Malgré des intérêts de la part de Lyon, l’Olympique de Marseille aurait jeté son dévolu sur un attaquant chilien de Championship.
Pablo Longoria n’en finit plus de multiplier les pistes offensives. L’une d’entre elle tourne autour de Ben Brereton Diaz. Son très bon sens du placement et sa vitesse redoutable ont fait des ravages cette année en Angleterre, où il a inscrit 22 buts et délivré 3 passes décisives.
Estimé à 16 millions d’euros avec 1 an de contrat restant, le joueur de Blackburn attire forcément les convoitises.
Le Chilien serait dans les petits papiers de l’Olympique Lyonnais mais aussi de l’OM. Cependant, les dirigeants marseillais devront aussi faire face à la concurrence de l’Eintracht Francfort, Leeds United ou encore Everton dans ce dossier.
Durant trois jours, du 28 au 30 juin, Marseille accueillait au Parc Chanot le salon Euromaritime. Dédié à l’innovation d’un secteur économique essentiel pour la France, l’événement a démontré une capacité de résilience qui donne confiance.
La diversité des stands présents au salon Euromaritime le montre, le secteur maritime a largement su tirer son épingle du jeu. Il continue d’innover malgré les difficultés inhérentes à la crise sanitaire et à la crise en Ukraine.
Placé sous le signe de l’innovation, Euromaritime a reconduit, cette année l’espace SEAnnovation, destiné à héberger dix-huit start-up sélectionnées à la suite d’un appel à candidature. Cet espace a notamment pour objectif de favoriser les rencontres avec des industriels, des investisseurs, des institutionnels et des apporteurs d’affaires. Il permet aussi de nouer des relations de confiance avec de grandes entreprises qui ont accès au marché.
Ces entreprises en devenir déclinent leurs innovations sur les modes de propulsion alternatifs tels que l’hydrogène ou la propulsion vélique mais également dans tous les autres domaines comme le dessalement de l’eau de mer ou les systèmes de gestion des flottes et des ports, apportant des solutions aux principaux défis que le secteur maritime doit, aujourd’hui, relever ; notamment la numérisation et la décarbonation de ses activités. L’innovation du secteur doit évidemment réussir à concilier performance économique et transition énergétique.
Ce sont des promenades peu communes que propose le Domaine du Rayol (Rayol-Canadel-sur-Mer, dans le Var). Les vendredis 15 juillet, 12 août et 9 septembre, soit des soirs au plus près de la pleine lune, les visiteurs découvriront le délicieux jardin des Méditerranées, à une heure où les températures sont davantage fraîches. Accompagnés d’un guide, ils pourront apprécier la nature du lieu sous un angle original, et croiser différents animaux.
Qu’espère donc la Première ministre d’Ecosse, Nicola Sturgeon, en annonçant un deuxième référendum pour le 19 octobre 2023 ? Alors que le « non » des Ecossais pour une indépendance avait majoré à quelque 55% en 2014, l’exécutif ouvre à nouveau la boîte de Pandore.
Un « rendez-vous » que Nicola Sturgeon a d’ores et déjà donné à tous les Ecossais. Les médias britanniques, de leur côté, n’ont pas manqué de qualifier l’annonce de « coup de poker » – à défaut de le qualifier de coup de tonnerre… En ouvrant la porte à un nouveau référendum sur l’indépendance de l’Ecosse par voie législative, la Première ministre espère jouer cartes sur table avec Londres.
le référendum de 2014 est loin d’avoir enterré les débats
Un dossier mis en sourdine
Il faut dire que le référendum de septembre 2014 était loin d’avoir enterré les débats, même si le sujet avait été mis en sourdine durant la période de négociation entre Londres et l’Union européenne pour le Brexit, puis durant la crise sanitaire. Mais ce 28 juin, la tête du Scottish National Party (SNP) a annoncé se tourner vers la Cour suprême britannique pour demander l’organisation d’un nouveau référendum d’indépendance, en toute légalité.
Dans les règles
Nicola Sturgeon a d’ailleurs précisé que les Ecossais ne joueraient pas à un référendum « façon catalane ». Mais si, il y a neuf ans, le Premier ministre britannique David Cameron avait donné son accord pour un référendum, Boris Johnson y oppose tout simplement une fin de non-recevoir, et justifie un tel refus par le principe « un référendum par génération est bien assez ». Le Premier ministre a bien d’autres dossiers délicats dont il doit s’occuper en ce moment, notamment celui de l’Irlande du Nord.
un référendum « façon catalane » écarté
La leader indépendantiste espère donc prendre un chemin de traverse, sans se dresser officiellement contre « BoJo ». De son côté, la Cour suprême a fait savoir qu’elle étudierait la question.
Un paysage politique différent
Pourquoi Nicola Sturgeon – poussée par l’aile radicale du SNP -, demande-t-elle ce nouveau référendum ? Elle estime que la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne s’est faite en dépit de l’avis des Ecossais proeuropéens (62% de non), et donc que le paysage politique a évolué.
les élections législatives de 2024 en ligne de mire
Il est évident que l’exécutif écossais aspire également à prendre davantage de décisions sans dépendre de Londres. « Les Écossais auront voix au chapitre », a assuré Nicola Sturgeon. Cette dernière a par ailleurs prévenu qu’en cas de refus de la Cour suprême, son parti se servirait des prochaines élections législatives (2024) comme d’une autre forme de référendum, en faisant campagne sur la seule question de l’indépendance.
« Hasard » du calendrier, la reine Elizabeth II prend ces jours-ci ses quartiers d’été en Ecosse. La tête du SNP a rencontré la souveraine de 96 ans aux lendemains de son annonce sur le référendum. Ce qui ne l’a pas empêché de lui offrir une bouteille de whisky (écossais, bien entendu) !
Il était annoncé depuis quelques jours avec insistance du côté de la Cité phocéenne ; l’OM a officiellement annoncé la signature du très grand défenseur central hier.
C’est l’un des premiers coups de Pablo Longoria sur le marché des transferts : Isaak Touré a signé officiellement à l’Olympique de Marseille pour les 5 prochaines années pour un montant avoisinant les 5,5 millions d’euros, plus 2 de bonus. Convoité également par Manchester City, le joueur est considéré comme un grand espoir à son poste. Qui est-il ?
Isaak Touré est né le 26 mars 2003 à Gonesse, dans le Val-d’Oise. Il fait ses débuts dans le football à l’En Avant Saint-Pierre puis à l’âge de 11 ans, il intègre le centre de formation du Havre. Un club dont il va parcourir toutes les catégories jusqu’à intégrer les professionnels en 2020, avec une entrée en jeu contre Amiens sous les ordres de Paul Le Guen. Des débuts contrariés par une blessure à la cheville qui va le tenir écarté des terrains pendant de longs mois.
Cette saison il a disputé 17 matchs de Ligue 2 ; côté international, le joueur compte 6 sélections en U16. L’année dernière, il a fait ses premiers pas avec les U19, avec qui il vient de disputer l’Euro.
Le Français possède un physique impressionnant, mesurant plus de 2 mètres et pesant quasiment 100 kilos, un profil qui l’a conduit à évoluer au poste de défenseur central. Au Havre, le joueur a été utilisé parfois dans une défense à 3 ou dans une charnière classique. Ses éducateurs parlent de lui comme quelqu’un de très travailleur et à l’écoute.
Sa taille l’avantage beaucoup dans les duels ainsi que dans le domaine aérien, il montre aussi de belles qualités d’anticipation et de relance. Assez à l’aise balle au pied même s’il reste perfectible, il est capable de sortir de sa défense pour apporter offensivement si le jeu l’exige.
Toutes ces qualités montrent la polyvalence du joueur ; il peut apporter de multiples solutions à son coach. Une autre qualité qu’il faut souligner chez Touré, c’est son leadership naturel : il est capable de diriger sa défense en communiquant énormément, une compétence indispensable en tant que défenseur central. Malgré toutes ces facultés, à 19 ans, il a encore beaucoup à apprendre ; mais le potentiel est là.
Isaak Touré entre totalement dans le projet de Longoria de recruter de jeunes joueurs pour les faire progresser et en tirer une plus-value. Il possède de bonnes qualités qui laissent entre voir de belles promesses. Son recrutement permet de renforcer la défense numériquement sans trop dépenser d’argent. C’est un recrutement intelligent et ce joueur prometteur pourra beaucoup apporter à l’Olympique de Marseille à l’avenir.
L’Olympique de Marseille et PUMA lancent aujourd’hui le maillot domicile de la saison 2022-2023 avec une approche rétro et un hommage à l’histoire.
Pour la saison 2022-2023, c’est un pan glorieux de l’histoire du club qui a inspiré le design du nouveau maillot domicile de l’Olympique de Marseille. Entre influences rétro et détails modernes, ce maillot est un trait d’union entre les années 70 et la saison 2022-2023.
En souhaitant célébrer l’histoire du club et ses racines, PUMA met en avant des références à une période historique de l’Olympique de Marseille et aux traditions marseillaises : le blanc immaculé traditionnel, le liseré sur le col V, le retour du bleu mythique des années 70.
Sur une base blanche avec un design épuré, le nouveau maillot domicile est paré de liserés bleu foncé sur les manches et sur le col. Les logos du club et de PUMA s’accordent dans ce même bleu mythique et historique. De fines bandes embossées viennent donner du relief à l’avant du maillot et le blason de Marseille, apposé dans le cou, rappelle fièrement l’union entre le club et la ville.
C’est un homme de tête et de cœur, et l’on se souviendra avec gratitude de son engagement à la tête du Bataillon des Marins-Pompiers de Marseille. Nommé en 2019, le vice-amiral Patrick Augier a su pendant trois ans se faire remarquer et apprécier par son travail efficace, son humilité et son esprit de corps. Des valeurs humaines et des qualités de chef que ne manque pas de souligner le contrôleur-général Grégory Allione, président de la Fédération nationale des pompiers de France et directeur du service départemental d’incendie et de secours des Bouches-du-Rhône, interrogé par Le Méridional.
« Si je devais seulement adresser un mot au vice-amiral Patrick Augier, je lui dirais merci pour cette intelligence humaine. On est nombreux à penser qu’entre sapeur et marin, il y a un dénominateur commun qui s’appelle « pompier ». Il a une perméabilité, une histoire entre les deux corps. Que ce soit dans les Bouches-du-Rhône ou ailleurs, on sait très bien que les gens qui sont au bataillon, ce sont les nôtres.
L’amiral Augier a eu l’intelligence de vite comprendre que l’on partageait des valeurs, au-delà du statut. Ce socle commun de valeurs nous unit au quotidien dans la mission et nous unit pour la protection de nos concitoyens.
« une perméabilité entre les deux corps »
Marins ou sapeurs, nous aimons le territoire, nous aimons la ville de Marseille, nous aimons la Provence, nous connaissons les gens. Ce n’est pas une question de statuts ou de chefs : ce sont des personnes qui mènent à bien une mission, ensemble. Quand on est chef, on doit avoir l’intelligence de comprendre cela.
C’est grâce à cet esprit de collaboration étroite que l’on a pu faire autant pour nos concitoyens durant la crise du Covid – on a eu la chance aussi d’avoir à nos côtés des collectivités qui nous ont entendus, écoutés, suivis. On n’aurait jamais pu autant tester et vacciner.
Une étroite collaboration
Les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône entendent rester dans cet état d’esprit, et nous allons tout faire de notre côté pour que cela perdure. Quand la tête va, les jambes avancent. Les femmes et les hommes le sentent. Qu’on soit sapeur ou marin, on sait qu’en tant que chef, il faut savoir donner l’élan : une fois que le cap est donné, nos femmes et nos hommes nous suivent. Le territoire des Bouches-du-Rhône peut s’enorgueillir d’avoir deux très belles unités d’élite. C’est une chance énorme, à mesurer. »
« quand la tête va, les jambes avancent »
Patrick Augier, passé du statut de contre-amiral à celui de vice-amiral, est remplacé par Lionel Mathieu à la tête des marins-pompiers de Marseille. Nommé par décret du président de la République en date du 8 juin, ce dernier (ex-chef de la division du soutien de l’activité à l’état-major des armées) prendra ses fonctions le 1er juillet. Il devient également, comme le veut l’usage, commandant de la marine à Marseille.
Une cérémonie de remerciement au vice-amiral Patrick Augier aura lieu demain à 9 heures au Palais du Pharo, en présence des autorités du territoire et du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
A l’occasion des Rencontres de la photographie d’Arles (qui se tiendront cette année du 4 au 25 septembre), la plateforme Arte propose quatre portraits de grandes femmes du monde de la photographie américaine : la photographe de rue Vivian Maier, l’icône du street-art Martha Cooper, la mannequin et photographe de guerre Lee Miller, et la photographe de la Grande Dépression Dorothea Lange.
Cette dernière est à l’origine de l’un des clichés les plus célèbres du monde, « Migrant mother ». Pourtant, peu de gens connaissent l’histoire de la photographe née à la fin du XIXème siècle. Ce documentaire est d’ailleurs réalisé par la petite-fille de Dorothea Lange – Dyanna Taylor -, cinéaste primée.
Arte.tv, spécial photographes américaines, à l’occasion des Rencontres de la photographie d’Arles. « A la recherche de Vivian Maier », du 1er juillet au 30 novembre 2022 ; « Martha Cooper, icône du street-art », du 1er juillet au 29 septembre 2022 ; « Lee Miller, mannequin et photographe de guerre », du 2 juillet au 30 septembre 2022 ; « Dorothea Lange, photographe de l’autre face de l’Amérique », du 4 juillet au 28 septembre 2022.
Pabo Longoria serait en discussion avancée avec le Torino et Hellas Verone pour les départs de Kevin Strootman et Luis Henrique.
Après le feu vert de la DNCG pour le recrutement, Pablo Longoria peut aborder ce mercato estival avec l’esprit plus léger. Le président serait déjà à l’œuvre pour faire partir deux indésirables du club.
Le premier est Kevin Strootman. Le Néerlandais, arrivé en 2018, n’a disputé que 78 matchs sans jamais convaincre et son énorme salaire pèse très lourd dans le budget olympien.
Le journaliste italien Fabrizio Romano évoque des discussions entre l’OM et Hellas Verone pour un prêt du joueur. Le club phocéen prendrait tout de même encore en charge une partie du salaire mais allègerait un peu ses finances.
Heureusement qu’il ne lui reste qu’un an de contrat car le triste passage de l’ancien de Rome à Marseille commence à s’éterniser…
Débarqué sur la Canebière contre un chèque de 8 millions d’euros en 2020, Luis Henrique n’a jamais brillé sous le maillot olympien. Le Brésilien n’a d’ailleurs inscrit qu’un seul but en 49 matchs disputés avec l’OM. C’est donc logiquement que le joueur de 20 ans se retrouve sur la liste des départs. L’Auviderde aurait trouvé un accord avec le Torino sur un futur contrat, le transfert serait un prêt avec une option d’achat de 6 millions d’euros.
L’Olympique de Marseille doit maintenant donner son feu vert; il ne faut pas oublier que le club olympien ne possède que 70% des droits du joueur et devra reverser une partie du transfert à Botafogo.