Hubert Bonisseur de La Bath (Jean Dujardin) revient dans un troisième volet pour les aventures de l’agent OSS 117, cette fois-ci, en Afrique noire : on est à l’époque où la perspective de l’élection de François Mitterand (1981) commence à planer sérieusement au-dessus de la fin du mandat giscardien. L’espion, envoyé en Afrique pour éradiquer des opposants communistes, doit faire face à la concurrence d’une jeune recrue (Pierre Niney), qui n’a pas du tout le même style que le sien.
Comme on peut s’y attendre, les blagues sur les Noirs et sur les femmes ne manquent pas (contre le « politiquement correct »). Le réalisateur Nicolas Bedos s’en tire sans remporter l’unanimité positive des critiques : si, pour « Le Figaro », « Nicolas Bedos est à son affaire », « Le Monde » table sur un « pourquoi pas ». Quant au journal « Libération », il va jusqu’à dire que l’espion « rate en beauté son retour sur fond d’imagier post-colonial »…
Les certifications et les labels (publics et privés) sont nombreux en France, mais ceux consacrés au tourisme ne sont pas légion. « Les Plus Beaux Villages de France » est l’un des plus reconnus et des plus qualifiés. Ses piliers d’éligibilité sont « la qualité, la notoriété et le développement ».
L’association « Les Plus Beaux Villages de France » a été créée en 1982, à l’instigation notamment de l’homme politique (et agriculteur) Charles Ceyrac (1919-1998), maire du village de Collonges-la-Rouge, en Corrèze, de 1965 à 1996. Un jour, se promenant sur le boulevard Saint-Germain à Paris, ses yeux tombent sur la devanture d’une librairie : en vitrine, un livre intitulé « Les Plus beaux villages de France », avec en couverture, une photo de son village ! Cela fait son chemin dans sa tête, à l’époque où la désertification des villages reste d’actualité. Il écrit aux maires de la centaine de villages évoqués dans le fameux livre, pour leur proposer d’unir leurs forces : car il est beau d’avoir la photo d’un village dans un livre, mais cela ne suffit pas. Soixante-six maires répondent à cette proposition, et l’association voit le jour en mars 1982 dans le Cantal, à Salers.
Un triptype fructueux
Les maîtres-mots du label sont : « qualité, notoriété, développement ». Anne Gouvernel, chargée de la Communication des Plus Beaux Villages de France, nous explique la logique de ce « cercle vertueux » : « La qualité des villages sert de tremplin à la notoriété, qui elle-même est un levier de développement ; il ne s’agit pas seulement de noter que les villages sont beaux ! »
Un coup de pouce économique
Quel est le but d’une telle association ? De permettre aux villages de relancer leur économie de façon significative, en mettant en exergue leurs atouts (beauté de la nature, lieux remarquables, édifices historiques…) Les villages déjà touristiques seront amenés à diversifier leurs activités d’accueil, tandis que les villages éloignés des axes de passage bénéficieront de l’attrait des touristes pour le label. L’association est chargée de son côté de mettre en valeur le patrimoine et les attraits des villages adhérents : médias, réseaux sociaux, mais aussi partenariats éditoriaux (guides par exemple) et mise en valeur d’événements locaux.
« Le label n’est pas seulement destiné à attirer des visiteurs; il est aussi un gage de reconnaissance pour les villages. Ce qui est le cas par exemple pour Les Baux-de-Provence, qui est déjà très connu », nous explique Anne Gouvernel. « Ce label souligne l’importance qu’accorde la population locale au patrimoine. » Les touristes étrangers sont-ils sensibles à cette appellation ? D’après les enquêtes de fréquentation des villages, un certain nombre de touristes étrangers viennent les visiter : Belges, Néerlandais, et surtout, Britanniques, deuxièmes visiteurs après les Français. « Les Britanniques sont particulièrement férus de notre label, car ils y retrouvent le condensé d’un patrimoine à la française, de l’art de vivre de notre pays »,souligne la chargée de Communication.
Les critères de validation
Trois critères sont automatiquement pris en compte :
« Attester d’une population maximale de 2 000 habitants au sein du village candidat (la population totale communale pouvant quant à elle être supérieure à 2 000 habitants),
Posséder, sur le territoire du village, au minimum deux périmètres de protection, au titre des Monuments Historiques, des sites ou des sites patrimoniaux remarquables,
Témoigner d’une motivation collective au projet de candidature par la production d’une délibération du Conseil Municipal.«
En outre, le village doit présenter des gages de qualité : qualité patrimoniale et architecturale, qualités urbanistiques (accès, routes…), ainsi que la preuve d’un certain nombre d’efforts de mise en valeur (végétalisation, éclairage public, stationnement, discrétion des réseaux électriques et téléphoniques…)
L’adhésion, après validation, demande un investissement collectif et financier, d’autant plus que « Chaque village membre fait l’objet d’une réexpertise tous les six à neuf ans (selon le niveau de réserves exprimé dans le rapport d’expertise initial ou précédent) afin de vérifier qu’il satisfait toujours aux critères », est-il précisé dans le processus de sélection. Ceci dans une perspective d’émulation. L’avantage du réseau est aussi que les villages profitent d’un échange des expériences : « Si les villages sont parfois très différents, ils connaissent souvent les mêmes problématiques, notamment parce qu’ils ont les mêmes contraintes dues au classement de leur patrimoine. »
Une dizaine de candidatures sont envoyées chaque année à l’association ; en moyenne, moins d’une candidature sur cinq est validée. Le nombre de villages adhérents n’a pas de palier : à l’été 2021, l’association compte 162 villages adhérents, répartis entre 70 départements. Le concept connaît un vrai succès : il a essaimé en Europe et au-delà (Asie et Amérique du Nord).
Ce n’est un secret pour personne, les restaurants ne sont pas sortis indemnes de tous ces derniers mois. Beaucoup de restaurateurs attendaient donc avec impatience la saison touristique, ouverte dès les mois de mai et juin, et surtout, les mois de juillet et août, où les touristes français et étrangers se déplacent pour leurs vacances.
A Marseille, le mois de juillet a été plutôt timide, mais août semble s’annoncer mieux, si toutefois les contraintes du pass sanitaire ne viennent pas handicaper les restaurants. « Une des chances de Marseille, c’est peut-être que beaucoup de Marseillais restent ici pendant leurs vacances, alors qu’à Paris, les habitants désertent la ville dès qu’ils le peuvent, résume le serveur d’un café sur le Vieux-Port de Marseille. Sans la clientèle étrangère, on a fait de moins bons chiffres que d’habitude en juillet, mais ça reste raisonnable, on a les Marseillais et les touristes français, et on commence à voir plus de touristes étrangers ces premiers jours d’août. »
Un peu plus loin sur le Port, cet avis est partagé par un gérant, qui ajoute : « C’est certain que les cafés et restaurants situés sur le Vieux-Port ou dans les coins touristiques sont avantagés. J’entends d’autres sons de cloches pour les restaurants qui n’ont pas ces avantages… »
Mais la vue parfois même ne suffit pas. Frédéric Jeanjean, de « La Brasserie des Templiers », le souligne, lui qui en saison normale, vit beaucoup grâce à la clientèle étrangère : « Les croisiéristes qui débarquent à Marseille sont sous capsule » : ils vont visiter les endroits touristiques comme Notre-Dame-de-la-Garde, sans vraiment prendre le temps de flâner au restaurant comme les autres années. Pour lui, « on ne peut pas dire que la saison a redémarré ; nous, on est entre -30 et -40% du chiffre moyen habituel. »
Et qu’augurer du pass sanitaire ? Cela va peut-être refroidir les gens, ceux qui ne sont pas vaccinés et ceux qui n’ont pas envie de montrer un pass sanitaire. Certains commanderont sur Uber Eats plutôt que de se déplacer, comme ils en avaient l’habitude pendant les confinements.
Il reste aussi le problème du manque de main-d’œuvre et de la vaccination obligatoire du personnel. Bref, un certain nombre de pointillés pour ces prochaines semaines.
La 7ème édition du Financial Innovation Day Méditerranée Provence (FidMed Provence) se tiendra le 5 octobre 2021 à Marseille. Le FidMed s’est imposé comme la journée de référence en matière de présentation du financement de l’innovation et des entreprises.
Cette journée contribuera encore une fois à présenter les nouvelles tendances de financement et l’émergence des nouveaux acteurs du Private Equity.
Les start-ups qui veulent proposer des solutions innovantes ou développer leur business peuvent postuler pour pitcher leurs solutions.
Les Jeux olympiques d’Equitation à Tokyo ont commencé le 24 juillet et se terminent le 7 août.Les épreuves des Jeux olympiques de concours complet ont pris fin aujourd’hui à Tokyo.Regard sur ces dernières épreuves, et sur les cavaliers français.
Les épreuves par équipe
Les épreuves des Jeux olympiques de concours complet ont pris fin aujourd’hui à Tokyo. Après trois reprises de dressage légèrement en dessous des espérances françaises plaçant l’équipe de France en neuvième position, les trois cavaliers français de concours complet Christopher Six sur Totem de Brecey, Nicolas Touzaint sur Absolut Gold*HDC et Karim Laghouag sur Triton Fontaine ont réalisé de très beaux parcours sur l’épreuve du cross qui s’est tenue le dimanche 1er août à Tokyo, leur permettant de remonter sur la troisième place du podium provisoire par équipe.
Ce parcours de cross (44 difficultés réparties sur 4420m à réaliser en un temps limite de 7min45) avait été réduit du fait des intempéries qui avaient dégradé la qualité du terrain. Il n’en restait pas moins technique que les parcours de cross de haut niveau internationaux, et nos cavaliers français s’étaient rendus sur site chacun des 5 jours précédant l’épreuve pour reconnaître à pied ce parcours et ses difficultés. Avec seulement 1,6 point de pénalité lié au faible dépassement du temps imparti pour Christopher Six et Totem de Brecey, 0,40 point de pénalité pour Nicolas Touzaint et Absolut Gold*HDC et un magnifique parcours sans faute dans le temps pour Karim Laghouag et Triton Fontaine, nos cavaliers bleus ont brillé sur ce cross japonais.
Ce lundi 2 août avait lieu la dernière épreuve par équipe du concours complet, l’épreuve du saut d’obstacles. Le premier cavalier bleu à s’être élancé sur les barres était Nicolas Touzaint sur Absolut Gold*HDC; il réalise un parcours sans faute sur les obstacles mais avec un léger dépassement du temps imparti lui coûtant 0,40 point de pénalité. Ensuite, Karim Laghouag et Triton Fontaine sont sortis de ce parcours avec 4 points de pénalité à cause d’une barre tombée. C’est le très beau parcours sans faute de Christopher Six avec Totem de Brecey qui offre à la France sa 7ème médaille de bronze et 23ème médaille olympique de ces Jeux olympiques 2021. Avec cette troisième place en équipe, derrière la Grande-Bretagne championne olympique et l’Australie médaillée d’argent, nos trois cavaliers bleus ont évidemment pu se qualifier pour la finale individuelle.
La finale individuelle
Cette finale individuelle de concours complet était un parcours de saut d’obstacles très technique puisque sur 25 cavaliers partants, seulement deux ont réussi à le réaliser sans fautes sur les barres et dans le temps imparti. Un de ces deux cavaliers est le Français Nicolas Touzaint qui réalise un superbe parcours, lui offrant la tête du classement provisoire pendant quelques minutes. Malheureusement, le Français s’est vu reculer à la 6ème place du classement final de l’épreuve remportée par l’Allemande Julia Krajewski et sa jument française Amande de B’neville qui ont tout simplement survolé les barres. La médaille d’argent individuelle revient au Britannique Tom McEwen et Toledo de Kerser suivi par l’Australien Andrew Hoy et Vassily de Lassos médaillés de bronze. Nos Français, eux, ont respectivement terminé 6ème (Nicolas Touzaint & Absolut Gold*HDC, sans faute), 7ème (Christopher Six & Totem De Brecey, 4 points sur une barre) et 12ème (Karim Laghouag & Triton Fontaine, 8 points sur deux barres et 0,80 point de temps dépassé) de cette finale individuelle.
Place maintenant à la dernière épreuve de ces Jeux olympiques 2021 d’équitation, le saut d’obstacles, du mardi 3 août au samedi 7 août, avec les deux premiers jours réservés aux épreuves individuelles suivis des deux épreuves par équipes. En espérant que les cavaliers français repartent du Japon avec le titre de champions olympiques, comme ils l’avaient fait à Rio en 2016 par équipe.
Après la tchatche et la légendaire exagération (« une bouture sur la réalité pour la rendre plus vraisemblable », disait Franck Fernandel), voici à présent une nouvelle spécialité marseillaise : il s’agit des larmes de crocodiles, c’est-à-dire des larmes hypocrites déversées avec force sanglots sur un drame ou une abomination pour émouvoir le bon peuple et en dissimuler l’origine scandaleuse.
J’ai lu avec consternation à peu près tous les commentaires parus dans la presse mainstream sur la tragédie de ces trois jeunes Nigérians qui se sont défenestrés le 17 juillet dernier à cinq heures trente du matin en sautant des 5ème et 7ème étages de la tour A2 de la cité des Flamants à Marseille (14ème) pour échapper aux flammes de leurs squats. Une tragédie atroce qui s’est soldée par trois morts, celles des trois jeunes Nigérians qui se sont précipités dans le vide et se sont écrasés au sol avant l’arrivée des secours, et trois blessés graves, deux hommes qui se sont jetés du deuxième étage et un bébé grièvement brûlé dans cet incendie criminel.
Pas un de ces commentaires éplorés, pas un seul, n’a fait la relation pourtant évidente, pourtant connue de tous, entre l’arrivée clandestine de ces migrants du Nigéria qui forcent délibérément nos frontières pour occuper des appartements sans droit ni titre et le drame horrible qui s’est ensuivi.
Pas un seul de ces commentateurs n’a osé incriminer les méfaits de l’immigration invasive, souvent extra-européenne, qui perturbe les équilibres sociaux, démographiques, économiques et identitaires dans les quartiers nord de Marseille et bien au-delà dans toute la France. Ce silence coupable, ce silence complice, c’est le résultat des aberrations du politiquement correct, du chauvinisme diversitaire et du délire socialo-progressiste.
Ce que je veux dire ici, c’est que la plupart des journalistes de la presse mainstream, ceux qui travaillent dans les médias de masse et reflètent les courants de pensée dominants, sont aveuglés par leur idéologie diversitaire et obnubilés par la discrimination dite positive qu’ils s’ingénient à promouvoir pour idéaliser le « vivre ensemble » dans une société de plus en plus fractionnée par ses « communautés » où la nation n’est plus qu’un souvenir historique.
Or, la mission première d’un journaliste, n’est pas de faire prévaloir ses propres convictions mais de dire la vérité. C’est la base de toute démocratie où le peuple a encore son mot à dire. La devise du Méridional est la suivante : « Les commentaires sont libres, les faits sont sacrés ». La charte professionnelle de la presse française stipule clairement « qu’un journaliste digne de ce nom tient la déformation des faits et le mensonge pour les plus graves fautes professionnelles et qu’il prend la responsabilité de tous ses écrits ».
Qu’attendent-ils donc pour accomplir leur devoir tout entier sans tordre les faits à leur convenance et sans omettre des faits d’évidence ? Qu’attendent-ils donc pour préciser que ces jeunes Nigérians n’avaient rien à faire dans ces tours A1 et A2 des Flamants où seuls quinze locataires ont un bail en règle tandis qu’une bonne centaine de squatteurs s’approprient les appartements en démolissant les portes d’entrée pour s’y introduire ?
Immigration et mafia des squats
Ces immigrés clandestins savent parfaitement que quarante-huit heures plus tard, grâce à la loi Dalo qui est dirigée contre le droit de propriété, ils seront quasiment les heureux propriétaires de fait de leur squat. Pourquoi se gêneraient-ils ?
Donc, premier scandale délibérément passé sous silence par la presse anti France : celui de l’immigration clandestine que le pouvoir encourage à tout va et qui ne fait qu’ajouter de la misère à la misère et du racisme au racisme. Second scandale: celui d’une loi scélérate, la loi Dalo, qui rend n’importe quel cambrioleur propriétaire de votre domicile si vous n’avez pas déposé une plainte contre lui dans les quarante-huit heures qui suivent son intrusion.
Seul Lionel Royer-Perreaut, maire LR des 9ème et 10ème arrondissements de Marseille et président de « 13 Habitat », le bailleur des Flamants, a expliqué en termes pertinents et mesurés pourquoi il se sentait gêné aux entournures : « C’est un drame qui illustre les limites d’un Etat de droit victime de la lourdeur de certaines procédures et de l’insuffisance de certaines lois qui nous empêchent d’agir quand il est encore temps, s’excuse-t-il. Nous, les bailleurs, nous constatons que les cités sont de moins en moins attractives à cause de l’accroissement des trafics et nos vacances de logements sont importantes. Dès lors, quand nous sommes confrontés à des implantations de squats, nous nous trouvons très seuls pour agir. »
Il est vrai que la police est souvent trop occupée pour intervenir dans les quarante-huit heures afin d’expulser les intrus et, au-delà, c’est la justice qui tranche plusieurs mois après sans qu’on soit sûr de l’expulsion qui s’impose. Pendant ce temps, les filières structurées du grand banditisme prennent de force les appartements du bailleur et les sous-louent à des migrants en les obligeant à participer au trafic ou à s’adonner au proxénétisme pour pouvoir payer leur dette locative…La situation est identique à Kallisté, à la cité Corot et à Campagne Levêque.
Ce que révèle en creux Lionel Royer-Perreaut, c’est qu’il existe à Marseille une « mafia des squats » qui prospère sur la misère de nouveaux venus qu’on a imprudemment admis sur notre territoire. C’est le troisième scandale que se gardent bien de dénoncer les valets de la bien-pensance, celui des marchands de sommeil et des vendeurs de mort en sachets.
Pourquoi les journalistes dûment avertis dissimulent-ils ces faits gravissimes ? Pourquoi se refusent-ils à dévoiler que dans certaines cités où sévissent les caïds de la drogue les trois quarts des logements sont squattés et servent surtout de bases de repli à leurs activités criminelles ?
Craignent-ils à ce point de dénoncer ce qui ressemble fort à une seconde rue d’Aubagne ? Ils se sont évertués à évoquer « un drame humain épouvantable » alors qu’il s’agit d’une tragédie politique doublement couverte par l’omerta des caïds et celle des journalistes. Car le feu qui a pris dans cette tour était intentionnel, les pompiers l’ont compris tout de suite. Il visait clairement à s’en prendre à la vie des Nigérians, soit parce qu’ils n’avaient pas acquitté leur « loyer », soit parce qu’ils refusaient de participer aux trafics très lucratifs des voyous.
Il s’agit donc purement et simplement d’une vendetta inter-ethnique opposant des trafiquants d’origine maghrébine à des migrants illégaux d’Afrique noire qui refusent de leur obéir ou se rebellent contre leurs prétentions financières.
Imaginez un instant que des Européens aient allumé cet incendie criminel, on aurait eu droit à des torrents d’articles stigmatisant « les Blancs racistes d’extrême droite« . Mais comme nous avons affaire en l’occurrence à des Français d’origine immigrée, il est impossible de fustiger leurs agissements, sauf à lézarder l’idéologie diversitaire d’une grande majorité de rédacteurs inféodés à la pensée obligatoire. Le cas s’était déjà produit à Marseille lors de l’incendie volontaire d’un camp de Roms perpétré par un Maghrébin raciste : l’affaire avait été enterrée.
Tel est le quatrième scandale que recèle cette dramatique affaire :la plupart des journalistes mainstream s’autocensurent pour donner libre cours à leur propagande diversitaire. Quand tous les méchants viennent d’ailleurs, il n’y a plus aucun manichéisme possible. C’est la faute à pas de chance.
Le cinquième scandale, qu’ils taisent pieusement, c’est que le Conseil départemental, en charge de l’accueil des jeunes migrants clandestins, débourse pour chacun d’eux une somme de 4000 euros mensuels pour les loger à l’hôtel, les nourrir, les vêtir, les soigner gratuitement et leur trouver du travail, s’ils sont employables. Et pendant ce temps-là, en désespoir de cause, nos agriculteurs et nos policiers se suicident, faute de ressources ou d’espoir.
Les journalistes mainstream ne parlent jamais des problèmes essentiels qui taraudent les Français : le retour des frontières, la fin de l’immigration invasive, la tolérance zéro contre les trafiquants, la traque effective des toxicomanes, l’application réelle des sanctions, la lutte contre les terroristes islamistes, l’abolition de la loi Dalo, la majoration des peines pour les récidivistes, la refondation de l’école…
Et vous vous demandez pourquoi la France est en perdition avec des journalistes qui trahissent ainsi leurs missions premières ?
Les Jeux olympiques d’athlétisme se déroulent entre le 30 juillet et le 8 août. Course, saut, lancer, marche… les épreuves sont nombreuses dans cette discipline. Benoît Z suit les athlètes français, et nous a partagé son carnet de bord des épreuves d’athlétisme des derniers jours :
Le marathonien français Benoît Zwierzchiewski, dit Benoît Z, a égalé le record d’Europe à Paris en 2003. Il demeure le recordman de France de la discipline, a été vainqueur du Marathon de Paris en 2002, et du Marathon de Marseille en 2009 et 2011. L’athlète développe aujourd’hui le sport grâce à sa salle de sport-santé-bien-être, Be Zen, située à Marseille.
Quel finish !
Alexis Phelut termine 3ème de sa série du 3 000 mètres steeple en 8’19 »36 et se qualifie pour la finale des Jeux olympiques de Tokyo ! L’athlète de Clermont Auvergne Athlétisme ne pouvait pas mieux rêver pour sa toute première sélection chez les seniors.
Il a tout donné !
Morhad Amdouni prend la 10ème place de la finale olympique du 10 000 mètres en 27’53 »58 à Tokyo. L’aventure nippone du licencié de Val d’Europe Montévrain Athlétisme se poursuivra le dimanche 8 août avec le marathon.
Quelle course ! Magnifique !
Gabriel Tual se classe 3ème de sa demie du 800 mètres en 1’44 »28, nouveau record personnel, et se qualifie au temps pour la finale des Jeux olympiques de Tokyo2020. Rendez-vous mercredi 4 août à 14h05 pour l’athlète de l’US Talence Athlétisme !
Si près du top 8 !
Rouguy Diallo a pris la 9ème place de la finale olympique du triple saut avec 14,38 m (+0.9) à Tokyo. Avant-dernière concurrente à s’élancer, Kimberly Williams a dépassé la Française sur sa toute dernière tentative pour intégrer in extremis le groupe des finalistes.
La première finale olympique de sa carrière
Dans la nuit de dimanche à lundi (en France), Quentin Bigot s’est qualifié en beauté pour la finale du lancer de marteau, avec un second jet à 78,73 mètres; confortablement au-dessus des 77,50 mètres exigés pour la participation à la suite. Le Français disputera donc la première finale olympique de sa carrière, mercredi 4 août à 13h15.
19 ans et un sacré sens de la gagne
Gémima Joseph, unique athlète française sur le 200 mètres aux JO de Tokyo, a empoché lundi sa qualification pour les demi-finales, en terminant 3ème de sa série (22″94). Devant elle, la Suissesse Mujinga Kambundji (22 »26) et l’Américaine Anavia Battle (22 »54).
Les prochaines épreuves à surveiller ce lundi 2 août : 12h32 : Gémima Joseph en demi-finale du 200 mètres 14h15 : Alexis Phelut en finale du 3 000 mètres steeple.
A partir du 6 août (et jusqu’au 10 octobre), le Chef étoilé Mory Sacko s’installera au restaurant panoramique du Cercle des Nageurs de Marseille. Une collaboration qui s’établit à l’occasion du centenaire du club. L’installation, terrasse éphémère, est indépendante des autres installations du club (pizzeria etc.)
Le Chef Mory Sacko, candidat de Top Chef saison 11, propose une cuisine street-food aux notes africaines et asiatiques mélangées.
La Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur regorge de trésors. De belles pépites de villages transmettent l’histoire et les fiertés du territoire. Chaque dimanche de ce mois d’août, Le Méridional a choisi de mettre en valeur, après visite, un village de la région.
On est surpris, en arrivant à Lourmarin (Vaucluse), de se sentir si dépaysé, alors même que le village se trouve à 70 km de Marseille, un peu moins d’Avignon et seulement à une trentaine de kilomètres d’Aix-en-Provence. Au pied du massif du Luberon (les Lourmarinois ne s’accordent pas sur la prononciation du nom de ce massif montagneux qui s’étend sur plus de 60 kilomètres : « Luberon » ou « Lubéron » ?) et situé non loin de la Durance (affluent du Rhône), qui marque aussi la limite avec le département des Bouches-du-Rhône, il est entouré d’arbres fruitiers et d’oliviers.
L’histoire à Lourmarin a laissé des traces : dans son nom d’abord, dont l’origine n’est pas établie, mais qui aurait été forgé par les Romains ; et des traces concrètes : vestiges d’une nécropole de la période du Bronze, ruines de forteresses romaines. Au VIIème siècle, la vague sarrasine venue d’Espagne apporte la désolation. Et plus tard, au XVème siècle, le château est édifié sur les restes d’une ancienne forteresse ; il a été très bien restauré en 1921-1923 par les soins d’un érudit et industriel lyonnais Robert Laurent-Vibert, alors qu’il allait servir de carrière de pierres… Quelques façades de maisons de l’époque Renaissance peuvent être repérées par le visiteur attentif, avec de belles fenêtres à meneaux.
Idéalement placé, le village connaît au cours des siècles une intensification des échanges commerciaux, malgré le départ de familles protestantes en 1685 lors de la révocation de l’Edit de Nantes. Autre souvenir sombre : la peste de 1720 qui, bien connue dans la région, n’épargne pas le village. A la Porte de la Cordière, de la Chapelle, de la Terrasse et des Moulins, que l’on peut encore franchir, des veilleurs étaient chargés de contrôler les personnes qui entraient ou sortaient.
Au XIXème siècle, Lourmarin bénéficie du renouveau économique qui est alors en cours dans toute la région. Le commerce est florissant grâce à l’essor de l’agriculture et de l’artisanat. Au XXème siècle, côté historique, le village est fier de signaler que des personnalités telles que le général de Gaulle, Churchill ou la Reine mère Elizabeth (mère de Elizabeth II) sont passées par là. Côté littérature, deux grands amoureux du village : les écrivains Henri Bosco (1888-1976 – Le mas Théotime) et Albert Camus (1913-1960). Ce dernier avait décidé de réaliser à Lourmarin son rêve de posséder une maison dans le sud, grâce à l’argent de son prix Nobel de Littérature, décerné en 1957. Ce sera une maison discrète située aujourd’hui au 23 rue Albert Camus. Les deux écrivains sont enterrés au cimetière du village.
Lourmarin compte aujourd’hui moins de 1500 habitants à l’année. Labellisé parmi les « Plus Beaux Villages de France », il fait partie des lieux où se rejoignent de façon sobre l’histoire et le charme de la Provence. Avant de repartir, on peut aller flâner dans les ateliers d’artistes, et faire une provision de « gibassiers de Lourmarin », biscuits à l’huile d’olive en forme de feuille (à ne pas confondre avec les gibassiers-fougasses sucrés comme on en trouve au Four de Navettes de Marseille).
Les épreuves de judo aux Jeux olympiques de Tokyo ont commencé le 24 juillet et ont fini le 31. Retour sur les performances des athlètes français dans cette discipline, avec l’œil de Bastien Puget, entraîneur OM Judo.
« On a assisté à des Jeux olympiques très réussis, et qui finissent en apothéose avec la victoire française pour les équipes ; 7 médailles sur le plan individuel.
On a sans doute raté des médailles d’or qu’on pouvait espérer, c’est vrai ; Clarisse Agbegnenou nous a offert une belle médaille d’or. Avec Teddy Riner, on pouvait légitimement espérer l’or, d’autant plus avec ce qu’il avait montré dans la journée. Mais quatre médailles olympiques d’affilée, c’est incroyable ! A souligner surtout : il a su se remobiliser pour les équipes, pour cette finale rêvée France-Japon.
Alexandre Camarasa, ancien athlète professionnel et joueur du Cercle des Nageurs de Marseille, rend lui aussi hommage à Teddy Riner :« C’est vraiment un champion extraordinaire : quatre médailles en quatre olympiades, c’est un exemple pour nous tous. Son interview d’après-match a été fantastique. C’est quelqu’un d’extraordinaire en tant que champion et en tant qu’homme. La France est fière de lui, et merci à lui pour tout ce qu’il a apporté au sport français ! »
Tous ont contribué à la victoire française, tous ont apporté leur pierre à l’édifice. Ils avaient en face d’eux des athlètes redoutables (et les Japonais avaient outrageusement dominé en individuel).
Les équipes permettent à certains de se révéler, à d’autres de se rattraper aussi. C’était la première fois que la rencontre par équipes avait lieu au JO, et les Français l’ont vécu avec la manière ; historique. Ces JO sont une belle vitrine pour le judo français, et plus largement, pour le sport français. »