mardi 5 novembre 2024
Accueil Blog Page 341

Lokomotiv Moscou/OM : sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match ?

Ce jeudi 16 septembre, l’OM affrontera le Lokomotiv Moscou dans le cadre de la Ligue Europa. Le match sera retransmis en direct à partir de 18h45 sur RMC Sport 1.

Suivez le match commenté en direct sur la chaîne Twitch et la chaîne Youtube du Méridional.

ASC Vivaux-Sauvagère : 10 ans de passion et d’engagement

Avec le maillot d'or des 10 ans © Le Méridional

Août 2011. 10 ans déjà qu’un petit club a pris ses marques au cœur du 9/10 : l’association sportive et culturelle Vivaux-Sauvagère fait aujourd’hui partie intégrante du quartier. Et beaucoup de ses jeunes n’imagineraient pas qu’il puisse disparaître ; beaucoup ont d’ailleurs grandi avec lui. Omar Keddadouche, président-fondateur du club de football, n’est pas peu fier de fêter les 10 ans d’une passion sportive… mais pas seulement.

Quand, à la suite d’Omar Keddadouche, on pénètre dans le local du club, ce n’est pas uniquement le contraste lumineux avec l’extérieur qui nous éblouit : car ici, ce sont des dizaines et des dizaines de maillots (digne de la célèbre collection de Louis Nicollin) et trophées qui s’affichent : une véritable caverne d’Ali Baba. Et encore : « Le tas de maillots là-bas, ce sont ceux pour qui je n’ai pas encore trouvé de place, mais ça viendra », précise Omar Keddadouche avec un sourire. « Quand des parents entrent pour la première fois ici, c’est vrai qu’ils sont assez impressionnés. » Sans parler des gamins.

Franck Mc Court, Pablo Longoria et Omar Keddadouche en juin 2021 © Omar Keddadouche

Il y a de quoi. Omar Keddadouche pointe du doigt : ici, des drapeaux échangés dans des stades, des coupes, des ballons signés par des joueurs ; là, des chaussures, des écussons, des maillots, beaucoup de maillots : « Celui-là, c’est Mohamed Simakan qui me l’a apporté. » Il a été l’un de ses formateurs. Lilian Thuram, Zidane, comme d’autres grands noms, laissent ici une trace de leur passion foot. Et on la sent, la passion qui transparaît dans la voix et le regard de notre interlocuteur.

Le 10ème, terre de foot

Omar Keddadouche est lui-même un enfant du 10ème. Il a roulé sa bosse dans les milieux du foot, est devenu entraîneur. Le club Vivaux Marronniers Sport était là depuis des décennies ; mais catastrophe : en 2011, après 47 ans de présence et de formation de grands joueurs, il doit fermer ses portes. « On ne pouvait clairement pas abandonner tous les gens du quartier pour qui le club faisait partie du paysage : il fallait trouver quelque chose, et vite », résume Omar Keddadouche. La réponse ne se fait pas attendre : il crée dans la foulée l’ASC Vivaux Sauvagère, à partir de presque rien. Et surtout de la générosité d’un certain nombre d’amis, et de commerçants de pont de Vivaux et d’autres quartiers de Marseille. Et c’est parti, ça prend. En deux mois, le club accueille 220 licenciés (des anciens de Vivaux Marronniers et des nouveaux).

© LM

Grâce à Guy Teissier, député-maire du 9/10 à l’époque, le club bénéficie de travaux, et peut s’installer dans son local. Par la suite, des institutions comme la Région ou le département donneront aussi un coup de pouce à l’occasion. Il faut dire que « l’ASCVS » ne gâche pas cette confiance : de bons, très bons résultats. En 10 mois, le club finit ainsi aux championnats de France à Clairefontaine.

En 2017, moment historique : l’ASCVS devient l’un des clubs partenaires de l’Olympique de Marseille (« OM Next Generation ») : « Un moment extraordinaire et rempli de fierté », rapporte Omar Keddadouche. En mai 2021, Pablo Longoria est venu fêter les 4 ans du partenariat. Cinq jeunes ont été recrutés par l’OM, 3 filles et 2 garçons.

La bienveillance et le sens de l’effort comme leitmotiv

Un succès remarquable, fruit du dynamisme de son président : Omar Keddadouche fait des pieds et des mains pour voir les enfants du club grandir dans le meilleur cadre de vie possible, par le biais du foot (le « langage universel »). Pour lui, les valeurs d’exemple sont le meilleur enseignement. Grâce à une ONG anglaise, Lionsraw, il a contribué à la construction en 2016 d’un « city stade » qui porte son nom, ouvert à tous.

« La vocation du club est bien sûr sportive, mais pas seulement : elle est aussi solidaire. Ce n’est pas pour rien qu’il a repris la devise de Liverpool « you will never walk alone ». » En effet, si c’est le foot qui rassemble tous les gens du club, cet engagement se répercute dans les actions de l’ASCVS. En premier lieu par l’engagement du président, des bénévoles, parents de licenciés ou non, qui donnent leur temps sans compter. Et puis parce que les enfants sont accompagnés au-delà de leurs performances sportives : cours du soir avant les entraînements (interrompus à cause du Covid, ils vont reprendre cette année), cotisation généreuse par rapport à l’équipement des sportifs. Des gestes qui comptent plus qu’on ne le pense pour beaucoup de familles du quartier, touchées par la crise sanitaire. Autre règle qui plaît aux parents : ici, pas de bagarres ni de gros mots permis !

© LM

Parallèlement, cette ambiance se traduit à l’extérieur ; un exemple parmi d’autres : chaque année avant Noël sont organisés « les ballons du cœur », une collecte de denrées au profit des Restos du cœur. Qui se solde toujours par un grand succès. Le club soutient ainsi un certain nombre de causes en France et à l’étranger.

L’ASCVS, c’est un climat de simplicité et de professionnalisme qui ne se dément pas avec les années. Alors, 10 ans, ça se fête ! Le samedi 18, il y aura des animations pour les enfants, et un grand apéritif à partir de 18h30. Le dimanche 19, des matchs amicaux. Un événement qui illustre bien le côté social du club.

Question classique, mais : comment le président Omar Keddadouche voit-il les 10 prochaines années ? « Tout n’a pas été évident au cours de ces dix ans, mais ce que j’attends de plus précieux, c’est de garder la confiance des parents, des enfants, de l’OM bien sûr. De rester à l’image du meilleur de Marseille, ouvert et dynamique. De conserver cet état d’esprit qui fait la fierté de notre club. »

Thomas MOREAU

Le spectacle grandiose des Voiles d’Antibes

© Philippe Carlhant / Les Voiles d'Antibes

Du 15 au 19 septembre se déroule la 26ème édition de la régate les Voiles d’Antibes. L’événement est organisé cette année en septembre plutôt qu’en juin. Sur l’eau, dans la baie d’Antibes et de Juan-les-Pins, 75 voiliers évolueront, avec plus de 700 équipiers à leur bord. Le plus vieux yacht présent date de 1885 !

Le spectacle se vivra aussi à terre, avec différentes sortes d’animations et de concerts.

Le programme

Mercredi : 10h-18h, accueil des concurrents. 19h, live musik by SBK 06 (Salsa, Bachata, Kizumba).

Jeudi : journée Opération mer propre. 11h-17h, régate 1ère manche First Race. 21h : live music by Miss Dey & The Residents.

Vendredi : 11h-17h, régate 2ème manche Second Race. 18h-20h30, Electric Simone. 21h30, live music by Blah Blah.

Samedi : journée Sea Sheperd et journée SOS Cancer du sein. 11h-17h, régate 3ème manche, Third Race. 18h-20h30, Lucie Guillem (Jazz, Soul, Rhythm & Blues). 21h30, live music by Merry Moods (Jzaa, Soul, Swing).

Dimanche : 11h-17h, régate 4ème manche Fourth Race. 17h15, vente aux enchères au profit de 4myplanet d’Alexia Barrier. 18h30, remise des prix. 21h40-minuit, live music by Tribute To U2.

Universités d’été : interview de JP Patou, président de la Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes d’Aix-Bastia

© LM

Jean-Pierre Patou, le nouveau président de la Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes (CRCC) d’Aix-Bastia, présente au Méridional, à l’occasion de la tenue prochaine des universités d’été (16-17 septembre 2021), les chantiers de sa présidence et les mesures mises en place pour que, dans quelques décennies, « les jeunes puissent encore dire qu’ils sont fiers d’être commissaires aux comptes ».

Histoire de Marseille : on n’a jamais fait le tour ! Colloque de l’Académie de Marseille

Hôtel des Postes à Marseille avant 1920 © WKMC

L’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille organise, en collaboration avec la Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale de l’Alcazar (58 cours Belsunce 13001 Marseille) un colloque intitulé « Marseille d’hier, historiens d’aujourd’hui », qui se tiendra les jeudi 16 et vendredi 17 septembre à la Bibliothèque.

« Fondée par les Grecs, antique comme Rome, Marseille, la première ville de l’occident européen, ouverte sur les mers du globe et accueillante à tous les peuples de la terre, est riche de 2.600 ans d’histoire. Longtemps perçue comme une ville sans traces de son passé après avoir été la « Ville-sans-nom » sous la Terreur révolutionnaire, elle dévoile maintenant au contraire, depuis quelques décennies, grâce au travail des archéologues et des historiens qui se penchent nombreux sur son passé, la richesse d’une histoire au carrefour des cultures dont on peut suivre le long parcours depuis cette carrière des origines du quartier Saint Victor que la pression immobilière n’a malheureusement pas épargnée. Marquant la réconciliation de la ville avec son passé, elle ouvrait en 2013 le plus grand musée d’histoire d’une ville en Europe.

Dans le prolongement de cet élan dynamique, l’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille, depuis près de trois cents ans gardienne de sa mémoire, propose maintenant ce colloque qui rassemblera quelques-uns des meilleurs témoins – historiens et archéologues – qui puissent aujourd’hui nous faire partager son histoire et leurs raisons de l’aimer. »

Liste des intervenants

Régis Bertrand, Patrick Boulanger, Xavier Daumalin, Renée Dray-Bensoussan, Fabrice Denise, Catherine Dureuil, Daniel Faget, Jean Guyon, Jean-Yves Le Naour, Robert Mencherini, Manuel Moliner, Arnaud Ramière de Fortanier, Eliane Richard, Henri Tréziny

Pour plus d’informations sur ces journées, consulter le site de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille.

Monaco/OM : le retour du coach

© OM / Twitter

Le coach Fabrice Huart revient sur le match Monaco OM du samedi 11 septembre 2021, où l’OM s’est imposé 2 à 0. Animation défensive, animation offensive… les raisons d’une victoire.

L’OM jouera son prochain match jeudi 16 septembre, en Europa Ligue contre Moscou. Suivez en direct le match commenté sur la chaîne Youtube et sur la chaîne Twitch du Méridional.

Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.

Qui doit être obligatoirement vacciné au 15 septembre ?

© Pxb

Le président Emmanuel Macron l’avait précisé dans ses annonces du 12 juillet dernier : les personnels soignants devraient être vaccinés au plus tard le 15 septembre. D’autres métiers sont concernés par cette obligation. Ces professionnels doivent avoir reçu au moins une injection au 15, et recevoir la deuxième avant le 15 octobre.

Les professionnels concernés par l’obligation vaccinale sont :

• Les personnels soignants et non soignants des hôpitaux et des cliniques (dont les ambulanciers)

• Les aides-soignants

• Les personnels soignants des maisons de retraite, les professionnels et bénévoles travaillant auprès des personnes âgées

• Les pompiers

• Les militaires et les gendarmes

• Les professionnels s’occupant de la santé au travail.

Les sanctions ne sont pour l’instant pas arrêtées, mais les salariés qui refusent de se plier à cette mesure verraient probablement une suspension de leur contrat de travail et de leur salaire.

Le mardi 14 septembre, des syndicats comme CGT et FO appellent à la manifestation pour protester contre cette obligation.

Chauvin-Paglia-Korcia-Innesti : pieds au plancher

De gauche à droite : Philippe Korcia, président de l'UPE13/ Patricia Blanchet-Bhang, présidente de l'U2P/ Jean-Luc-Chauvin, président de la CCI AMP/ Corinne Innesti, présidente de la confédération des PME13/ Stéphane Paglia, président de la CCI du Pays d'Arles © LM

La campagne des élections consulaires qui auront lieu du 27 octobre au 9 novembre prochain a commencé de façon tonitruante le vendredi 10 septembre dans la salle Paul Ricard des docks de la Joliette. Les actuels présidents des Chambres de Commerce et d’Industrie de Aix-Marseille-Provence (Jean-Luc Chauvin) et du pays d’Arles (Stéphane Paglia) sont candidats à leur réélection pour une durée de cinq ans et ils ont décliné les principaux axes de leur programme qui peut se résumer en un seul mot : accélérer.

> A lire aussi : Jean-Luc Chauvin : the right man in the right place

Deux autres personnalités étaient présentes pour apporter leur soutien  aux deux candidats : Mme Corinne Innesti, présidente de la confédération des Petites et Moyennes Entreprises dans les Bouches-du-Rhône et Philippe Korcia, président de l’Union Pour les Entreprises du 13. Ils ont plaidé avec ferveur pour la réélection des deux futurs ex-présidents en exercice, lesquels aimeraient mobiliser davantage les entrepreneurs. Peut-être la généralisation du vote numérique leur permettra-t-elle d’exaucer leur vœu mais force est de constater que le scrutin d’il y a cinq ans n’avait attiré que dix pour cent des votants à Marseille-Aix et, 26 pour cent en pays d’Arles.

Ce souci est fort légitime dans la mesure où un vote massif donnerait plus de poids et d’autorité aux propositions de ces quatre dirigeants régionaux. Leur union est historique. Et leur ambition de « jouer collectif » n’est pas feinte. Ils ont compris, enfin, que l’union fait la force.

Chauvin-Paglia : les duettistes de l’accélération © LM

En outre, le climat économique, très incertain, n’incite pas aux aventures individuelles ni aux « chicayas locales », comme dirait un haut personnage de l’Etat. L’ambition partagée de MM. Chauvin, Paglia, Korcia et de Mme Innesti est de mettre en musique cette cohésion pour ne pas rater la reprise et la fin du « quoi qu’il en coûte« .

Bien sûr, lorsque M. Chauvin évoque la nécessité de « faire converger les acteurs économiques et institutionnels au profit de la performance du territoire », on ne peut s’empêcher de se dire : c’est pas gagné ! En revanche, les entrepreneurs auront l’occasion, cette fois, de participer directement à la campagne en posant les questions qu’ils souhaitent sur leurs besoins, leurs attentes, leurs propositions. On va enfin leur donner la parole et leurs avis seront dûment pris en compte dans le programme final qui sera présenté le 20 octobre à Marseille et le 21 octobre à Arles.

> A lire aussi : Jean-Luc Chauvin, président de la CCI AMP : Marseille « porte d’entrée du territoire »

Le programme du duo Chauvin-Paglia est digne d’une écurie de F1 : accélérer, dynamiser, booster. Ils veulent stimuler l’innovation, développer les centres-villes, attirer des investisseurs étrangers, ne surtout pas rater la coupe du monde de rugby en 2023 ni les Jeux Olympiques en 2024, attirer de nouveaux talents identiques à celui d’un certain Paul Ricard, l’un des plus formidables patrons que Marseille ait jamais eu. Après tout, que risquent-ils à foncer ainsi ? A finir dans le décor… ou à réussir dans leur belle… entreprise.

José D’Arrigo, rédacteur en chef du Méridional

World Clean Up Day : une journée pour faire du sport en ramassant les déchets

© Decathlon

Le samedi 18 septembre 2021 aura lieu une journée mondiale du ramassage des déchets, organisée par l’association World Clean Up Day. La marque Decathlon s’y associe, et organise des rassemblements sportifs encadrés par des coachs diplômés : randonnée, kayak, running… plus d’une centaine de magasins Decathlon proposeront des activités gratuites qui mêleront sport et nettoyage.

Napoléon III à Nice : quand la politique se mêle des beaux-arts

Musée des Beaux-Arts de Nice © WKMC

Jusqu’au 31 octobre prochain, le musée des Beaux-Arts Jules Chéret, à Nice, propose une exposition intitulée « La Bataille des Beaux-Arts. Art et Politique à Nice au XIXème siècle » : un regard rétrospectif sur la constitution du musée.

Une telle exposition s’inscrit dans la mémoire d’un événement que l’on a peut-être oublié : le rattachement de Nice à la France, il y a de cela un peu plus de 161 ans. Evénement politique, mais pas uniquement. Lorsque Napoléon III se rend à Nice en 1860, il y trouve un monde des arts tenu par les initiatives privées. Qu’à cela ne tienne : l’Empire s’attache alors à pallier l’absence des institutions publiques dans ce domaine. Une façon de « chérir » particulièrement les nouveaux territoires rattachés à la France.

Charles-Amédée Van Loo, « La sultane servie par ses eunuques ; avant 1795 ; musée des Beaux-Arts de Nice © WKMC

Le projet du musée des Beaux-Arts est l’un des fruits de cette politique impériale. Art et politique restent liés, puisque les personnalités qui mènent les discussions occupent elles-mêmes des positions sociales différentes. Au point que l’on a pu parler de « bataille des Beaux-Arts »…

Le palais Kotschoubey-Thomson vient finalement auréoler de gloire le projet porté à son comble. Le musée des Beaux-Arts Jules Chéret accueille pour la première fois son public en 1928, et peut lui présenter, presque soixante-dix ans après la visite de Napoléon III, de splendides collections ; ces dernières sont issues tant d’envois de collections publiques de Paris que de dons de collectionneurs privés.

« La Bataille des Beaux-Arts. Art et Politique à Nice au XIXème siècle » revient de façon passionnante sur l’origine de ce grand projet et sa constitution.

Jeanne RIVIERE

« La Bataille des Beaux-Arts. Art et Politique à Nice au XIXème siècle », jusqu’au 31 octobre 2021. Nice, musée des Beaux-Arts-Jules Chéret, 33 avenue des Beaumettes. Les autres informations sont à retrouver sur le site du musée.