissu social et économique en milieu rural. Il joue aussi le rôle de carrefour des services du village (dépôt de pain, vente de journaux, épicerie…)


Un Bistrot de Pays doit :

     – Être situé dans une commune rurale de moins de 2000 habitants;
     – Constituer le dernier – ou l’un des derniers – commerce(s) du village;
     – Être ouvert à l’année;
     – Proposer, autant que possible, les services de base non assurés par ailleurs dans le village (tels que dépôt de pain, de tabacs, de journaux, petite épicerie…);
     – Disposer des principaux documents d’information touristique locale;
     – Organiser des animations festives et culturelles (au moins 3 par an);
     – Promouvoir les produits du terroir;
     – Proposer au minimum une restauration de type casse-croûte à toute heure, basée sur les produits régionaux;
    – Dans le cas où une restauration complète est assurée, proposer des repas où les recettes et les produits du terroir tiennent une place prépondérante.

En Région sud, on compte 43 Bistrots de Pays ; 6 ont rejoint l’aventure cette année. La carte et les adresses sont disponibles en ligne et à partir de début juin dans les offices de tourisme.

Water-polo – Ligue des champions : l’Europe à conquérir

© CNM Fb

Le Final 8 de la Ligue des champions de water-polo (coupe d’Europe) commence le 3 juin. Le Cercle des Nageurs de Marseille va y participer pour la première fois de son histoire et c’est aussi la première fois qu’un club français de water-polo s’y qualifie. Les Marseillais ont donc d’autant plus à cœur de représenter la France. Ils espèrent jouer leur chance à fond et profiter de la bonne dynamique impulsée par leur titre de Champions de France pour venir s’imposer.

> A voir aussi : CN de Marseille 14 – 11 Noisy-le-Sec : les Invincibles !

Ce Final 8 verra également les dernières minutes d’Alexandre Camarasa dans un bassin. Après l’hommage qui lui a été rendu au Cercle lors de la finale retour du Championnat de France, il espère bien prolonger le plaisir jusqu’à la finale de la Ligue des champions. Motivé et concentré, il sait que cela sera dur mais… « rien d’impossible ». Le match débutera à 15h30 et pourra être suivi en direct sur beinsports et sur le site LEN aquatics.

> A voir aussi : Alexandre Camarasa, un poloïste au mental d’acier

Mayeul LABORDE

Roland-Garros – Naomi Osaka, le symbole d’un mal-être chez les sportifs ?

© WKMC

La nouvelle a fait l’effet d’un coup de tonnerre. La Japonaise Naomi Osaka a quitté Roland-Garros alors qu’elle se rangeait parmi les favorites. Son choix de se retirer est soutenu de manière quasi unanime par ses amis et confrères.

Naomi Osaka a pris cette décision après un bras de fer avec l’organisation au sujet des conférences de presse. En effet, elle refusait d’y participer, invoquant une fragilité mentale. Cette décision est soulignée par beaucoup comme un choix courageux. Serena Williams, joueuse professionnelle de tennis, lui a apporté son soutien : « Je suis triste pour Naomi. Tout le monde n’est pas pareil. Je suis épaisse. D’autres personnes sont minces. Tout le monde est différent et tout le monde gère les choses différemment. Tu dois juste la laisser gérer ça comme elle le veut et de la meilleure façon qu’elle pense pouvoir le faire. C’est la seule chose que je peux dire : je pense qu’elle fait du mieux qu’elle peut. »

Naomi Osaka a également pu compter sur d’autres soutiens dans le monde du sport. Celui de Stephen Curry, joueur professionnel de basket, par exemple. Mais aussi en dehors du cadre sportif, avec le soutien de Naomi Campbell une mannequin, chanteuse, actrice britannique ainsi que celui de la parlementaire démocrate Alexandria Ocasio-Cortez.

Un abandon pour raison de santé mentale reste une première, mais Naomi Osaka ne représente pas un cas isolé. On pense aussi à Benoît Paire. Déprimé depuis le début de la crise sanitaire, il a régulièrement fait des sorties virulentes en conférence de presse. Il a également volontairement lâché certains matches pour se retrouver éliminé plutôt que de déclarer forfait. Ces deux exemples sont révélateurs d’un mal plus profond qui touche plus de sportifs de haut niveau qu’on ne pourrait le croire.

Mayeul LABORDE

Esport – Sortie de World of Warcraft : Burning Crusade Classic

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World of Warcraft (WoW) : Burning Crusade Classic va sortir mercredi 2 juin 2021. Avec l’arrivée de cette extension, les joueurs ont dû depuis le 18 mai faire un choix pour chacun de leur personnage : les convertir pour Burning Crusade ou aller sur un serveur WoW classique. Une fois le choix effectué, il est cependant possible de cloner son personnage pour l’envoyer dans l’autre univers. Le clonage coûte 35 euros. Si le joueur choisit de cloner son personnage, il aura ainsi accès aux deux versions : le jeu de base Classic et le Burning Crusade.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Banniere-Footbar-3-1024x576.jpg.