mercredi 6 novembre 2024
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Lettre ouverte des policiers honoraires au gouvernement

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Toujours sensible à la défense des institutions fondamentales de notre République,  Le Méridional se fait le média relais de l’appel de ces policiers honoraires qui nous rappellent le rôle crucial que joue une police dans l’établissement d’une société saine. Nous avons donc décidé de publier cette tribune sur notre journal et de l’ouvrir à la signature de l’ensemble des citoyens via notre compte change.org.

Monsieur le Président de la République,

Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement,

Mesdames et Messieurs les Parlementaires;

Conscients de vos prérogatives constitutionnelles et de vos obligations, nous vous demandons solennellement de tout mettre en œuvre pour mettre fin à la situation gravissime que traverse la France en matière de sécurité et de tranquillité publique. Aujourd’hui, l’autorité de l’Etat est battue en brèche par des minorités violentes. Les lois ne sont plus appliquées dans les territoires perdus de la République.

Or, les policiers et les gendarmes sont les gardiens de la paix et les protecteurs de nos institutions.  Ils sont la clé de voûte de toutes nos libertés. Sans sécurité, il n’y a point de libertés. La multiplication des attentats et des agressions violentes dirigées contre nos gardiens de la paix publique démontrent un refus de nos valeurs républicaines, de nos coutumes et de notre modèle de société dans des pans entiers de notre nation. Le meurtre sauvage à Avignon d’un de nos policiers gardiens de la paix en est la tragique illustration.

Les attaques de commissariats, à force ouverte, par des hordes d’individus armés et cagoulés, se propagent sur notre territoire en toute impunité, les violences aux personnes se répandent jusque dans l’intimité des résidences familiales et la seule réponse à ces crimes contre les forces de l’ordre réside dans des incantations compassionnelles qui demeurent sans effet sur le quotidien des Français.

Comme l’a souligné un ministre de l’Intérieur en quittant son poste, le pays s’est fragmenté en enclaves où l’on vivait jadis côte à côte et où l’on vit désormais face à face. Un face à face qui nourrit le communautarisme et menace la paix civile. Comme les deux fonctionnaires lâchement assassinés récemment, nous avons contribué à combattre sans relâche la criminalité et à rétablir l’ordre public durant des décennies.

Le ministre de l’Intérieur a déclaré à Avignon que les forces de l’ordre devaient mener une « guerre » sans merci contre les trafiquants de stupéfiants et d’armes, et que les policiers étaient des « soldats ». Certes, mais des soldats désarmés sont de simples cibles. Voilà pourquoi il convient de les réarmer matériellement, moralement et juridiquement pour leur permettre de mener à bien leurs missions sans risquer leur vie à tous les coins de rue.

Les policiers se heurtent aujourd’hui à l’hostilité d’une partie de la population et de certains politiciens dévoyés, ils doivent se justifier en permanence devant leur hiérarchie, les magistrats, les préfets et s’incliner devant le tribunal de l’opinion publique. Il est temps de prendre des mesures efficaces pour reconquérir notre propre pays et rétablir l’autorité de l’Etat partout où elle est défaillante.  Il est temps de faire respecter les valeurs de la France et de ne plus accepter l’inacceptable. Il est temps de réagir.

Les policiers et gendarmes ont déjà payé un lourd tribut en vies humaines et en blessures irrémédiables : la peur  doit changer de camp.

Les familles des policiers et gendarmes doivent être protégées et les policiers doivent retrouver leur fierté d’exercer le plus noble métier qui soit : celui de protéger les citoyens et de les défendre. La réponse pénale doit être adaptée de telle manière que les condamnations soient réellement exécutées et à la hauteur des forfaits commis.

L’urgence commande également de contrôler l’immigration clandestine qui gangrène de nombreux quartiers et contribue à alimenter désordre et délinquance. L’anarchie est partout quand la responsabilité n’est nulle part. La France ne doit pas basculer dans le chaos. La police française ne peut pas tolérer que demain les forces armées la remplacent pour éviter une guerre civile.

Nous formons le vœu que notre appel au sursaut national soit entendu par les pouvoirs publics et nous joignons nos voix à celles de nos camarades militaires qui se sont exprimés en premier. Les défis à venir sont cruciaux. Nous sommes déterminés à aider nos collègues en activité à faire face et à recouvrer leur considération perdue.

Policiers retraités honoraires signataires

Contrôleur général Alain Deschamps -Commissaire Divisionnaire Claude Dupont-Commissaire Divisionnaire Gilles Le Cam -Commissaire Principal Henri Coulon-Commissaire Principal Pierre Chassagne – Commandant de police Edmond Marmorato- Commandant de Police Pierre Folacci- Commandant de Police Yves Lamacchia – Commandant de Police Serge Popof- Commandant de Police Christian Heirich – Commandant de Police Lucien Andolfatto- Commandant de Police Jean Marc Maury- Commandant de Police Daniel Noël Navarro – Commandant de Police Bruno Papet- Commandant de Police Jean Marc Blanc- Commandant de Police Michel Trabis- Commandant de Police Serge Craste – Commandant de Police Chantal Dreux- Commandant Antoine Houspic- Chef inspecteur Divisionnaire Henri Sabattier – Capitaine Roger Antonelli – Capitaine Henri Giacomelli- Capitaine Paul Farina – Officier de Police Henri Mazier- Secrétaire Administratif Christine N’Guyen- Major Léon Beraudo- Major Marie Pierre Dion- Brigadier Major Georges Rasa- Major Nelly Antoinette – Major Robert Paturel- Major Jean Pierre Petit – Major Francois Castellani – Major Andre Chopard – Major Daniel Fernandez – Major Michel Bonnaure – Major Gilles Di Rosa- Major Francois Candotti- Major Jean Luc Chevalier- Major RULP Patrick Bonci – Major Herve Ribaud – Major Marius Nieri – Major Simon Ferrante- Major Marcel Maunier- Brigadier Chef aime Bordes – Brigadier Chef Pierre Wenger – Brigadier Chef Maurice Pesoli- Brigadier Chef Ariane Pothier- Enquêteur Michel Lapierre – Brigadier Bernard Ferra- Brigadier Yves Melquiot- Brigadier Christian Salvi- Brigadier Roger Lalouette – Brigadier Rey Gil – Sous brigadier Thierry Jacquette- Sous brigadier Michel Jacquet – Sous brigadier Hubert Bottalico- Sous brigadier Yves Fulconis- Sous brigadier Claude Camera- Commandant de police Bernard Baleste- Major Pascal Molina- Major Jean-Michel Parello- Commissaire Divisionnaire Joël Balaud – Capitaine de police Bernard Haffner- Commandant André Darrieumerlou- Commandant Patrick Rouvière- Commandant François Mauriés- Brigadier Jean-Marc Perrin- Major Gérard Sartori- Commandant Claude Fleurbe- Major Alain Labouz- Commandant Serge Muller- Major Martine Colombo- Commandant Jacques Bes- Gérard Falandry- Commandant Jean Dominique Sottet- Major Hervé Bringer- Commandant Didier Favreau- Brigadier major Michel Mabilat- Brigadier major Henri Brousset- Major RULP Didier Vierne.

Immobilier : Art Promotion poursuit sa stratégie de diversification

©Art Promotion

Le groupe Art Promotion, spécialisé dans la promotion immobilière résidentielle, vient de créer une nouvelle direction. Il s’agit de la « Direction de l’Immobilier Tertiaire et Nouveaux Produits ». Cette nouvelle direction intervient dans la stratégie de diversification du groupe.

Cette activité aura pour objectif d’élargir l’expertise de promotion du groupe, ce qui lui permettra ainsi de réaliser des opérations immobilières avec une plus grande diversité de produits. Cette diversification permettra aussi à Art Promotion d’intervenir plus largement sur le territoire méditerranéen.

Julie Carcassonne, auparavant Responsable Innovation et Développement et présente dans le groupe depuis 5 ans, prend la tête de cette nouvelle direction. Elle déploiera les ambitions du groupe Art Promotion en matière d’activités de bureaux, de résidences gérées et de résidence spécialisée. Un deuxième poste est également créé dans la même logique. Il s’agit de Philippe Scotto, qui prend le poste de Directeur Immobilier Résidentiel.

FidMed, la journée dédiée à l’innovation à ne pas manquer – 1er juillet 2021

© FidMed DR

Le FidMed, c’est le Financial Innovation Day Méditerranée. Créé en 2015 à Marseille, il se présente comme La journée dédiée au financement de l’Equity de l’entreprise innovante. Le FidMed Riviera se tiendra cette année le 1er juillet 2021 à Sophia Antipolis.

Le FidMed Riviera présentera cette année sa troisième édition. L’objectif de cette journée phare est, encore une fois, de présenter les nouvelles tendances du financement, ainsi que l’émergence des nouveaux acteurs du Private Equity. Le FidMed veut faire le lien entre les différents acteurs du financement de l’innovation (financeurs, fonds d’investissement, institutions…) et les entreprises innovantes. Des experts viennent échanger sur ces problématiques actuelles, foisonnantes et passionnantes. C’est aussi l’occasion d’assister aux pitchs des start-ups qualifiées.

Les candidatures pour les séances de pitch sont ouvertes, pour tous ceux qui souhaitent présenter leur entreprise, rencontrer des acteurs du financement et des investisseurs ! Il s’agit d’une opportunité précieuse pour les start-ups du territoire.

FidMed Riviera, le 1er juillet 2021 à Sophia Antipolis. L’événement tiendra évidemment compte des mesures sanitaires en vigueur à l’été.

Pour candidater: http://fid-med.fr/candidatez-au-fid-med-riviera/

Marseille : la double faute de Benoît Payan

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Le maire socialiste de Marseille a commis deux fautes majeures en l’espace de quelques jours. La première a eu lieu le 8 mai dernier. Ce jour-là, pour la première fois depuis soixante-seize ans, le premier magistrat de la ville ne s’est pas déplacé sous l’Arc de Triomphe pour assister aux cérémonies de commémoration de la victoire du 8 mai 1945. Il a préféré se retrancher dans son bureau pour rendre hommage au 7ème régiment des Tirailleurs algériens qui a contribué, il est vrai, à la libération de Marseille en août 1944.

Est-ce une raison pour dédaigner une cérémonie officielle d’hommage à tous les soldats morts pour la Libération de la France, quelle que soit leur origine, leur provenance ou leur couleur de peau ? Pourquoi faire fi, entre autres, du sacrifice des hommes du Deuxième régiment des Cuirassiers, des soldats des Forces françaises de l’Intérieur et des Tirailleurs tunisiens et sénégalais qui sont tombés en grand nombre aux côtés des Tabors marocains et des soldats du 7ème régiment des Tirailleurs algériens commandés par le colonel Chappuis ?

Pourquoi cet hommage solitaire, parcellaire, sinon partial ? Ignorez-vous, M. Payan, que c’est le commandant René Valentin qui était à la tête du Deuxième bataillon du Troisième régiment des Tirailleurs algériens, et qu’il a été tué lui aussi en donnant l’assaut ? Savez-vous que le maréchal des Logis André Keck, chef du char Jeanne d’Arc, le brigadier Roger Guillot et le radio-chargeur Maurice Clément sont morts brûlés vifs lorsque leur char a été atteint par une grenade incendiaire place du colonel Edon, en contrebas de Notre-Dame-de-la-Garde ?

Ne croyez-vous pas que ces héros de la nation française méritent un hommage au moins équivalent à celui de leur frère d’armes Ahmed Litim, mort lui aussi à Marseille le 25 août 1944 sous le feu des occupants nazis ? En réalité, si vous privilégiez ce soldat algérien, ce n’est pas sans arrière-pensées. Vous affichez de nouveau une posture électorale, comme lorsque vous étiez prétendument le second derrière Mme Rubirola. Votre objectif masqué est évident : vous vous présentez aux élections départementales dans le Premier canton de Marseille et vous souhaitez mobiliser en votre faveur à la Belle de Mai et dans le 1er arrondissement l’électorat issu de l’immigration…

Indécrottables socialistes : ils ne songent qu’à leur réélection. Alors que la France combattante se prosterne comme un seul homme devant les stèles du souvenir, alors que tous les maires des communes du département participent avec recueillement aux cérémonies, M. Payan montre son souverain mépris. Les porte-drapeaux des anciens combattants n’en sont pas revenus. La place Jules Guesde était dans un état de saleté repoussante. « Les lieux étaient infestés d’excréments et d’urine et nous n’avions aucun support pour nos gerbes », témoigne le colonel Jean-Claude Baffie, animateur de plusieurs associations d’anciens combattants.

« Le monde combattant est outré de ce manque de respect envers nos morts et à l’égard de nos anciens qui se dévouent pour honorer la mémoire de leurs glorieux frères d’armes », ajoute le colonel Baffie. Les maires étaient présents partout, sauf à Marseille. Et savez-vous ce que Benoît Payan mijotait dans son bureau ? Il tramait un mauvais coup contre un ancien Maréchal de France.

Pas n’importe lequel. Thomas Bugeaud, le gouverneur qui organisa la conquête de l’Algérie et battit Abd el-Kader près de l’oued d’Isly au Maroc. Pour Benoît Payan, cette grande figure de l’histoire de France n’est qu’un « bourreau« . Il a donc décidé de débaptiser l’école Bugeaud, et de la rebaptiser du nom du soldat inconnu algérien Ahmed Litim. Au cœur de son canton. Pour des raisons électorales dissimulées derrière de grands principes gauchisants. Voilà sa seconde faute majeure.

Demain, il débaptisera peut-être pour d’obscures raisons la place du général De Gaulle, la rue Foch ou l’avenue Joffre. Et le conseil municipal gauchiste entérinera ses décisions indignes. Les généraux De Larminat, Guillaume, Besançon ou De Lattre, qui ont libéré Marseille, doivent se retourner dans leurs tombes … et, peut-être le soldat Ahmed Litim lui-même serait-il indigné d’être utilisé par des politiciens plutôt qu’honoré par ses pairs.

José D’Arrigo, rédacteur en chef du Méridional

Natation : à Marseille, des athlètes concentrés sur les JO de Tokyo

Au Cercle de Nageurs de Marseille © Le Méridional

Ils sont huit à répondre aux questions de la presse ce mardi 11 mai au Cercle des Nageurs de Marseille. Florent MANAUDOU, Mélanie HENIQUE, Clément MIGNON, Julien BEROL, Mehdy METELLA, Stanislas HUILLE, Anouchka MARTIN et Théo BUSSIERE. Qualifiés pour les Championnats d’Europe de Budapest (17-23 mai) et les Jeux Olympiques de Tokyo (23 juillet – 8 août), ils nous parlent de leur forme et de leur concentration alors que se profilent les compétitions.

« Ça fait plaisir de revêtir les couleurs de l’équipe de France », commence en souriant Mélanie Henique. En effet, ils et elles ont hâte de partir en compétition, même si tous ne participeront pas aux Championnats d’Europe.

En revanche, Florent Manaudou le souligne, c’est difficile pour les athlètes d’avoir deux excellents pics de forme dans l’année. Le but c’est d’aller aux Jeux, tout en performant tout de même aux Championnats de Budapest.

Le mot du Président du Cercle des Nageurs de Marseille, Paul Leccia. © Le Méridional

Malgré un protocole sanitaire quotidien, les athlètes professionnels ne se laissent pas impressionner. Pour eux, il faut parvenir à mettre de côté les aléas des annonces et rester concentrés sur l’entraînement. Ils ont appris à s’adapter énormément, en se challengeant les uns les autres, notamment les aînés vis-à-vis des plus jeunes. Paul Leccia, Président du Cercle des Nageurs de Marseille, souligne l’importance de l’exemple donné : « C’est d’être tous ensemble qui nous fait avancer. » Les nageurs ne se posent plus la question de l’éventualité d’une annulation : ils préfèrent rester dans la préparation.

Le 11 mai 2021, au Cercle des Nageurs de Marseille. De gauche à droite : Stanislas Huille,Julien Berol, Mehdy Metella, Clément Mignon, Mélanie Henique, Anouchka Martin, Théo Bussière et Florent Manaudou. © Le Méridional

Le report des JO de l’année dernière … a même été une chance pour certains ! C’est le cas pour Julien Berol; il se déclare, en un sens, content de cette décision qui lui a permis de mettre à profit les mois d’entraînement, et de se qualifier.

Florent Manaudou conclut : « J’ai l’intime conviction que les JO auront lieu. Et nous, fin juillet, on sera prêts. » La promesse d’une fine équipe pour représenter la France.

Sorgues – Une expo photo pour préparer l’étape du tour de France

© WKMC

Le départ du Tour de France n’est plus si loin. La 108ème édition se tiendra du 26 juin au 18 juillet 2021. La ville de Sorgues (Vaucluse) n’est pas peu fière d’être le point de départ de la 11ème étape. Le 7 juillet, les cyclistes s’élanceront depuis Sorgues, rouleront à travers le département, franchiront deux fois le sommet du Mont Ventoux et arriveront à Malaucène.

Cet événement prochain est une bonne occasion pour aller voir l’exposition de photos organisée par la ville (dans le centre-ville et au parc municipal). Intitulée « Le Tour de France et le Vaucluse », elle revient en images sur quelques-unes des aventures humaines vécues par les coureurs des décennies précédentes, sur les  parcours passant par le département. Un coureur en particulier représente la fierté de la région : Jean Milesi, « le Sorguais qui a couru sept Tour de France » d’affilée, de 1960 à 1966. Son nom reste attaché à la légende du cyclisme national et international.

L’exposition mêle clichés en noir et blanc et en couleurs, et fait magnifiquement sentir l’ambiance à la fois joyeuse et électrique entourant le Tour de France … qui arrive très bientôt !

Le parcours entre Sorgues et Malaucène © Ville de Sorgues

Présidentielle 2022 : l’élection se jouera à droite

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Une étude récemment réalisée par la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) souligne une augmentation du pourcentage des citoyens européens adhérant aux « valeurs de la droite » (l’analyse porte sur la France, l’Allemagne et l’Italie; et le Royaume-Uni.) L’étude rapporte qu’« en moyenne, dans les quatre démocraties étudiées, 39 % des répondants s’autopositionnent à droite (entre 6 et 10 sur l’échelle), 27 % à gauche (entre 0 et 4) et 20 % au centre (5). »

Les Français ne font pas exception dans le paysage. Même si la notion de « droite » reste très large, il apparaît qu’en cinq ans, la part des Français se déclarant comme tels est passée de 33% (2017) à 38% (2021). La considération des valeurs de droite passe notamment par l’étude du nationalisme via la question identitaire, du libéralisme économique et du libéralisme politique indexé à l’individualisme. La part de citoyens se disant « de gauche » est restée la même ces dernières années (avoisinant les 25%).

Cette étude est particulièrement intéressante à un an des élections présidentielles françaises. Elle veut « contribuer à une meilleure appréhension des ressorts de l’inclinaison à droite qui semble s’opérer au sein de l’opinion dans quatre grandes démocraties européennes. »

Les plus beaux champs de coquelicots près de Marseille

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Ça y est, les coquelicots font leur grand retour avec le mois de mai. Ces fleurs fragiles poussent souvent dans les champs en jachère, ou dans les cultures comme le blé ou autres graminés (sans pesticides). Où peut-on admirer les plus beaux champs de coquelicots près de Marseille ?

Près de Marseille, mais plutôt près d’Aix-en-Provence ! Sur les réseaux sociaux, les internautes de la région semblent être d’avis que les plus beaux panoramas de champs de coquelicots se trouvent vers Beaurecueil et Roquefavour. Le premier offre une explosion de couleurs, avec en fond la Sainte-Victoire et les forêts qu’elle domine. Le deuxième est à voir autour de l’aqueduc de Roquefavour, le plus grand pont aqueduc en pierres du monde, haut de 82 mètres et long de 375 mètres et construit entre 1841 et 1849 (il est en rénovation pour plusieurs années). Les coquelicots, eux, peuvent être admirés de mai à septembre environ.

Le Var, une destination favorite pour l’Ascension

Village de Port-Cros © WKMC

Le site PAP (location de « Particulier A Particulier ») signale une hausse de réservations depuis la fin du mois d’avril. Le littoral est l’endroit le plus prisé. En 2021, les réservations pour la mer s’élèvent à 87%, contre 82% en 2019. Le département du Var (83) est la première destination, devant le Morbihan (56), la Charente-Maritime (17), la Vendée (85) et le Calvados (14).

Ces départements devraient également voir une forte fréquentation touristique cet été, selon les premières estimations.

La police attend une réponse claire de Jean Castex

Jean Castex @ WKMC

Jean Castex reçoit ce lundi soir les représentants des syndicats de police. Après le meurtre de deux de leurs collègues à Avignon et Rambouillet, ces derniers attendent une réponse en acte du gouvernement.

Le Premier ministre Jean Castex, ainsi que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, seront présents demain à Avignon pour rendre un hommage officiel au policier Eric Masson, abattu mercredi dernier. Une foule de milliers de personnes, dont les représentants des syndicats de police, s’est rassemblée hier sur le parvis du commissariat d’Avignon.

Les différents fonctionnaires des forces de l’ordre se déclarent à bout. Les initiatives qui se multiplient ces derniers jours le montrent : ceux qui assurent la sécurité du pays à différents niveaux veulent se faire entendre, et réclament la fin d’un laxisme judiciaire.