Retour sur le 1er match de l’OM en Ligue 1 cette saison avec le coach Fabrice Huart.
Retrouvez l’analyse, le décryptage tactique, les clés de la victoire de l’OM contre Montpellier avec Le Méridional.
Photo : Payet © Payet / Twitter
Retour sur le 1er match de l’OM en Ligue 1 cette saison avec le coach Fabrice Huart.
Retrouvez l’analyse, le décryptage tactique, les clés de la victoire de l’OM contre Montpellier avec Le Méridional.
Photo : Payet © Payet / Twitter
La période estivale est l’occasion de jeter un regard sur l’actualité qui a jalonné ces derniers mois. Retrouvez une sélection des meilleurs articles du Méridional, parmi ceux que vous avez plébiscités ou que vous auriez pu manquer.
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La Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur regorge de trésors. De belles pépites transmettent l’histoire et les fiertés du territoire. Chaque dimanche de ce mois d’août, Le Méridional a choisi de mettre en valeur, après visite, un village ou une petite ville de la région. L’Isle-sur-la-Sorgue est situé à environ 80 km de Marseille et à une vingtaine de kilomètres d’Avignon.
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Le chef d’orchestre de la commune de l’Isle-sur-la-Sorgue, et son nom l’indique : c’est la Sorgue, qui donne à la ville son ambiance et son charme. « Sorgo » signifie « petit cours d’eau » en provençal : petit, on demande à voir ! La rivière prend sa source quelques kilomètres au-dessus du centre-ville, à Fontaine-de-Vaucluse. Le nom même du département en est issu, puisque « vallis clausa », « vau-cluso », en provençal, désigne la « vallée close » d’où sort la source.
Le Gouffre de la Fontaine de Vaucluse reste un spectacle impressionnant, en particulier au printemps et à l’automne : la fonte des neiges ou les pluies abondantes donnent un débit extrêmement puissant à la source ; il est d’ailleurs le plus important de France. De la fontaine jaillissent les eaux provenant conjointement des Monts de Vaucluse, du Mont Ventoux et de la Montagne de Lure.
En outre, la ville se situe sur une nappe sub-affleurante, ce qui fait que lorsqu’il pleut, il arrive que l’eau remonte sur les terrains. Bref, on est ici dans une « ville d’eau », et si Martigues porte le surnom de « Venise provençale », l’Isle n’est pas peu fière d’endosser celui de « Venise comtadine » (d’après le Comtat Venaissin, auquel elle appartenait).
Un petit coin vaut le détour, à environ 1 kilomètre du centre-ville : le Partage des Eaux ; à cet endroit, la Sorgue se sépare en deux bras, la Sorgue de Velleron et la Sorgue d’Entraigues. L’endroit est connu pour sa fraîcheur… mais les baigneurs sont très rares, l’eau avoisinant les 13°, même en été !
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Une quinzaine de roues à aubes sont encore visibles, rappelant le dynamisme des industries textiles aux alentours (dont il ne reste aujourd’hui que quelques manufactures). Il est agréable de se promener dans les petites rues pavées et de se rafraîchir à la terrasse de l’un des cafés qui jalonnent la rivière, dans le petit centre-ville. On repère au passage quelques « nego chins » barques légères à fond plat (« noie chien » en provençal, en référence à leur stabilité incertaine…) Tous les ans, le premier dimanche d’août depuis la décennie 1960 a lieu un marché flottant, où les marchands en habits traditionnels proposent leurs produits.
Mais si l’Isle-sur-la-Sorgue est connue au-delà des frontières nationales, c’est aussi qu’elle est la troisième place européenne pour le marché des Antiquités, derrière Saint-Ouen et Londres ! Les Britanniques et les Néerlandais, notamment, apprécient la destination pour cette raison.
Finissons la promenade sur une note littéraire, avec le poète René Char (1907-1988), grand amoureux de sa ville natale. Un poème de Paul Eluard, dans Les Mains libres, associe leurs deux noms avec raison : « AVIGNON : Nous ne sommes restés qu’un moment à Avignon/Nous avions hâte d’arriver à l’Isle-sur-Sorgue/Où René Char nous attendait. »
Jeanne RIVIERE
Dans la série de matches de préparation, l’OM est resté invaincu ; le groupe a fait le plein de confiance et c’est en pleine confiance qu’il se déplacera chez le voisin héraultais pour le compte de la première journée de championnat ce dimanche à 20h45.
Que promettent les prochains matches ? La patte Sampaoli est bien présente : le projet de jeu se veut ambitieux et spectaculaire, le recrutement colle à cette façon de jouer et au slogan du club. Ce qui n’est pas pour déplaire aux supporters. Le jeu de séduction est passé : place aux fiançailles.
Toutefois, certaines phases de jeu peuvent mettre en difficulté le plan de jeu du coach. Je pense à des prises de risque dans les départs du ballon face à un pressing haut qui peuvent générer des pertes du ballon dans des zones proches du but. La dépense d’énergie importante due au projet de jeu exigeant me paraît l’élément de gestion primordial en ce début de saison ; la maîtrise physique dans la gestion des temps forts- temps faibles est essentiel pour la bonne gestion du match dans son intégralité.
Compositions :
Montpellier : Bertaud/Sambia/Cozzo/Thuller/Esteve/Ferri/Leroy/Laborde/Mollet/Delort/Mavididi.
OM : Mandanda/Rongier/Saliba/Balerdi/Peres/Gueye/Guendouzi/Under/Payet/Gerson/Luis Enrique.
Pronostic :
2-2
Fabrice HUART
Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.
« Un jour, j’irai de l’autre côté ». Quel gamin passionné de voile n’a pas rêvé ce défi, en manœuvrant avec soin son petit Optimist ? C’était bien cela que s’était promis Frank Lang, alors qu’il naviguait en Bretagne Sud au large de La Baule. Aujourd’hui, il est président de l’association qui organise la Transquadra, une course transatlantique, en double ou en solitaire, ouverte à tous les marins amateurs de plus de 40 ans. Cette année, la flotte méditerranéenne partira de Marseille (le départ se faisait auparavant de Barcelone), le 13 août. Il nous en dit plus sur cette formidable aventure et son ambiance.
La Transquadra rassemble aujourd’hui une centaine de bateaux. Elle est composée d’une flotte atlantique, qui part de Lorient, et d’une flotte méditerranéenne, qui part cette année, pour la première fois, de Marseille. La Transquadra se déroule donc en deux étapes : de Marseille ou de Lorient jusqu’à Madère (13 août / 18 août/ la cérémonie de clôture de cette étape aura lieu à Madère le 28 août), et de Madère à la Martinique (Le Marin), en janvier-février 2022.
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La course a lieu tous les trois ans : « Un an pour se préparer, un an au cours de laquelle on vit l’aventure, et… un an pour se remettre », résume le président en riant. Celle de 2020 (covid oblige) a été reportée à 2021.
C’est la Société Nautique de Marseille qui accueille avec joie les marins et leurs bateaux, à partir du 9 août : « La Transquadra, c’est parfois l’aventure d’une vie ; nous sommes ravis d’être le point de départ d’un tel événement ! » nous dit Maguelonne Turcat, directrice de Communication de la Nautique. Les organisateurs de la course relèvent aussi l’importance de cet accueil : « La Nautique et notre association vivent des mêmes valeurs ; c’est essentiel et cela significe beaucoup. »
« Quadra » course
Soulignons-le tout de suite : les marins de la Transquadra ne sont pas des professionnels ; ils se définissent comme des amateurs – certes de bon niveau, et cela compte dans la spécificité de la Transquadra. « Pourquoi pour les plus de 40 ans ? Justement car ce n’est pas à cet âge-là qu’on devient un professionnel. Cela n’empêche pas que les coureurs s’entraînent comme des professionnels », précise Frank Lang. La flotte méditerranéenne, elle, devra faire face lors de la première étape aux alternances entre vent fort et « pétole » (calme plat), et surtout au passage par le détroit de Gibraltar avec un trafic dense et des courants capricieux.
Histoire d’un défi
En 1993, ils étaient 17 équipages à avoir participé à la toute première édition de la Transquadra. Il faut dire que, comme beaucoup d’aventures qui ont pris de l’ampleur, la Transquadra n’était à l’origine qu’un défi entre amis, lancé par le « voileux » Mico Bolo, aujourd’hui directeur de la course. À partir de 2005 (quatre éditions plus tard), la flotte s’est stabilisée à près de 100 bateaux. En général, un tiers d’entre eux sont menés en solitaire. Les voiliers autorisés sont des bateaux de série, de 8,50 à 12 mètres. L’organisation de la course est un peu spécifique : elle est supervisée par un groupe de bénévoles d’une quinzaine de personnes, anciens coureurs de la Transquadra, qui connaissent bien le monde de la mer et les enjeux de cette compétition.
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Dans la flotte méditerranéenne, uniquement des bateaux doubles. « Courir en solitaire est moins évident que de courir en double, n’est-ce pas ? », demande-t-on à Frank. Réponse amusée de ce dernier : « Ceux qui courent en solitaire vous diront qu’il est plus difficile de courir en double, ceux qui courent en double, l’inverse… » Et de raconter une belle anecdote : « Lors d’une édition, on a demandé à un solitaire de se dérouter pour porter secours à un autre solitaire. A la course suivante, les deux navigateurs partaient ensemble en double ! »
Certains marins sont animés par le côté compétition, le « sens de la gagne » ; d’autres, par l’aventure en elle-même. « Quand j’ai couru lors de la 4ème édition, je suis parti avec des amis-connaissance, je suis revenu avec des vrais copains « , rapporte encore Frank Lang. Ce qui est certain, c’est que comme pour toutes les aventures de ce genre, il faut posséder un bon mental. Les proches encouragent les marins et les soutiennent. Jean-François Hamon (3 participations en solitaire) témoigne : « Pour qu’un tel projet soit une réussite, il faut que la famille y adhère et se passionne. Il faut embarquer tout le monde et les impliquer dans le projet. La première fois, il y avait des appréhensions, des inquiétudes. Aujourd’hui, c’est ma famille qui me pousse à repartir ! » D’ailleurs, beaucoup d’amis et de proches font le voyage jusqu’à Madère et à la Martinique pour être présents à l’arrivée des champions. Le cadre idyllique ne le fait pas regretter…
La sécurité des marins est bien sûr prévue avec soin : chaque bateau est équipé d’une balise satellite émettrice : l’organisation récupère les données en permanence. Il possède aussi un téléphone satellite ; et, évidemment, une balise de détresse. Quand un problème arrive, un bateau de la course est immédiatement dérouté pour une première assistance.
Pour les « voileux » amateurs et passionnés de navigation, la Transquadra constitue un ensemble particulièrement propice à l’aventure. Oui, parfois, les rêves d’enfants deviennent réalité !
Jeanne RIVIERE
Programme de la semaine de départ – Marseille :
Lundi 9 août
– Arrivée des bateaux aux pontons de la Société Nautique de Marseille
Mardi 10 août
– A 10 heures au plus tard présence obligatoire des bateaux
Mercredi 11 août
– 9h00 à 15 h Contrôle des Bateaux
– 20h00 présentation des concurrents et soirée des équipages
Jeudi 12 août
– 18h00 Briefing
Vendredi 13 août
– 10h00 sortie des bateaux
– 13h00 Départ Doubles (signal d’avertissement)
Parcours et zone de départ :
– Rade Sud Marseille sauf conditions météo exceptionnelles
– Iles du Frioul et Château d’If à laisser à bâbord.
Aujourd’hui se tenait à Tokyo la finale par équipes de saut d’obstacles, la dernière épreuve des Jeux olympiques d’équitation 2021, qui se terminent sur une touche de déception pour l’équipe de France. Revenons sur ces 4 derniers jours d’épreuves individuelles et par équipe de la compétition.
Les épreuves individuelles
La qualification individuelle s’est tenue ce mardi 3 août et permettait aux 30 meilleurs cavaliers de se qualifier pour la finale individuelle du mercredi 4 août avec à la clé le podium olympique et ses médailles.
Du côté de nos cavaliers français, seuls Nicolas Delmotte avec Urvoso du Roch, ont atteint cette qualification avec un parcours très bien monté, réalisé sans faute sur les barres et dans le temps imparti. Pour leurs premiers Jeux olympiques ensemble, le duo réalise un beau parcours sur la finale individuelle mais, malheureusement, une barre tombée sur le numéro 5 (4 points de pénalité) efface tout espoir de médaille et ils terminent à la 12ème place du classement individuel général.
Quant aux deux autres cavaliers français participant à cette épreuve de qualification individuelle, le duo Mathieu Billot et Quel Filou 13 sortent de ce parcours avec 7 points de pénalité, Pénélope Leprévost et Vancouver de Lanlore eux avec 10 points de pénalité, des scores ne leur permettant pas de se qualifier pour la finale individuelle.
Les épreuves par équipe
Ces épreuves se sont déroulées sur le même principe que les épreuves individuelles, avec un parcours qualificatif le vendredi 6 août suivi de la finale par équipe ce samedi 7 août durant laquelle les 10 meilleures équipes se sont affrontées pour tenter de décrocher le titre olympique, obtenu par les cavaliers français à Rio en 2016.
L’équipe de France a été légèrement bouleversée quelques heures seulement avant le début de l’épreuve de qualification puisque Urvoso du Roch, le cheval de Nicolas Delmotte, a été déclaré forfait à cause d’un problème de santé (complètement réglé à cette heure-ci). Le couple Simon Delestre et Berlux Z, réservistes, ont donc pris le départ pour la France. Ce premier duo français s’est sorti de ce parcours avec un sans faute sur les barres et un point de pénalité pour dépassement du temps imparti. Ils ont été suivis par Pénélope Leprévost et Vancouver de Lanlore réalisant leur tour avec 5 points de pénalité, et par Mathieu Billot et Quel Filou 13 avec 9 points. Ces résultats ont permis aux cavaliers français d’obtenir la 5ème place du classement provisoire par équipe et donc de se qualifier pour la finale par équipe.
Cette dernière épreuve avait lieu aujourd’hui à 12h (heure française). Avec deux très beaux parcours de Simon Delestre et Mathieu Billot, qui sortent tous deux avec un seul point de pénalité de temps dépassé, la France était à la pause en tête de l’épreuve. Malheureusement, tout espoir de médaille s’est envolé avec l’élimination de Pénélope Leprévost, dernière cavalière de l’épreuve à s’élancer sur le parcours. La France termine donc 8ème par équipe de ces Jeux Olympiques de saut d’obstacles. Le titre de champions olympiques est remporté par l’équipe de Suède, médaille largement méritée puisque sur les 18 parcours réalisés par les cavaliers et chevaux suédois, une seule barre seulement est tombée au sol.
Ce dernier parcours de la compétition de saut d’obstacles se terminait sur un obstacle vertical aux couleurs françaises, avec annotée sur les barres l’inscription « Paris 2024 », un clin d’œil aux prochaines barres olympiques qui seront franchies par les meilleurs cavaliers internationaux sur le sol français en 2024.
Clémence PATTE
Pour la reprise de la Ligue 1, Montpellier reçoit l’Olympique de Marseille le dimanche 8 août à 20h45.
Le match sera retransmis sur Amazon Prime Video.
La saison 2021-2022 sera celle du retour du public dans les stades ; pour l’OM, le retour du tant attendu 12ème homme et peut-être la meilleure recrue du mercato. Voici le calendrier prévisionnel de la saison (susceptible de modifications pour satisfaire aux obligations télévisuelles).
AOÛT
SEPTEMBRE
OCTOBRE
NOVEMBRE
DÉCEMBRE
JANVIER
FÉVRIER
MARS
AVRIL
MAI
C’était l’une des grandes craintes tant des Marseillais que des professionnels du tourisme : l’affluence non maîtrisée des touristes, comme à l’été 2020, où le contexte dû au covid avait amené de nombreux Français dans la Cité phocéenne. Mais en ce début du mois d’août, le regard jeté sur le mois de juillet permet de constater que les flux de touristes, grâce à l’anticipation des différentes institutions, sont sur une bonne dynamique.
Il faut dire que l’Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille avait mis un point d’honneur à tout organiser au mieux, plusieurs mois avant les débuts de la saison touristique. Des équipes de saisonniers ont été formées pour aller au-devant des touristes et les informer sur des destinations différentes des sites sur-fréquentés de Marseille et ses environs proches ; Notre-Dame-de-la-Garde et le Vieux-Port ont bénéficié d’une attention toute particulière, pour que les touristes soient répartis par tranches, et encouragés à visiter d’autres lieux.
Pour un aperçu : les touristes français les plus présents à Marseille viennent de l’Ile-de-France, de la Région Sud et de la région Auvergne-Rhône-Alpes ; les touristes étrangers viennent beaucoup de Belgique, d’Allemagne et de Suisse.
Entente cordiale entre les différents acteurs
Si, il y a quelques mois, des désaccords avaient émergés entre les acteurs du secteur touristique (entre l’Office de Tourisme et la Ville de Marseille), l’entente s’est bien réalisée pour une saison touristique nécessaire à la ville.
Marc Thépot, Président de l’Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès, résume ainsi : « Les chiffres de juillet attestent d’un niveau de fréquentation élevé qui concerne tous les types d’hébergement avec des prix satisfaisants pour tous les opérateurs concernés. Les nombreux atouts de Marseille et la diversité des « expériences clients » drainent une large clientèle avec aussi bien des familles que des amis ou des groupes. Nous sommes tous, dans nos missions respectives, Ville, Métropole, professionnels du Tourisme, les ambassadeurs de cette belle destination, garants d’un tourisme toujours plus responsable. C’est la meilleure réponse à apporter à cette pandémie qui rôde encore : tous unis et responsables pour pérenniser l’attractivité de Marseille. »
A noter également que la situation sanitaire n’est pas tout à fait la même que celle de l’année passée, notamment en raison de l’ouverture d’un certain nombre d’espaces aériens.
Malgré des difficultés liées à l’afflux de vacanciers, qui restent une réalité dans certains quartiers (réalité pas toujours entendue par les autorités compétentes : déchets, bruit etc.), la situation est bien différente de celle de l’été 2020. Dans cette optique, le mois d’août permet d’être envisagé plus sereinement.
Raphaëlle PAOLI
Depuis plus d’une dizaine d’années, le festival d’art contemporain ART-O-RAMA investit Marseille à la fin août. « Le week-end d’ouverture, en présence des galeristes, est prolongé par un temps d’exposition qui permet d’accueillir un plus large public d’amateurs d’art », précise l’événement.
Le calendrier de l’événement : week-end inaugural le 27, 28 et 29 août 2021 / Exposition jusqu’au 12 septembre 2021 de 14h à 19h / A La Friche Belle de Mai, 41 Rue Jobin 13003 Marseille.
Tarifs :
– 5 € l’entrée en plein tarif
– 3 € l’entrée en tarif réduit (18-25 ans, étudiants, seniors (plus de 60 ans), personnes affiliées à la Maison des artistes).
– Gratuit pour les moins de 18 ans, les demandeurs d’emploi, personnes en situation de handicap et accompagnateur.