jeudi 8 mai 2025
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Le coin des livres – « Le management selon Jésus » : l’Evangile autrement

On peut sans doute être étonné d’un titre qui annonce « Le management selon Jésus »… qui aurait jamais pensé le Christ comme le coach conseillant les chefs d’entreprise d’aujourd’hui, dépassés par le quotidien ? On ne cherchera pas, dans cet ouvrage, la justesse et la précision théologique. L’idée même est originale et intéressante.

Après tout, Jésus et son père charpentier travaillaient bien au sein d’une « PME » (Petite ou Moyenne Entreprise ») ; et oui, il faut dire que celui qui a commencé sa vie de prêcheur autour de la trentaine avait un sacré talent d’orateur et de meneur d’hommes : comment recruter une équipe d’apôtres, et leur transmettre leur mission ? Quand on y pense, les Evangiles nous livrent en effet le portrait d’un chef pédagogue, qui parle en paraboles pour faire comprendre à tous son message. Rien ne manque dans la façon de conduire son équipe : une phrase choc comme « aimez votre prochain comme vous-même » est ainsi exceptionnellement clairvoyante ; on le répète bien aujourd’hui, on ne peut estimer les autres si on ne s’estime pas d’abord soi-même… Sont aussi abordées les questions de la bienveillance, de l’exemple, mais aussi du pardon (comment traiter le « cas Judas » en entreprise… ?)

Pourquoi pas, dans ce cas, s’inspirer de ce charisme exceptionnel pour orienter les chefs d’entreprise de 2022 ? Les deux auteurs du « Management selon Jésus », Florian Mantione et Hervé Ponsot, ont conçu le livre comme un échange à bâtons rompus entre le Christ et un curieux du monde des Relations Humaines. Une initiative qui montre, d’une façon amusante, la modernité de la parole et de la façon d’agir du Christ.

Jeanne RIVIERE

« Le management selon Jésus », Florian Mantione et Hervé Ponsot, éditions du Cerf, novembre 2021, 243 pages, 20€.

Aix – « Trésors de Venise » à l’Hôtel de Caumont : une première hors d’Italie

Domenico Bigordi, dit Ghirlandaio (Florence, 1449-1494), "La Vierge adorant l'ENfant avec deux anges", vers 1490-1495 © Fondation Giorgio Cini

En ces temps où il est plus sage, mais frustrant, de remettre ses voyages à plus tard, on peut tout de même avoir le plaisir de changer de ciel. A Aix-en-Provence, l’Hôtel de Caumont propose, jusqu’au 27 mars 2022, une superbe exposition de la collection Cini : son titre, « Trésors de Venise », ne nous déçoit pas.

Fra Filippo Lippi (vers 1406-1469), « La Vierge et l’Enfant entourés de saints et d’anges avec un dévot, vers 1432 © Fondation Giorgio Cini

Il faut souligner la chance de recevoir ici, en Provence, la première présentation de cette incroyable collection hors d’Italie. Sa vie durant, Vittorio Cini (1895-1977) n’a eu de cesse de rassembler des œuvres toutes plus belles les unes que les autres. D’une curiosité insatiable, il trouve des conseils avisés auprès de prestigieux historiens de l’art : en l’espace de cinquante ans, il réunit sculptures, peintures sur bois, dessins, gravures, mobilier, ainsi que des porcelaines vénitiennes et des ivoires français et des miniatures.

Jacopo Carucci, dit Pontormo (1494-1555), « Double portrait de deux amis », 1523-1524 © Fondation Giorgio Cini

Pas besoin de s’approcher pour lire les noms des artistes pour être ébloui par les œuvres : les Toscanais comme Fra Angelico, Filippo Lippi, Piero di Cosimo ou Jacopo Pontormo côtoient les Vénitiens comme Lorenzo et Giandomenico Tiepolo. Entre peintures sur bois, dessins et enluminures, la Renaissance est mise à l’honneur. Vittorio Cini appréciait particulièrement les Primitifs italiens, les époques ferraraise, florentine et siennoise.

Maître du polyptyque de la chapelle Médicis (XIVème siècle), « La Vierge et l’Enfant sur un trône entre les saints Pierre et Paul et deux anges » © Fondation Giorgio Cini

On retrouve la finesse et la profondeur d’une époque empreinte de spiritualité. Tous les visiteurs ne sont en revanche pas forcément sensibles au « dialogue » proposé avec des œuvres contemporaines… Mais ce qui est certain, c’est que la collection Cini reste une source d’émerveillement pour tous, et représente une source d’inspiration inépuisable pour les artistes d’aujourd’hui.

Jeanne RIVIERE

Syrie : des jouets de Noël pour les chrétiens d’Orient

© Pxb

Nombreuses sont malheureusement les régions en Orient où les chrétiens s’apprêtent à fêter Noël dans des conditions précaires. L’association SOS Chrétiens d’Orient a à cœur de leur apporter un soutien moral et matériel. En Syrie, 90% de la population vit sous le seuil de pauvreté à cause des sanctions économiques. Cette année, l’association se rendra pour Noël auprès des habitants de dix villages chrétiens de la région de Homs ; des cadeaux seront distribués à plus de 1 000 enfants. Ailleurs, au Liban, en Egypte ou en Arménie, des bénévoles organisent un moment chaleureux avec des familles qui ne peuvent pas célébrer dignement Noël.

Trésors du Sud – Bataille de la truffe : protéger les diamants noirs de Provence

© Pxb

Le sujet revient de plus en plus sur le terrain : le monde trufficole réclame une attention particulière et une protection de ses produits. Il faut savoir que la production de ce marché de niche est représentée à 60% par la Provence ! Un chiffre qui justifie largement l’engagement des politiques locaux. Jean-Marc Zulesi, député dans le 8ème circonscription des Bouches-du-Rhône, a déposé le 30 novembre dernier une question à ce sujet à l’Assemblée nationale. Il nous éclaire sur les tenants et les aboutissants de ce dossier.

Truffes fraîches, huile de truffe, sel à la truffe, beurre à la truffe… la déclinaison ne s’arrête pas. A l’approche de Noël et du Premier de l’An, nombreux sont les Français qui vont ajouter la truffe à leur menu, la plupart de façon exceptionnelle. Pourtant, peu de consommateurs ont conscience de ce qui se joue autour de la « bataille de la truffe » ; actuellement, le flou demeure sur ce marché, aussi bien au niveau international qu’européen et national. Il faut savoir que le marché français se fait envahir par les produits issus d’autres pays, notamment la Chine, l’Espagne et l’Italie.

En Provence, c’est traditionnellement la truffe noire « Tuber melanosporum » qui est surtout cultivée. C’est un habitant vauclusois, Joseph Talon, qui a d’ailleurs inventé sa culture au XIXème siècle. En Région Sud, les grands marchés de la truffe se trouvent vers Richerenches, Valréas, Carpentras, Aups, Montagnac-Les-Truffes et Ménerbes.

Face à la concurrence déloyale : valoriser et renseigner

« La truffe provençale fait partie de notre patrimoine gastronomique local, souligne le député Jean-Marc Zulesi. Il ne faut pas fermer les yeux face à une concurrence déloyale ; nous devons nous organiser pour valoriser notre produit et avertir les consommateurs. » L’arme principale face à cette concurrence est l’acquisition du sésame « IGP », l’Indication Géographique Protégée, qui consacre une production existante et signale le savoir-faire qui y est attaché. Pour le député des Bouches-du-Rhône, « valoriser notre mine d’or qu’est la truffe provençale, c’est permettre aux consommateurs de goûter l’excellence ; surtout pour ceux qui découvrent le produit ! »

Le député Jean-Marc Zulesi (de face, à gauche sur la photo) lors de la dernière Assemblée générale de la fédération régionale des trufficulteurs © Coll. JM Zulesi

Au-delà de la question économique, c’est la véracité du produit qui est en jeu, puisque les consommateurs ne sont souvent pas à même d’identifier une truffe authentique par rapport à une truffe enrichie en arômes de substitution pour pallier le déficit de goût. Les nominations restent également extrêmement floues : il n’y a parfois même pas mention d’ajouts d’éléments de synthèse.

L’achat d’un produit mais aussi d’un savoir-faire

« L’IGP permettrait aux consommateurs d’acheter un produit mais surtout un savoir-faire ; et en Provence, où nous sommes fiers de nos productions, il faut faire le nécessaire le plus rapidement possible », explique Jean-Marc Zulesi. Les trufficulteurs, ici, privilégient la qualité à la quantité, à l’inverse de pays comme l’Italie. Si on ne veut pas que le marché français de la truffe, où la Provence pèse à 60%, soit noyé par la concurrence étrangère, l’IGP doit être accordée rapidement. » Les chiffres de la Fédération Régionale des Trufficulteurs de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui regroupe six syndicats professionnels, donnent une idée du panorama de la région : ces syndicats rassemblent environ 7 650 ha plantés, dont environ 3 700 ha en Vaucluse, 1 700 ha dans les Alpes de Haute-Provence, 1 000 ha dans le Var, 800 ha dans les Bouches-du-Rhône, 250 ha dans les Alpes-Maritimes et 200 ha dans les Hautes-Alpes.

Des répercussions plus larges

Autour de la « pépite truffe », le monde naturel joue un rôle d’importance. Les chênes truffiers représentent une réserve de biodiversité et des puits de carbone particulièrement efficaces, dans une région où le climat leur est propice. Ils sont aussi d’excellents coupe-feu lors des incendies. Le dossier de la truffe rassemble donc les sujets. « C’est un dossier que nous n’allons pas lâcher, résume le député Jean-Marc Zulesi. Mes échanges avec les producteurs lors de l’Assemblée générale de la fédération régionale des trufficulteurs a confirmé nos intentions. » Aujourd’hui, la demande officielle d’un IGP pour la truffe provençale prend tout son sens. Les trufficulteurs attendent une réponse la plus rapide possible de la part du gouvernement.

Jeanne RIVIERE

Plan « Sécurité Cathédrales » : des travaux à venir pour Saint-Sauveur à Aix

© WKMC

Roman, gothique, baroque… la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix-en-Provence a des trésors à revendre. Il faut dire que son ensemble le plus ancien remonte tout de même au Vème siècle, sur les vestiges d’un ancien forum édité par les Romains au Ier siècle avant J-C. La cathédrale d’  « Aquae Sextiae », classée aux Monuments historiques en 1840, bénéficie aujourd’hui de la mise en conformité de sécurité incendie, dans le cadre du plan d’action « Sécurité Cathédrales ».

Les diverses influences architecturales de Saint-Sauveur sont évidemment le fruit d’une histoire mouvementée. Les édifices originaux sont abîmés lors des invasions sarrasines notamment (VIIIème siècle) et reconstruits à l’époque romane (IXème-XIIIème siècles). Des ajouts à l’époque gothique (XIIIème-XVIème siècles) puis baroque (XVIème-XVIIIème) donnent une église à trois nefs différentes ! Romane, gothique et baroque, donc.

Eviter la propagation du feu en cas d’incendie

Le traumatisme laissé par l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris (avril 2019) a fait repenser la façon d’anticiper ce genre d’accident. En avril 2020, le Ministère de la Culture a présenté un plan d’action « Sécurité Cathédrales », qui veut « permettre de réduire les risques d’éclosion et de développement d’incendies et de faciliter l’action des secours ».

Dans le cas de Saint-Sauveur, l’Etat s’occupe des parties qui lui appartiennent, à savoir la cathédrale elle-même et ses annexes (clocher, salles basses, sacristies, pièces attenantes), le presbytère, l’ancienne prévôté et le cloître. En revanche, l’ancien palais épiscopal n’est pas inclus dans le programme, n’étant pas un bâtiment d’Etat.

L’objectif est d’améliorer la sécurité de cet ensemble et d’analyser la densité du tissu urbain du quartier : protéger les points de propagation par rapport aux édifices mitoyens, créer des locaux techniques pour une détection rapide d’anomalies (2022), mettre aux normes les installations électriques existantes.

Les financements

Le dispositif anti-incendie est financé par le Plan de Relance, pour un total de 350 000 euros et des travaux d’au moins quatre mois pour la première phase.

J.R

Marseille – « Les Grandes Halles du Vieux-Port » prévues pour 2022

© Les Grandes Halles du Vieux-Port

En plein centre de Marseille, cours Honoré d’Estienne d’Orves, les travaux pour le projet des « Grandes Halles du Vieux-Port » ont commencé. « Village dans la ville », elles veulent devenir un rendez-vous gastronomique. Le nouveau lieu devrait ouvrir au printemps 2022.

2 000 m2 pour la gastronomie et les producteurs

Quel est le visage du projet ? De part et d’autre de la place Honoré d’Estienne d’Orves, les Grandes Halles du Vieux-Port déploieront une quinzaine d’échoppes proposant une cuisine marseillaise et une cuisine du monde.

Sur la place centrale, 400 places assises en extérieur seront installées sous une canopée.

De l’autre côté du cours, les anciens arcenaux de la marine accueilleront un marché des producteurs de la région (primeur, brasseur, boucherie, fromagerie…) L’idée est de rassembler ici la qualité et les talents régionaux. A noter : le chef Ludovic Turac (« Une Table au Sud ») y cuisinera ses recettes avec des produits locaux.

La gastronomie, un art de transmission des savoirs

© DR

« Montrer, montrer et montrer encore : former pour donner envie aux jeunes de s’engager dans le métier » : le leitmotiv du chef japonais Ippei Uemura prend presque la forme d’un proverbe. Aujourd’hui, dans le monde de la gastronomie comme dans bien d’autres métiers, on le constate : malgré une forte demande et de nombreux postes à pourvoir, les offres restent sans réponses, et les candidats sérieux manquent à l’appel. Un « turn-over » parfois difficilement tenable s’installe. Pour des chefs comme Ippei Uemura, si bien sûr le covid a éloigné les jeunes d’un secteur économique sensible, la clé du problème se trouve dans la transmission pédagogique. En décembre, il a ainsi passé une journée aux Tamaris avec les jeunes du lycée hôtelier de Bonneveine : au programme, visite des élevages de poisson, préparation et dégustation.

© DR

Au cœur du savoir-faire, la main

« La cuisine, c’est avant tout un travail de manipulation. Il y a évidemment un côté théorique, mais la pratique est essentielle. » Celui qui a appris les mille et une facettes de la cuisine ancestrale japonaise aux côtés des chefs les plus prestigieux de son pays est fier de l’héritage reçu : « Après avoir côtoyé toute ma jeunesse des maîtres de la gastronomie, j’ai envie de transmettre mon savoir-faire à d’autres. Cela ne m’empêche d’ailleurs pas de continuer à apprendre de la part d’autres chefs, que j’admire énormément. »

> A voir aussi : Quand les nageurs du Cercle de Marseille se retrouvent derrière les fourneaux

Une philosophie : la connaissance intime des produits

Un moment comme celui passé avec les jeunes du lycée hôtelier est un régal pour Ippei Uemura, ainsi que pour ses élèves d’un jour. « Ma philosophie est simple : il faut connaître ses produits depuis leur origine pour pouvoir retrouver leur histoire dans l’assiette. » Savoir comment est pêché le poisson, le tenir vivant dans sa main, le préparer « dans les règles de l’art », car oui, le but est bien aussi de faire comprendre aux jeunes qui se destinent à la cuisine que ce n’est pas seulement un métier, mais un art. « Avoir une connaissance intime du produit, c’est aussi une question de respect, pour l’animal et les richesses naturelles de la terre, ajoute le chef. C’est ainsi qu’on va éviter de gaspiller. » De façon très pragmatique, la technique d’abattage de l’« ikejime » permet de neutraliser rapidement le système nerveux de l’animal et ainsi de lui éviter tout stress qui gâterait son goût.

© DR

Le partage de l’émotion

Au Tabi, son restaurant situé sur la corniche Kennedy, Ippei Uemura propose un « voyage dans l’assiette » : c’est bien qu’il entend susciter du rêve et de l’émotion chez ses clients. « Notre responsabilité de chef, c’est de donner envie », résume-t-il sobrement. La tête de ce chef japonais bien connu des Marseillais fourmille d’idées pour les prochains mois… mais il ne perd pas de vue sa volonté de transmission, et les jeunes qui le rencontrent en restent marqués.

Jeanne RIVIERE

Retour de match – OM/Reims (1-1) : Mi-figue, mi-raisin

© OM / Twitter

La dernière sortie de l’Olympique de Marseille, le mercredi 22 décembre, s’est soldée par un match nul obtenu dans les dernières minutes.

C’est au bout du bout que l’incontournable Dimitri Payet obtient un penalty qu’il va lui-même transformer à la 98ème minute, ouf ! Les Olympiens ont été dominateurs durant toute la partie avec plus de 70% de temps de possession du ballon. Cette conservation n’a toutefois pas permis aux joueurs d’accéder au but, bien souvent le manque d’idée et de tempo dans les passes n’ont pas aidé à déstabiliser le bloc équipe adverse aligné en 5/4/1.

En panne d’efficacité offensive, l’attaque olympienne ressemblait plus aux quatre mendiants qu’aux 4 Fantastiques. Il est vrai que les intentions du stade de Reims n’ont clairement pas aidé à voir un beau spectacle : ils sont venus pour bien défendre, ils ont joué avec leur arme en exploitant les quelques failles que les Olympiens leur ont laissées. Ils ont bien failli réussir leur coup en prenant les devants au tableau d’affichage à la 75ème minute sur une attaque rapide rondement menée.

Des vacances bienvenues

L’OM est en manque d’inspiration depuis un certain temps, la trêve hivernale tombe à pic. Les joueurs ont tout de même rempli une partie du travail en se partageant la deuxième place du championnat avec les Niçois. L’état-major de l’OM va quant à lui certainement poursuivre le travail car le coach Sampaoli souhaiterait étoffer son effectif avec l’arrivée de deux, voire trois nouveaux joueurs. En attendant le 7 janvier prochain et le déplacement en terre bordelaise, les joueurs vont pouvoir recharger les batteries en famille. Nous espérons tous les retrouver en pleine forme pour cette fois-ci allier le résultat au football champagne.

Fabrice HUART

Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.

31 décembre – Tournée de nuit avec le Secours catholique

© Pxb

Le Secours catholique propose aux jeunes marseillais entre 18 et 30 ans, durant la nuit du 31 décembre, de vivre le passage au nouvel an différemment : une tournée de nuit est proposée pour être aux côtés des sans-abris, et partager un repas, mais surtout un moment d’échange avec les plus démunis.

Contact et inscriptions : sr Lara Bergamin, 06 38 78 32 94.

OM/Reims : Le Live OM du Méridional

© DR
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