Au lieu d’un repas chaud, des pâtes froides, des chips, un morceau de fromage et une madeleine. Cela fait plusieurs fois ces derniers temps que ce menu expéditif et pratique est appliqué. Une situation que l’entreprise Sodexo, chargée de la restauration dans les cantines de Marseille, justifie par « le sous-effectif ».
Cette excuse ne calme pourtant pas un certain nombre de parents marseillais, en colère contre le manque d’organisation : « D’habitude, les repas Sodexo ne sont pas de grande qualité, mais on espère au moins que nos enfants puissent manger chaud et en bonne quantité ! », s’indigne une mère de famille qui habite le 7ème arrondissement. Ce n’est pas la première fois que les parents marseillais montent au créneau contre l’entreprise. « Il est loin, le temps où les cantinières préparaient les repas sur place…, ajoute le père d’un petit. Il faudrait peut-être penser à trouver une autre solution. »
Le président russe Vladimir Poutine ne semble pas assouplir sa position et la situation en Ukraine se détériore de jour en jour. La tension est encore montée d’un cran et les Etats-Unis ont annoncé dimanche 23 janvier une évacuation des familles de ses diplomates « en raison de la menace persistante d’une opération militaire russe ». Les pays de l’OTAN ont placé leurs forces militaires en alerte et envoyé des navires en mer Baltique (Danemark, Espagne) et des avions de combat F-16 et F-35 (Danemark, Pays-Bas) en Lituanie et en Bulgarie. La France s’est dit prête à envoyer si nécessaire des troupes en Roumanie, sous commandement de l’OTAN.
Vingt navires de la marine russe se sont immédiatement déployés, lundi 25 janvier, en mer Baltique pour des « manœuvres navales », selon l’agence de presse RIA. Il ne faut pas oublier la présence de Kaliningrad, un territoire en plein centre de l’Europe, et qui est aussi la base russe de la flotte de la Baltique.
Parallèlement, les Etats-Unis ont annoncé le 24 janvier avoir placé 8 500 militaires pour les déployer en Europe, dans le cadre de l’OTAN, en riposte à une éventuelle invasion de l’Ukraine par les forces russes.
La Grande-Bretagne, par l’intermédiaire de sa ministre des Affaires étrangères Liz Truss a indiqué savoir que « le gouvernement russe cherche à installer un dirigeant prorusse à Kiev, et l’ancien député ukrainien Ievgueni Mouraïev serait considéré comme un candidat potentiel. » De son coté, Boris Johnson conserve un discours va-t-en-guerre en promettant à la Russie une « nouvelle Tchétchénie ».
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Si les Etats-Unis ont affirmé lundi n’avoir « aucune divergence » avec les Européens au sujet des sanctions à imposer à la Russie, une position unifiée des Vingt-Sept reste difficile. Certains pays sont partisans de la fermeté et des sanctions alors que d’autres souhaitent instaurer et poursuivre un dialogue avec Moscou. L’Allemagne est, par exemple, dans une position ambigüe en raison de ses liens économiques avec la Russie et, plus généralement, de la tradition de la diplomatie allemande, l’« OstPolitik » initiée par Willy Brandt. Les options de sanctions semblent prêtes du côté européen : réduction des achats de gaz et de pétrole, soutien financier (voire militaire ?) à l’Ukraine… mais avec prudence pour l’instant. Le président français, à la tête de l’Europe pour six mois, est partisan d’un « chemin de désescalade ». Ce qui pourrait confirmer une autre partie de la stratégie de Poutine (qui n’est pas nouvelle) : diviser l’Union européenne.
Que veut Moscou ?
Vladimir Poutine ne veut pas d’une Ukraine forte, donc refuse qu’elle adhère à l’OTAN ou à l’Union européenne.
En bref : la Russie se dit menacée par l’expansion de l’OTAN et, en particulier, par l’éventualité de l’Ukraine d’entrer dans l’alliance atlantique. C’est une sorte de chiffon rouge agité devant Vladimir Poutine. Tout en niant toute velléités d’invasion, le Kremlin masse 150 000 hommes à la frontière sud-est avec l’Ukraine, organise des manœuvres militaires avec la Biélorussie à la frontière nord et en Crimée au sud avec la flotte de la mer Noire, et déploie des navires de combat dans la Baltique.
Vladimir Poutine conditionne la désescalade à des garanties pour la sécurité de la Russie. Moscou exige donc un traité excluant tout élargissement de l’OTAN à l’Ukraine et à la Géorgie, et la fin des manœuvres et des déploiements de militaires de l’OTAN et de ses alliés en Europe de l’Est ; ce qui revient à demander à l’Alliance atlantique le retour à ses frontières de 1997. Or, la Roumanie et la Bulgarie ont rejoint l’OTAN après 1997. Interrogé sur cette question, le ministère russe des Affaires étrangères a été clair : Moscou souhaite que toutes les troupes étrangères, armes et matériels militaires soient retirés de ces deux États. D’autres pays européens sont concernés, comme la Pologne et les pays baltes.
Ces conditions sont non négociables pour Moscou, mais évidemment inacceptables pour les Occidentaux, en particulier pour les Etats-Unis. Après le désastre afghan, qui a sérieusement entamé la crédibilité de Joe Biden, accepter les conditions de Vladimir Poutine en l’état serait un maelström diplomatique.
Quelle est la stratégie de Vladimir Poutine ?
Le président russe sait vraisemblablement que l’ampleur de ces conditions sont inenvisageables pour les Etats-Unis, l’OTAN et l’Union européenne. C’est un jeu d’intimidation. Donc, a priori, il pourrait s’agir d’un test « grandeur nature » pour savoir jusqu’où les trois entités citées ci-dessus peuvent aller. Cela peut correspondre à une négociation win-win : « Je demande beaucoup tout en sachant que j’obtiendrai moins, mais ce moins me satisfait. »
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Donc, in fine, Moscou pourrait se contenter de l’annexion du Donbass, mais avec une vraie résistance de la part de l’armée ukrainienne. Quels que soient les résultats des négociations, Vladimir Poutine aura confirmé le rôle de la Russie sur l’échiquier international et se sera imposé comme l’interlocuteur privilégié de Joe Biden. Car il y a peut-être un paramètre psychologique qu’on oublie, c’est la personnalité de Vladimir Poutine. Le président russe a subi l’anéantissement de l’URSS comme un humiliation et poursuit l’idée de restaurer la grandeur historique de l’empire russe – ou soviétique. Tout obstacle à ce projet entraîne une réaction qui peut s’avérer exacerbée. D’où ce besoin de protection et de sécurité de la Russie et de ses frontières (cf la surveillance de « l’étranger proche »). La question est de savoir, après l’annexion éventuelle du Donbass ou l’invasion de l’Ukraine (qui n’est pas strictement à écarter), si cette stratégie s’arrêterait à l’Ukraine.
La région de la Baltique
Si on regarde la géographie des frontières russes, on s’aperçoit qu’en Europe, la Russie est frontalière avec les pays baltes, la Biélorussie, l’Ukraine et la Moldavie. Tous ces pays ont fait partie de l’ex-URSS. L’Ukraine est-elle un « coup stratégique » ou un « galop d’essai » ? Il est, bien sûr, trop tôt pour le dire mais on peut imaginer un plan d’envergure à moyen terme. Il y a un certain temps maintenant que les pays baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie) se sentent visés par l’expansionnisme russe. L’histoire entre ces trois pays et la Russie a toujours été mouvementée, et la Russie les considère toujours comme appartenant à sa zone d’influence.
Les pays baltes ont annoncé l’envoi de missiles antichars et anti aériens en Ukraine. La Suède et la Finlande (1 340 kilomètres de frontière commune avec la Russie) envisagent, à moyen terme, de demander à entrer dans l’OTAN. L’Estonie et la Lettonie ont une frontière commune avec la Russie et la Lituanie avec la Biélorussie, satellite de la Russie. Avec la base militaire de Kaliningrad, c’est une sorte d’encerclement. Le dénouement de l’affaire ukrainienne pourrait être la clé de l’avenir pour ces pays.
Les négociations vont se poursuivre pour calmer les surenchères russe et américaine et l’Union européenne a son rôle à jouer. Encore faut-il que l’UE s’impose dans lesdites négociations qui seront, bien sûr, un test pour la présidence française.
Alain BOGE
Alain Bogé est spécialisé en Géopolitique, Relations Internationales et Commerce International. Il a notamment enseigné à l’Université Lyon 3 (IAE), à la Delhi University-Inde (School of Economics), à l’IESEG School of Management Lille-Paris. Il donne actuellement des cours à la Czech University of Life Sciences-Dpt Economy-Prague, à la Burgundy School of Business (BSB)-Dijon et à la European Business School (EBS)-Paris.
L’Association Le Grand Bleu, le Fonds de Dotation du Cercle des Nageurs de Marseille et la Fondation de Marseille s’associent pour parrainer une promotion du Grand Bleu en formation professionnelle autour des métiers de l’eau.
25 jeunes adultes actuellement en formation de sauveteur BNSSA et 10 enfants participent, le mercredi 26 janvier 2022, à une session d’entrainement au sein de l’École Aquatique du CNM afin de rencontrer les équipes d’encadrement, les dirigeants et les sportifs du Cercle des Nageurs de Marseille. Ils seront accueillis dans le bassin olympique du club centenaire, qui forme et accompagne la jeunesse et l’élite sportive depuis 1921.
L’engagement du CNM va au-delà du cadre du haut-niveau pour s’inscrire plus largement dans une mission de service public, puisque le club ouvre ses bassins aux écoles de la ville. Chaque année, ce sont près de 1500 jeunes Marseillais qui y apprennent à nager et à être en sécurité dans l’eau.
Selon Simon Collings, journaliste anglais, Pierre-Emerick Aubameyang devrait quitter Arsenal avant la fin du mercato hivernal. Après avoir été exclu de la sélection gabonaise pour des problèmes extra-sportifs et avoir perdu son brassard de capitaine avec les Gunners à la suite de problèmes de comportement, l’ancien Stéphanois serait plus que jamais sur le départ… et les Phocéens pourraient bien en profiter ! En effet, selon Sky Sports, le buteur des canonniers pourraient faire son retour en Ligue 1, et le PSG ou l’OM pourraient être sa destination privilégiée.
Notre avis : une information à prendre avec des pincettes, le PSG ne semblant pas vraiment avoir besoin d’accumuler une nouvelle star, et l’OM ayant déjà recruté Bakambu pour le poste.
Deulofeu, la prochaine cible de Sampaoli
D’après la presse italienne, l’ailier gauchede 27 ans Gerard Deulofeu intéresserait énormément Jorge Sampaoli. Après des passages peu convaincants au Milan AC et à Everton, le joueur de l’Udinese retrouve des couleurs à l’Udinese (6 buts en 20 matchs). Le joueur formé à la Masia est connu pour sa fougue et sa vitesse. Un profil qui conviendrait parfaitement au style de jeu de l’entraîneur argentin, qui cherche désespérément une solution pour son couloir gauche depuis le début de saison.
Notre avis : ce n’est pas une information à prendre à la légère, mais cela semble un peu juste pour cet hiver, souhaitant conserver son joueur, l’Udinese ne se laissera pas faire.
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Jean-Luc Chauvin, président de la CCI Aix-Marseille-Provence, vient d’être élu secrétaire au bureau national de CCI France, aux côtés d’Alain Di Crescenzo, élu à la présidence. Une belle fierté pour la ville de Marseille.
« Je suis fier de représenter Aix-Marseille-Provence au bureau de CCI France et de porter au plus haut la voix et les ambitions des entrepreneur(e)s d’ici dans une période où elles en ont le plus besoin. Je suis déterminer à œuvrer aux côtés d’Alain Di Crescenzo pour faire du réseau des CCI l’outil de proximité et d’utilité de toutes les entreprises », a déclaré Jean-Luc Chauvin
Les employeurs de ce secteur qui emploie 1 million de professionnels en France pour environ 10 millions de personnes fragiles (soit, des personnes en situation de handicap, des personnes âgées, des personnes en précarité sociale…) tirent la sonnette d’alarme : dans les Bouches-du-Rhône, une délégation de représentants des organisations remettait au préfet ce mardi matin 25 janvier un manifeste rassemblant les constats et demandes, à transmettre au gouvernement.
Il y a aujourd’hui dans le secteur médico-social une désertion qui inquiète. Les principales causes pointées sont un manque d’effectif décourageant – surtout en période de Covid où les consignes sanitaires sont encore plus lourdes – et des salaires qui sont restés les mêmes. Pour Vincent Gomez-Bonnet, le représentant de l’Uriopss (organisation regroupant les associations des secteurs sanitaire, social et médico-social) de Région Sud et de Corse, « 6 000 emplois sont remis en question » en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Les professionnels soulignent une réelle dégradation de la situation. Les postes vacants ne trouvent pas preneurs et l’instabilité dans les postes a aussi des conséquences sur les personnes fragiles, qui perdent leurs repères. Le manque de personnel donne lieu à ce que les professionnels eux-mêmes dénoncent comme une « déshumanisation » : moins de soins, moins de sorties, moins d’attention… Des structures conçues pour aider et accueillir au mieux des personnes fragilisées en viennent à perdre leur aspect social.
Amazon Prime Vidéo a acheté les droits d’adaptation de la fameuse trilogie de J.R.R. Tolkien « Le Seigneur des Anneaux ». « Les Anneaux de Pouvoir » se déroulera pendant le Deuxième Age, dans un temps qui précède ceux des films (sous le Troisième Age).
L’adaptation, prévue sur cinq saisons, devrait coûter 1 milliard de dollars ; 465 millions de dollars tout de même ont été déboursés pour la première saison, un coût jamais égalé pour une saison de série télévisée.
Le premier épisode de la série devrait être diffusé à partir de septembre 2022, et les huit épisodes sortiront chaque semaine. La première saison est tournée en Nouvelle-Zélande, la deuxième sera tournée au Royaume-Uni.
La campagne des élections présidentielles françaises a bel et bien commencé ; le rythme va s’accélérer encore au cours des prochaines semaines et ce jusqu’aux scrutins finaux (10 et 24 avril 2022). Parallèlement, la France a pris la présidence de l’Union européenne en janvier, pour six mois. La dernière présidence française remonte à quatorze ans, sous Nicolas Sarkozy (2008). Ce croisement de calendriers peut-il avoir des conséquences ?
Emmanuel Macron europhile affiché
La récente polémique autour du drapeau européen accroché seul sous l’Arc de Triomphe pour marquer cette entrée dans la présidence européenne en dit beaucoup sur la position d’Emmanuel Macron. L’actuel président – qui n’a pas annoncé officiellement une candidature à sa réélection – table sur une image d’europhile convaincu. Dès qu’il le peut, il souligne son attachement à « une Europe libre de ses choix, maître de son destin ».
Une présidence française faussée par la campagne électorale nationale et un possible changement d’exécutif
Présider l’Union européenne signifie organiser de multiples réunions et faire avancer les dossiers. Certains sont « hérités », d’autres seront dirigés par le nouveau pays président. Cela signifie qu’il peut, s’il y a un changement de président en France, y avoir un changement dans l’exécutif de la présidence de l’UE et une volonté différente dans la gestion des dossiers en cours. Dans les faits, la France aurait pu décaler cette présidence. C’est sans conteste un choix politique de ne pas l’avoir fait.
Dans les rangs français, une désunion affichée
Dans les rangs français, on ne se prive pas, en cette période de campagne, de tirer à boulets rouges sur le camp du président Macron. Si ce dernier se défend de se servir de cette présidence comme d’un « marchepied électoral », c’est pourtant ce que lui reprochent certains eurodéputés. Le 19 janvier 2022, lors du discours présidentiel où Emmanuel Macron présentait sa vision de l’Europe, les critiques ont fusé de différents côtés.
Quand Yannick Jadot (EELV et candidat à la présidentielle) le traite de « président de l’inaction climatique », Manon Aubry (LFI) dénonce un bilan européen « de l’arrogance » : « Votre bilan européen n’est qu’arrogance, impuissance et manigance. Sur le fond, vous êtes le champion des compromissions et des doubles discours. Sur la forme, vous n’avez cessé d’être le président du mépris. » Pour l’eurodéputé Jordan Bardella, « Emmanuel Macron est incapable de faire de la politique sans mépris, sans une forme d’arrogance, de cynisme, de morgue à l’égard du peuple français ou de personne en désaccord avec sa politique. » « Vous promettiez la fin des clivages et vous laissez le pays et l’Europe fracturés », a taclé François-Xavier Bellamy (eurodéputé Les Républicains). Bref, les règlements de compte n’ont pas manqué et ne manqueront pas…
Dans tous les cas, la présidence française à l’Union européenne ne peut que pâtir de ce calendrier. La métaphore du « match » employée par Christophe Castaner, chef de file des députés LREM à l’Assemblée nationale, est sans doute la meilleure… Le président « parlera d’Europe » et les opposants « ne manqueront pas de parler de petite politique et de campagne présidentielle ». Et pourquoi s’en priver…
Il y a seulement deux semaines, la 20ème journée de Ligue 1 enregistrait son pire total de buts cette saison sur une journée avec seulement 14 buts, soit un peu plus d’un but par match. Une triste statistique qui a sûrement donné soif de buts à nos clubs français. Résultat : les filets ont tremblé 35 fois lors de cette 22ème journée.
Des scénarios renversants..
Le Bordeaux-Strasbourg (4-3), le Nantes-Lorient (4-2), et le Montpellier-Monaco (3-2) ont grandement contribué à cerecord. Avec 18 buts marqués sur ces trois matchs cumulés, les supporters n’ont pas boudé leur plaisir. Les attaquants se sont mis en valeur sur ce match, avec notamment le triplé du Coréen Hwang pour donner la victoire aux Bordelais, ou encore les buts de Randal Kolo Muani et Terem Moffi lors du derby breton. Des matchs serrés donc, où les équipes ont décidé de se mettre à l’abri en cherchant à faire le break, plutôt qu’en défendant leur cage, à notre grand plaisir !
Et des matchs à sens unique
Le PSG, l’OM et l’OGC Nice ont été sans pitié face à leurs adversaires ce week-end. L’OM s’est imposé 2-0 contre un Lens en forme, tandis que le club de la capitale a aisément contrôlé le match face au Stade de Reims en s’imposant 4-0. Le trio de tête conforte son avance. L’OM, 3ème avec un match de retard, n’est qu’à 2 petits points de Nice, et potentiellement à 8 points de Strasbourg, surprenant 4ème.
Espérons que ce week-end prolifique décomplexe les entraîneurs de Ligue 1 sur les prochaines semaines, pour nous offrir un spectacle que, devant nos écrans, on aimerait voir plus souvent.
L’Association Commerces Positifs organisait vendredi 21 janvier la remise des prix de son concours « Plus belle la vitrine ». Cet événement, qui se déroule les semaines précédant Noël, a pour but de mettre en valeur les commerces de Marseille qui ont ravi le public par la décoration de leur devanture. Pour cette troisième édition, 162 commerces avaient relevé le défi. Quatre d’entre eux ont été récompensé par un prix particulier, en présence des acteurs de la Ville (CCIAMP, Ville de Marseille, Département des Bouches-du-Rhône…) L’événement « Plus belle la vitrine » rencontre de plus en plus de succès, démontrant la volonté d’engagement des commerçants marseillais, pas seulement en centre-ville.