Crise politique, crise économique, crise sanitaire. Le Liban n’est pas bien doté. Cela fait deux ans que la monnaie locale subit une dévaluation de 2 000%. A l’été 2020, l’explosion du port de Beyrouth a ravagé les quartiers est de la capitale. Les arrangements des élites exaspèrent au plus haut point la population : ceux qui le peuvent, souvent la classe moyenne qui a reçu une bonne éducation, émigrent. Les autres subissent de plein fouet l’abandon des dirigeants, dans un pays qui n’avait jamais connu une telle situation dans la vie quotidienne, même pendant la guerre civile.
Les Libanais n’attendent rien des prochaines élections parlementaires (qui devraient se tenir en mars ou en mai 2022).« Le système libanais est dans une impasse, résume Joe Macaron, politologue libanais. A quel point ces élections pourraient-elles changer les dynamiques de parlement ? Les mêmes joueurs vont sans doute être élus. »
L’opposition, qui s’est étoffée ces derniers mois, n’est pas encore organisée ; elle a tout de même gagné chez les syndicats et dans les universités. Les prochaines élections seront donc le grand test pour elle. « Il reste peu de temps à l’opposition ; elle n’a pas de leader affirmé », souligne Joe Macaron.
La France et les Etats-Unis font pression pour que l’enquête sur l’explosion du port de Beyrouth se poursuive ; le Hezbollah freine des quatre fers et pousse au changement de juge pour le dossier. Sur le territoire libanais, la compétition entre Iraniens et Américains va se poursuivre dans les mois et les années qui viennent.
Face à tous ces jeux de pouvoir et d’influence, le peuple libanais se sent abandonné ; que ce soit à Beyrouth ou dans le reste du pays, la situation est la même : coupures d’électricité, pénurie de médicaments, services de base non-assurés, pas d’accès aux banques et une sécurité précaire. Une situation catastrophique.
Samedi 23 octobre, le Centre Valentine organise la journée « La Vie en rose » dans le but de sensibiliser le grand public à la lutte contre le cancer du sein.
De 10h à 19h, quatre associations locales qui luttent quotidiennement contre le cancer du sein seront présentes pour écouter, conseiller et orienter : la Ligue contre le cancer, Complètement Fadades, Caire 13 et Phoceo (APHM). Deux associations marseillaises sportives, Pole Dance Avec Moi et CheerDance Club Marseille effectueront également des démonstrations toute la journée de pole dance et cheerleaders. L’objectif de cette journée est de montrer comment prendre soin de son corps.
À cette occasion, le Centre Valentine s’engage et met en place via HelloAsso une récolte de dons qui sera divisée à l’issue de la journée, pour les quatre associations présentes le jour J.
Durant tout le mois, pour chaque carte cadeau du Centre Valentine achetée, 1€ est reversé à La Ligue Contre Le Cancer.
Une « victoire à la Pyrrhus » ? Fin septembre-début octobre, une grève des agents métropolitains faisait énormément parler de Marseille. Beaucoup pensaient qu’elle allait durer. Finalement, elle a semblé se résoudre plutôt rapidement. Mais tout n’a pas été dit.
Rappelons les principales mesures pour les agents métropolitains, actées pour la fin de la grève début octobre 2021 :
une décote du temps de travail de 9,5 %, c’est-à-dire 1 467 heures. Les 28 jours compensatoires demeurent de mise
l’ouverture d’un compte épargne-temps
un accompagnement à la reconversion pour tous les agents qui le souhaitent
des formations autour des bonnes pratiques pour limiter les risques d’accident pendant le travail de collecte
à partir du 1er janvier prochain, la réouverture du dossier de Régime indemnitaire de la fonction publique.
« De deux choses l’une : ou bien Martine Vassal va continuer de faire des déclarations évasives, ou bien elle va devoir vraiment s’attaquer au dossier avant la fin de l’année », émet un acteur de la ville de Marseille.
Qu’observe-t-on ? D’un côté, que les agents métropolitains se sont montrés très réticents à reprendre le travail ; de l’autre, qu’on leur a beaucoup concédé. Notamment, les fameux 28 jours de congé. L’accord a presque donné l’impression que les deux parties étaient gagnantes.
Mais là où le bât blesse : le sujet de la réorganisation du travail n’a pas été présenté. Alors même qu’elle doit être mise en application dès janvier 2022. Le document traitant de cette réorganisation doit passer par le comité technique paritaire (avec les représentants de l’administration générale de la métropole et les syndicats). C’est au vu de ce document que les agents pourraient à nouveau se mettre en grève.
La réorganisation du travail, un sujet tabou
La question de la réorganisation du travail est épineuse. Aujourd’hui, les agents de collecte travaillent aux alentours de 3h30 par jour. Avec la réorganisation, là où il y avait trois équipes pour faire deux tournées en journée ou le soir, il n’y aurait plus que deux équipes qui effectueraient trois tournées.
Logiquement, certains employés devront être « recyclés », ne travaillant plus sur les bennes. D’où la proposition d’accompagnement à la reconversion actée dans le document de fin de grève.
Soit la réforme obligatoire de la loi sera mise en place, et la grève reprendra. Soit il sera écrit sur le papier que les agents métropolitains travailleront sept heures, mais cela ne sera pas vrai dans les faits. Dans ce cas, il s’agira d’un mensonge aux Marseillais, ainsi qu’aux Provençaux de la métropole.
La loi de décentralisation
Le problème qui nous intéresse à Marseille est tout spécialement la propreté. Le maire de Marseille Benoît Payan dit vouloir que la ville en récupère la gestion. Or, il n’est pas dit que la « loi 4D », de décentralisation et déconcentration, censée donner une marge de manœuvre plus importante aux élus locaux, concerne ce sujet.
La bataille des recettes
Ce qu’oublient aussi les habitants, c’est que la taxe d’enlèvement des ordures ménagères n’est pas une redevance : rappelons qu’une taxe entre dans le budget général, elle n’est pas spécialement destinée aux ordures.
Cette recette, la collectivité métropolitaine ne peut s’en séparer : elle lui donne sa marge d’autofinancement et sa capacité d’emprunt. La ville comme la métropole entendent récupérer la souveraineté de cette gestion… L’imbroglio de la situation risque de mal tourner avant janvier 2022.
Alors que le site de la carrière grecque antique de la Corderie de Marseille (7ème arrondissement) est plus que jamais menacé, Jean-Noël Beverini, de l’Académie de Marseille, souligne encore une fois l’immense trésor qui est sur le point d’être perdu. Il fait part aux lecteurs du Méridional de quelques considérations.
Permettez-moi de vous parler encore de la Carrière grecque antique de la Corderie à Marseille. Je ne vous promets pas que ce sera la dernière fois ! Vous comprendrez aisément en ce qui concerne une « carrière » antique et historique laissée dans un tel état d’abandon, qu’il faille bien jeter « la pierre » sur quelqu’un !
Le « Grand Marseille » que veut le président n’inclut certainement pas la Grande Histoire de la plus ancienne ville de France. Vous avez prononcé le mot d’Histoire ?
« Vous plaisantez ! »
Pas de repentance pour le massacre du patrimoine. Au contraire, persévérons.
« Vous avez dit : diabolicum perseverare »
Après avoir classé monument historique notre ancienne carrière antique (635 m2), l’État doit maintenant décider de son devenir. Or l’État ne décide rien. Ce qui est toujours décider quelque chose.
Car pendant cette attente de décision, la dégradation du site se poursuit inexorablement jusqu’à son terme de pourrissement complet. Une fois que le peu qui reste du site classé sera entièrement délabré, submergé, inondé, irrécupérable, l’État en la personne de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) pourra, l’âme apaisée, officiellement conclure :
« Venez et voyez : tout est inapte à conservation. Il faut recouvrir, enterrer, oublier ».
Un grand principe du Droit édicte :
« Nemo auditur propriam turpitudinem allegans » (Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude.)
À qui donc la négligence, la faute, le comportement et l’absence prolongée de décision ayant conduit à une telle dégradation du périmètre classé monument historique ?
La DRAC serait-elle en passe de devenir la direction de la Démolition Régionale des Antiquités et de la Culture ?
Que ne vient un Prince charmant, aux dires de certains pour la réveiller de sa léthargie ?
Le conte de la Corderie a assez duré. Finissons-en. Puisque cette carrière est considérée au même titre que les mauvaises herbes qui la recouvrent, traitons-la en mauvaise herbe. Arrachons-la de l’Histoire de Marseille, de la Méditerranée et de notre Culture.
Toutes les villes antiques et célèbres dans l’Histoire n’avaient pas à leur disposition des carrières. C’était, par exemple, le cas de la Babylonie qui construisit avec des briques faites d’argile. Notre Marseille grecque eut cette chance d’avoir la possibilité de se créer une carrière. Exceptionnel.
Le goût, le sentiment et l’amour de la Beauté des formes ont donné aux Grecs cette envie d’élever des monuments. Les premiers de ces monuments furent des temples dédiés aux dieux. Ce fut le cas à Marseille avec un temple en l’honneur d’Artémis, la déesse tutélaire et protectrice. Il ne fait aucun doute que le temple construit pour l’honorer le fut avec les pierres extraites de notre antique carrière. De plus, la pierre était facile à travailler. Ce temple devait être d’ordre ionique, car c’est précisément dans les cités grecques d’Asie mineure que l’on a découvert des temples de ce style. Son toît devait être ouvert pour laisser libre la communication avec la déesse.
Pour un Grec de l’époque, le temple doit être magnifique parce qu’il est autant un « trophée » de la cité qu’un lieu de prières. Agora, gymnase et théâtre étaient la trinité qui venait couronner le temple aux dieux. Massalia possédait cette trinité issue de notre carrière. Nous détruisons réellement notre Histoire.
« Des ouvriers sans nombre, charpentiers, maçons, forgerons, tailleurs de pierres, teinturiers, orfèvres, ébénistes, peintres, brodeurs, tourneurs, sont occupés » à ces travaux de création et d’embellissement de la cité. Les matelots font traverser le « Vieux-Port » aux pierres extraites de la carrière ; les pilotes conduisent les embarcations ; les charretiers les amènent à terre ; les cordiers et tireurs de pierre les hissent … Ces images sont décrites par le grand historien, historien de l’Art et artiste peintre René Ménard, dans son ouvrage Le travail dans l’Antiquité.
La construction d’un édifice public pour nos anciens Grecs n’est pas « une affaire de luxe ou de caprice » (René Ménard). Cela va bien au delà.
La beauté de cet édifice, et en premier lieu un temple, pouvant et devant attirer sur la cité une protection irremplaçable. Les pierres de notre carrière ont servi à cette protection de Massalia, protection physique et spirituelle.
La carrière possédait un puits qui n’a jamais été étudié. Après la destruction du puits grec des vestiges de la Bourse, ce puits de la carrière était le seul que possédait Marseille. L’ignorance est un puits sans fond.
La carrière possédait des colonnes en cours d’achèvement. Marseille fondée par des Grecs ne possède aucune colonne grecque ! C’était l’occasion unique d’en présenter. Marseille ne restait plus une ville antique sans antiquités. Mais même l’existence de colonnes a été contestée. Elles étaient hors du périmètre classé ! En niant et détruisant ses colonnes, Marseille perd la … colonne vertébrale de son Histoire.
Un site unique pour Marseille et sur l’arc méditerranéen. Pas simplement une histoire remarquable. Non, ce site est (était) unique comme l’affirme le grand archéologue Michel Bats.
Unique. Oui, assurément, il est unique de le détruire ainsi.
Depuis la rentrée, l’université d’Aix-Marseille avait choisi de célébrer le centenaire de la naissance de Georges Brassens à travers un cycle appelé « La mauvaise réputation ». La clôture de ce dernier se fera le jeudi 21 octobre, en musique : personnels et étudiants de l’Université ont répondu nombreux à l’appel à musiciens. Ils se succèderont sur scène tout au long de la soirée pour ré-interpréter le grand artiste.
« Chantons Brassens ». Jeudi 21 octobre à partir de 18h30. Théâtre du Cube. 29, avenue Robert Schuman, 13100, Aix-en-Provence. Réservation conseillée.
Le 21 octobre 2021 au petit jour, neuf coureurs professionnels kenyans, six hommes et trois femmes, s’élanceront sur la piste du Castellet, le mythique circuit Paul Ricard (Var). Leur objectif : battre le record du monde de 50km femme et 100km homme en course à pied. Un projet sportif certes, mais surtout solidaire, et d’une grande force symbolique. Un événement pensé et organisé par le marathonien marseillais Benoît Z.
« Là-bas, tu te lèves le matin, tu croises des coureuses et des coureurs à tous les coins de rue ; ils s’entraînent dans des conditions spartiates », rapporte Benoît Z avec une sorte de regard lointain. Présentons-le d’abord, si besoin : Benoît Zwierzchiewski, dit Benoît Z, a égalé le record d’Europe à Paris en 2003. Il demeure le recordman de France de la discipline, a été vainqueur du Marathon de Paris en 2002, et du Marathon de Marseille en 2009 et 2011. L’athlète développe aujourd’hui le sport grâce à sa salle de sport-santé-bien-être, Be Zen, située à Marseille.
Notre marathonien, donc, revient depuis peu du Kenya, dont il nous montre des images impressionnantes : des paysages à couper le souffle, des visages souriants à la caméra, et surtout, des coureurs. Baskets aux pieds. D’où vient ce projet fou lancé par le Marseillais ?
Le Kenya est une région d’athlètes, une terre de culture de la course à pied. De nombreux champions y ont grandi. Beaucoup d’entraînements pour des personnes qui courent souvent depuis leur plus jeune âge (course pour aller à l’école, pour revenir, pour se rendre au village voisin…) Beaucoup de compétitions sportives aussi, grâce auxquelles les athlètes gagnent leur quotidien.
En 2020, le coup dur arrive avec la crise du covid : les déplacements internationaux sont impossibles et les compétitions annulées : « Les athlètes ont dû retourner travailler dans les champs pour nourrir leur famille, raconte Benoît Z. Certains ont vécu dans des conditions très complexes. » Il n’en dit que peu, mais on imagine à demi-mot.
« Donner leur chance à des personnes qui le méritent »
Lors d’un voyage au Kenya en mai 2021, Benoît Z rencontre Claude Guillaume, qui dirige un centre d’entraînement, JC ITEN Training Camp. Situé dans les hautes terres du Kenya, à environ 300km de Nairobi, il est considéré comme le berceau des champions d’athlétisme et le rendez-vous des athlètes. A 2 400 m d’altitude, les sportifs travaillent l’adaptation physiologique et optimisent leur préparation, à l’aide de coaches et de programmes intensifs.
Benoît Z sympathise avec Claude Guillaume, qui lui parle de la situation. « Les athlètes n’avaient pas besoin de notre aide sur le plan sportif. On a seulement voulu donner leur chance à des personnes qui le méritaient », résume le marathonien. Ce dernier, sur place, prend conscience du désarroi de ces sportifs de haut niveau qui n’ont pas les moyens de financer leur entraînement, malgré une volonté de fer et un fort potentiel.
Il n’est pas dit qu’il restera les bras croisés : Benoît Z décide de créer un événement avec l’association sportive de course à pied « BZ team », et de prendre en charge intégralement les frais d’entraînement de 15 athlètes : depuis leur préparation physique jusqu’à leur déplacement en France, en passant par leur suivi nutritionnel et leur hébergement. Des partenaires s’associent à l’organisation de l’événement en lui-même.
Des acteurs qui jouent collectif
Le projet s’étoffe : le circuit Paul Ricard du Castellet accepte de mettre à disposition le lieu mythique pour l’événement. Un symbole aussi de son engagement pour les mobilités douces comme la course à pied. Wizwedge et son fondateur Jean-Luc Guer, podologue et entrepreneur, se joignent à la partie : les athlètes porteront ces chaussures révolutionnaires, qui permettent d’allier sport, santé et bien-être, une alliance de choix. L’entrepreneur ne cache pas sa fierté que ces « athlètes-avions de chasse » chaussent ses Wizwedge. Fier aussi que le projet ait vu le jour à Marseille : « Il y a de très belles choses qui naissent dans notre région ; cet événement, qui réunit autant d’acteurs, en est la preuve », confie-t-il.
Un casting basé sur la motivation et la résistance
Les athlètes ont été choisis pour leur motivation et leur résistance. Parmi eux, Joyce, une jeune femme de 33 ans, mère d’un enfant, et prête à tout pour battre le record. Un peu plus de 17 tours de circuit pour la catégorie homme seront nécessaires aux coureurs pour réaliser leur course en moins de 6h, 9 min et 14 secondes, l’actuel record détenu par un Japonais. C’est-à-dire qu’il leur faut tenir 3,42 km de moyenne pendant tout de même… 6 heures. Côté femme : le record à battre sera de 2h, 59 minutes et 54 secondes, soit 8 tours de circuit plus 3,6 km.
Le 21 octobre 2021 au petit jour, ces neuf coureurs professionnels kenyans, six hommes et trois femmes, s’élanceront donc sur la piste du Castellet : et on les félicite d’ores et déjà de relever le défi !
Un récent article du Monde titrait : « « Quand tu arrives ici, tu te dis que rien n’est cher » : les Parisiens s’entichent de Marseille ». Une réalité que certains prétendent exagérée. Peut-être, mais d’après les agences immobilières et les Marseillais en quête de logement, le phénomène s’accroît de façon significative.
Il n’y a pas seulement de la grogne ; il y a aussi du découragement et de l’incompréhension. « Cela fait un an que je cherche à acheter un deux-pièces dans le 5ème arrondissement, témoigne une Marseillaise, trentenaire. Les quatre dernières fois où j’ai validé l’offre, on m’a dit que le bien avait déjà été vendu à des Parisiens ou des gens d’Ile-de-France. » Certes, c’est la loi du marché : des acheteurs extérieurs, avec plus de moyens, et surtout qui n’ont pas besoin de faire un emprunt, passent forcément devant ceux qui font une offre inférieure avec emprunt.
Achat sans visite
« La nouveauté, souligne pourtant un agent immobilier du 7ème arrondissement, c’est qu’on a des gens qui ne visitent même pas le bien. Parfois il y a des visites virtuelles, parfois même pas : ils achètent sur photo, sans négocier le prix. » Stéphane est de ceux-là : avec une femme et deux enfants en bas âge, il a préféré partir de la capitale, où il occupait un trois-pièces dans le 15ème arrondissement. « Le covid, oui, tout le monde le pointe comme sorte de prise de conscience ; mais on y pensait avant. Parce que la mobilité a complètement changé en quelques années : si je dois retourner travailler à Paris un ou deux jours par semaine, je suis prêt à le faire. »
Le marché va continuer à augmenter ces prochains mois. C’est ce que prévoient la plupart des agences marseillaises.
Du 21 octobre au 7 novembre, les Docks Village s’habillent aux couleurs des fonds marins. Les visiteurs observeront des reconstitutions de spécimens de ce monde caché. Ils pourront aussi effectuer un parcours jalonné d’anecdotes ludiques et en apprendre plus sur les espèces menacées.