L’OM se déplace en Bretagne ce dimanche 13 mars pour le compte de la 28ème journée de Ligue 1, afin de défier le Stade brestois 29.
Le club phocéen est toujours très attendu en déplacement. C’est souvent le match de l’année pour le club et pour les supporters qui reçoivent l’OM.
Les Olympiens devront voyager en costauds pour ne pas se faire piéger, mais surtout pour rester au contact des Niçois qui effectueront un court déplacement du côté de Montpellier. Ce duel à distance sera scruté, car le week-end suivant, le choc tant attendu aura bel et bien lieu entre l’actuel 2ème et le 3ème du championnat.
L’équipe probable du coach Sampaoli :
Le club rennais – actuel 4ème -, aura fort à faire à Lyon. Bruno Genesio et son groupe pourraient bien créer la sensation du week-end et revenir sur le trio de tête.
Pour ne pas sortir la calculatrice tous les week-ends, les Olympiens doivent se concentrer sur eux-mêmes, en disputant des finales à chaque match, pour atteindre l’objectif fixé en début de saison.
Pronostic : match nul 1 à 1
Fabrice HUART
Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.
Que dirait Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot du Plessis (1766-1822), plus simplement nommé sous son titre, duc de Richelieu (de la famille du Cardinal), en voyant toute cette agitation inquiète autour de lui ? Son imposante statue qui trône sur une place d’Odessa est seulement l’un des symboles restants des liens existant entre ce territoire et la France. Odessa, ville portuaire de la mer Noire située aux confins méridionaux de l’Ukraine, se prépare actuellement à une invasion russe. Alors que Mikolaiv, située à une centaine de kilomètres de là, est visée par les frappes russes, le poumon économique ukrainien ne se fait plus d’illusion ; mais est bien décidé à se barricader.
Odessa est une ville particulière. A l’époque de la tsarine de Russie Catherine II, celle-là même qui avait proposé à notre Français Armand du Plessis de s’engager dans son armée – il deviendra plus tard gouverneur d’Odessa, d’où la statue – la ville était pensée comme une tête de pont face à l’empire ottoman. Comme un verrou européen. Il faut dire que le duc de Richelieu l’a considérablement développée. Odessa, édifiée en 1794 à partir d’une ancienne forteresse ottomane (par des architectes français) était destinée depuis les origines donc, à jouer le rôle d’une « fenêtre ouverte » de la Russie sur la mer Noire, et donc sur la Méditerranée.
la ville est pensée comme une « fenêtre ouverte » sur la méditerranée
Cette création rapide est aussi l’une des raisons du caractère historiquement cosmopolite de la ville. En effet, Catherine II puis Alexandre Ier invitèrent commerçants et colons étrangers à s’y installer. Le port jouit de certains privilèges et croît avec cette empreinte propre, et – comme souvent dans le cas d’un port de commerce ouvert sur l’étranger, qu’on pense à La Rochelle par exemple, ou à Marseille ! -, indépendante. Pour les Russes, c’est déjà une ville européenne. Pour les Européens, c’est déjà une ville d’Orient. En vérité, sa place privilégiée en fait dès ses origines un mythe au carrefour des civilisations. Il faut dire que les langues, les religions et les cultures s’y mêlent.
Google My Maps
A partir de la décennie 1870, la « russification » se fait tout de même sentir. Si le climat libéral (tant économique que politique) reste présent, le pouvoir central entend reprendre la main sur la gestion de la ville, Odessa perd son statut de port-franc ainsi que son gouverneur. Les liens avec l’Europe se distendent au début du XXème siècle, en particulier après la révolution bolchévique de 1917. D’abord utilisée comme « grenier de la nouvelle Russie », elle subira de plein fouet les conséquences de « l’holodomor », la famine génocidaire des années 1930. Odessa n’échappe pas non plus aux violences nazies pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’Histoire avance, et Odessa est intégrée en 1991 à la nouvelle Ukraine indépendante.
Mais la ville n’a plus cette folie d’autrefois. Désormais officiellement européenne, elle ne parvient plus vraiment à se situer. Ukrainiens et Russes s’y côtoient sans véritable harmonie. Entre Orient et Occident, entre Russie et Europe : la position géographique et l’histoire d’Odessa définissent un destin incertain.
« J’étais à Odessa la belle. / Le ciel là-bas est longtemps clair / Le commerce hisse ses voiles:/ Il est actif et opulent./ Là-bas tout a un air d’Europe./ On sent qu’on est dans le Midi./ On voit briller mille couleurs./ On entend sonner dans les rues/ La belle langue d’Italie ;/ On voit passer des Slaves fiers,/ Des Français, des Grecs, des Moldaves,/ Des Arméniens, des Espagnols,/ Et Maure-Ali, vieil Égyptien,/ Corsaire aujourd’hui retiré. » écrivait le poète Pouchkine dans « Eugène Onéguine » (1833).
De son côté, l’écrivain Isaac Babel (1894-1940) soulignait : « Odessa, c’est notre Marseille à nous ! »Ce n’est pas un hasard si la « Perle de la mer Noire » est jumelée avec Marseille depuis 1972. La tradition d’amitié entre Marseille et Odessa remonte à loin. Les deux villes se ressemblent à bien des points de vue.
L’OM se déplace ce dimanche 13 mars au Stade Francis-Le Blé pour y affronter le Stade Brestois dans le cadre de la 28ème journée de Ligue 1. Le coup d’envoi sera donné à 20h45, et le match diffusé en direct sur Amazon Prime Video.
Ne manquez surtout pas cette affiche en suivant le live commenté sur les pages Facebook, Youtube et Twitch du Méridional.
Magali Saurel, présidente d’ERIAmed, ambitionne de mettre la langue française et le répertoire des chansons de variété françaises en valeur. Le gala de finale du concours de chant « Le Royaume de la Chanson française » aura lieu le dimanche 20 mars prochain à Palavas-les-Flots (34250). Ce dernier a été conçu et créé ERIAmed Club Unesco, accrédité par la Commission Nationale française de l’Unesco. Il est organisé en partenariat avec la commune de Palavas-les-Flots.
Cette compétition se veut à la fois moderne, traditionnelle et exigeante :
« moderne », en raison du libre choix des textes et des styles musicaux
« traditionnelle », puisque les candidats seront accompagnés par le pianiste Michel Tardieu
« élégante » : les artistes se produiront en tenue de gala
« exigeante », les finalistes seront accompagnés dans la préparation artistique afin d’offrir un spectacle de prestige.
Le gala de finale se déroulera au théâtre Le Nautilus à Palavas-les-Flots le dimanche 20 mars 2022 à 15h, dans le cadre de la semaine de la Francophonie. Les lauréats pourront remporter des séances de shooting photo, la vidéo de leur prestation, des photos de scène… Tarif unique 15€ (gratuit pour les enfants jusqu’à 10 ans) – Billetterie en ligne.
« Les bons zestes » : c’est le réflexe que l’entreprise Lemon Tri veut faire adopter à tous. Mais cela ne se limite pas à une belle formule, vous allez le voir. Guillaume Pellegrin a ouvert en 2017 la filiale marseillaise de Lemon Tri. Le directeur nous détaille le rôle d’une entreprise désormais plus que jamais implantée dans la région.
En 2011, Augustin Jaclin et Emmanuel Bardin décident de créer Lemon Tri, après avoir voyagé dans un certain nombre de pays où les consignes étaient encore mises en place. Pourquoi pas en France ? Les deux amis ont conscience que les Français, s’ils trient pour la plupart chez eux, n’ont pas le réflexe en dehors – ou tout simplement, ne bénéficient pas assez de matériel qui les y encourage. Dès les premières années, Lemon Tri voit une forte croissance de son activité. En 2016, les fondateurs veulent ajouter un biais social au volet environnemental. Un parcours d’insertion dédié aux métiers de l’économie circulaire est créé. L’objectif : une cohérence qui fasse en sorte de « boucler la boucle » !
Des machines intelligentes
Dans les entreprises, les magasins, les campus, les collectivités, les hôtels, les transports, les restaurants, les lieux d’événements, les aéroports, les maisons de retraite, les stades, les centres commerciaux… La liste est longue ! Dans tous les endroits de vie, professionnelle ou de loisirs, les Français devraient trouver où et comment recycler leurs déchets. De la classique canette aux déchets industriels des entreprises, en passant par la bouteille en verre.
Le but de Lemon Tri est d’imaginer et d’installer des machines de tri intelligentes (et incitatives) qui permettent d’optimiser les collectes et le traitement des déchets.
Marseille, première extension de l’entreprise
Le siège de l’entreprise est à Pantin (93500), mais Marseille a été la première filiale de Lemon Tri (avant Lille et Lyon), remportant le concours Med’Innovant, organisé par Euroméditerranée. Une vingtaine de personnes aujourd’hui (et entre 80 et 90 au niveau national) constitue l’équipe commerciale, logistique et les agents de collecte, mêlant les salariés permanents et les salariés en insertion.
Lemon Tri a choisi de s’implanter dans les quartiers Nord de Marseille, puisque le constat est simple : il y a ici un taux de recyclage faible et un taux de chômage élevé :« Cela correspond aux deux missions que Lemon Tri s’est données : améliorer le recyclage, et résoudre à son niveau une question d’emploi », résume Guillaume Pellegrin.
Lemon Aide, une filiale de sens
« Lemon Tri a choisi de créer Lemon Aide, sa filiale d’insertion. Ce qui motive les salariés, c’est bien à la fois le côté économie circulaire et le travail par l’insertion économique. Cela fait partie de notre quotidien », souligne encore le directeur. Lemon Aide est le bras armé de Lemon Tri pour tout ce qui concerne la collecte. L’entreprise tient aussi à brasser hommes et femmes, ainsi que tous les âges (notamment des personnes de plus de 50 ans qui ont davantage de difficulté à retrouver un emploi) et des personnes en situation de handicap.
Le fait de ne pas recruter en CDI pour établir un rythme de formation est clairement un défi : cela signifie recruter des salariés pour une durée courte, avec un effort d’accompagnement et de formation en parallèle. L’objectif est que les salariés en insertion prennent en main le poste et apprennent le métier, pour ensuite faire valoir cette expérience d’une durée de 8 à 12 mois en moyenne (comme chauffeur-livreur par exemple, ou encore en mécanique…) Le recrutement est exigeant, demandant une réelle implication des salariés en CDD.
L’expertise écologique de l’entreprise
« Des entreprises qui offrent les mêmes services que Lemon Tri, il n’y en a pas en Région Sud », explique Guillaume Pellegrin. Il faut dire que l’entreprise propose un conseil sur la réduction des déchets (notamment pour les PME), une collecte de ce qui est recyclable – ce qui ne l’est pas est sous-traité à des acteurs spécialisés sur le territoire. Le maître-mot est une réduction du déchet à la source, ce qui séduit beaucoup d’entreprises cherchant à réduire leur impact environnemental.
Le plus gros de l’activité se fait au niveau du secteur tertiaire :« On déroule une expertise à toutes les échelles. Les entreprises comme la CMA-CGM ou la Tour La Marseillaise, les Docks… nous font confiance », rapporte le directeur de la filiale marseillaise. Pour beaucoup de salariés, il n’est pas évident de s’y retrouver dans le tri sélectif ! Et la chaîne pour aller jusqu’à un recyclage-matière (ce que Lemon Tri garantit à ses clients) doit d’ailleurs prévoir les erreurs à chaque niveau… D’où l’importance de la communication et du volet pédagogique. « C’est là que l’on fournit un travail de qualité particulier », résume Guillaume Pellegrin.
La force du réseau
Lemon Tri a tissé un vrai réseau avec les entreprises et les partenaires (comme La Consigne de Provence, pour le réemploi des bouteilles en verre). « On n’est pas seuls dans notre coin, sourit le directeur ; on fonctionne par échanges et on bénéficie de soutiens, comme celui de la Région Sud. »
Neuf entreprises (Les Alchimistes par exemple, qui collectent les biodéchets) ont décidé de se regrouper au sein d’un projet : l’idée est de se rassembler sur un même site dans les quartiers Nord de Marseille, pour développer une dynamique collective et complémentaire. Que des salariés en formation puissent intégrer une entreprise du projet, par exemple.
Ce côté « réseau » va d’ailleurs prendre de l’ampleur ces prochaines années, puisque le collectif (PHARE, acronyme pour « Pôle », « Humain », « Artisanat », « Recyclage », « Emploi ») a été labellisé « Pôle territorial de coopération économique » émergeant – le seul à en bénéficier en Région Sud. Qui verra un financement pour « mettre les bouchées doubles ».
L’objectif est bien sûr de poursuivre le développement de la filiale, et d’encourager les gens au tri dès le premier échelon. Si Lemon Tri s’adresse aux entreprises (et aux lieux professionnels etc.), les citoyens prennent finalement partout le réflexe du « bon zeste » en étant bien guidés.
L’OM disputait hier soir 10 mars le match aller comptant pour le 8ème de finale de la Ligue Europa Conférence face à Bâle.
Surpris à domicile lors du dernier match en championnat, les Olympiens avaient à cœur de démontrer qu’ils étaient en vie. Le onze de départ choisi par le coach Sampaoli, où l’on a retrouvé à nouveau de nombreux milieux de terrain, favorise la possession du ballon. Parfois, celle-ci n’est pas efficace, en devenant stérile, mais pas hier soir.
En effet, les joueurs revigorés retrouvent l’enthousiasme et la verticalité du début de saison, en accentuant le pressing à la perte du ballon, étouffant ainsi les petits Suisses.
Les Marseillais vont logiquement se créer quelques occasions par l’intermédiaire de Under, dont la frappe vient s’écraser sur le montant droit du portier adverse. Payet voit sa reprise finir sur le petit filet ; l’ouverture du score interviendra par le buteur maison sur penalty, après une faute subie par Guendouzi.
Malgré tout, Bâle reste dangereux sur une dernière occasion en fin de première période. Steve Mandanda, qui a retrouvé son brassard de capitaine, reste vigilant. L’arbitre renvoie tout le monde au vestiaire sur le score de 1 but à 0.
les marseillais retrouvent l’enthousiasme du début de saison
La seconde période reste similaire à la première, avec une domination olympienne qui se concrétise par un nouveau but de Milik. Cependant, l’OM retombe dans ses travers en abusant de la conservation du ballon et en oubliant d’apporter le danger devant le but adverse.
Les changements dans le dernier quart d’heure viennent perturber une défense pourtant bien en place. L’équipe de Bâle en profite, en venant réduire le score. Ce but vient quelque peu gâcher la fête, dans un match où les Olympiens auraient pu soigner le score afin de voyager plus sereinement dans une petite semaine pour le match retour.
Malgré tout, nous devrions retrouver les Marseillais en quart de finale de cette première édition de la Ligue Europa Conférence.
Fabrice HUART
Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.
Du 14 au 19 mars prochains, l’Etablissement français du sang Provence-Alpes-Côte d’Azur-Corse et ses partenaires proposeront un moment de détente aux donneurs qui se présenteront en collecte cette semaine-là.
Les donneurs pourront profiter d’une heure pour prendre soin d’eux tout en sauvant des vies. Après deux années d’absence, la semaine « bien-être » est de retour pour une nouvelle édition qui se tiendra dans les six Maisons du don de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et sur les collectes de sang organisées cette semaine-là. De nombreux professionnels se joindront à l’EFS pour proposer aux donneurs des séances de massage et de relaxation.
Par cette opération, l’Etablissement français du sang souhaite remercier l’ensemble des donneurs qui se mobilisent tout au long de l’année, et espère que de nouveaux citoyens rejoindront la communauté des donneurs de sang.
Anecdotique ? Naïve ? Frivole ? Repassez, s’il vous plaît ! Restée dans les oubliettes de l’art durant plusieurs siècles, l’œuvre de Guiseppe Arcimboldo est aujourd’hui l’une des plus connues au monde. Et pour cause : aisément reconnaissable, elle reste un modèle pour beaucoup d’artistes. Arte a choisi de lui consacrer un passionnant documentaire, en ligne sur sa plateforme à partir du 13 mars.
« Il meurt en 1593, et sombre quelques années plus tard dans un oubli complet », résume sobrement l’historienne de l’art Sylvia Ferino-Pagden. Né en 1526, le jeune artiste est formé à Milan, puis est invité comme portraitiste à la Cour de Vienne. C’est là qu’il développe son « astuce » visuelle. Etranges et fascinantes, les peintures de l’artiste mêlent fleurs, fruits, animaux, objets du quotidien.
c’est à vienne qu’arcimboldo développe son « astuce » visuelle
Il faut dire qu’il incarne à cette époque, une certaine audace face au courant alors reconnu du classicisme de Léonard de Vinci – qui caractérise la Renaissance finissante. A la perfection mathématique, il est de ceux qui préfèrent la fantaisie la plus débridée. Trompe l’œil, jeux érudits et énigmes laissent imagier un artiste libre-penseur, qui préfère s’affranchir des codes esthétiques de son temps.
Des siècles plus tard, ceux que l’on appellera les « surréalistes » ne s’y tromperont pas, reconnaissant Arcimboldo comme l’un des leurs. « Il sort tellement de l’imaginaire du XVIème siècle qu’il semble catapulté au XXème siècle », souligne Sylvia Ferino-Pagden.
il semble catapulté au XXème siècle
Autour des années 1920, des artistes comme Man Ray, Dalí, Marcel Duchamp, Max Ernst, André Breton, en feront l’une de leurs égéries ; ils reconnaissent dans son art le goût pour l’onirisme et le symbole, ainsi qu’une certaine naïveté apparente.
Si Guiseppe Arcimboldo n’a peint qu’une trentaine de toiles, il représente aujourd’hui une modernité révolutionnaire pour son époque. Plaisantin peut-être, génie sans doute, audacieux, certainement.
Jeanne RIVIERE
« Arcimboldo, portrait d’un audacieux ». Documentaire de Benoît Felici. Sur Arte le 20 mars 2022 ; sur arte.tv du 13 mars au 15 octobre 2022. 53 minutes.
Qu’il soit au pays ou en exil sur le territoire régional, la Région Sud s’est engagée ce jeudi 10 mars en Commission permanente exceptionnelle, à soutenir le peuple ukrainien. Ce soutien local prendra notamment la forme de repas et transports gratuits pour les étudiants, ou encore une aide de 500 euros.
La Région a également envisagé le soutien aux entreprises locales qui sont ou pourraient être impactées par le conflit russo-ukrainien. Une étude d’ « intelligence économique » a été lancée pour estimer ces besoins.
Un numéro vert « Solidarité bleu jaune » a été mis en place pour toute information : 0 800 730 098.