dimanche 11 mai 2025
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MercatOM – Départ de Steve Mandanda : une page se tourne

© OM / DR

L’emblématique portier marseillais s’est engagé avec le Stade Rennais pour une durée de 2 ans. Un départ prévisible puisque le Français avait perdu peu à peu sa place de titulaire au profit de Pau Lopez cette saison. Retour sur la carrière d’ « El Fenomeno ».

Gardien et capitaine de l’Olympique de Marseille, Steve Mandanda a tout connu ou presque avec le club. Des sommets de la Ligue 1 avec un titre de champion de France en 2010, aux bas-fonds avec une treizième place lors de l’exercice 2015-2016. Une saison catastrophique qui a poussé le portier à tenter une expérience à l’étranger, avant de revenir à la maison. Une maison que l’on pensait ne plus le voir quitter.

613 matchs avec l’om

Seulement, le recrutement de Pau Lopez est venu contrecarrer ce plan et le Français s’est vu peu à peu relégué sur le banc. Une situation qui n’a pas plus au principal intéressé. Il a donc décidé de rejoindre Rennes, pour 2 ans, où il occupera un poste de titulaire indiscutable. Un départ sans indemnité puisque Pablo Longoria a décidé de le libérer, au vu de son histoire avec le club, afin de faciliter son transfert. C’est donc après 14 années et 613 matchs disputés avec l’OM que le gardien quitte la Cité phocéenne. Retour sur le parcours du légendaire portier.

Un homme d’opportunités

Après avoir quitté la République démocratique du Congo, à l’âge de 2 ans, Steve Mandanda commence le football dans le club d’Evreux en Haute-Normandie, où il gravit petit à petit les échelons. Très prometteur, il est vite repéré par le Havre et intègre le centre de formation en 2000 ; il a alors 15 ans. Mandanda passe professionnel 4 ans plus tard, pour être la doublure d’Olivier Blondel, mais le dépasse dans la hiérarchie après de mauvaises prestations de celui-ci. Cette même année, le natif de Kinshasa fait ses débuts en Equipe de France U19 ainsi que chez les Bleuets.

« el fenomeno »

Après sa première saison en tant que titulaire, où il confirme les espoirs placés en lui, ses belles prestations attirent les convoitises de nombreux clubs, français comme étrangers. L’Olympique de Marseille, à ce moment-là, recherche une doublure à Cédric Carrasso. Problème, Mandanda veut être titulaire et se tourne alors vers l’Angleterre où il effectue un essai à Aston Villa. Le transfert capote, le Havre voulant un transfert sec et les Villans préférant un prêt avec option d’achat.

Le Français est finalement prêté à l’OM à l’été 2007 avec une option d’achat de 3 millions d’euros et évolue sous la houlette de Laurent Spinosi. Alors qu’il est remplaçant, Mandanda se voit propulsé numéro 1 après la blessure au tendon d’Achille de Cédric Carrasso. Il fait ses débuts en Ligue 1 face à Caen le 25 août et découvre la Ligue des champions un mois plus tard contre le FC Porto. Lors de cette période, le portier se montre impérial dans les cages phocéennes et Carrasso ne retrouvera jamais sa place… Des performances qui lui ont valu un surnom et un chant à son honneur : « El Fenomeno ».

Découverte de l’Équipe de France et titulaire en puissance

Ses très belles prestations lui permettent d’obtenir, dès sa première saison au club, le trophée UNFP du gardien de l’année 2008 et l’OM décide de lever son option d’achat.

Dans la foulée, Raymond Domenech, alors sélectionneur de l’Équipe de France, lui ouvre les portes des Bleus et lui offre sa première sélection face à l’Equateur en mai 2008. Il est retenu pour participer à l’Euro 2008 en tant que gardien numéro 3.

il remporte plusieurs fois le trophée unfp du gardien de l’année

Quelques mois plus tard, Mandanda prend la place de numéro 1 en Equipe de France après les retraits de Coupet et Frey, mais perd sa place à la suite de bonnes prestations d’Hugo Lloris. 

A l’OM, il est titulaire lors du doublé Coupe de la Ligue/championnat et contribue largement au premier trophée du club phocéen depuis de nombreuses années. En 2011, il remporte encore une fois le trophée UNFP du meilleur gardien de l’année et également une nouvelle Coupe de la Ligue ainsi qu’un trophée des champions. L’année suivante, il décroche une troisième Coupe de la Ligue avant de connaître des saisons plus compliquées au niveau collectif avec Marseille.

il décroche une 3ème coupe de la ligue

En 2015, il est récompensé par son troisième trophée UNFP de meilleur gardien de l’année puis d’un quatrième l’année suivante en sortant du lot alors que l’OM termine à une triste 13ème place en Ligue 1. C’est lors de cette saison catastrophique, en 2016, que le gardien phocéen décide de plier bagages et de s’engager avec Crystal Palace pour un contrat de 3 ans. Malheureusement pour lui, il est rapidement barré par les prestations de Wayne Hennessey et de Julian Speroni, jouant seulement 8 matchs en une saison.

Un retour synonyme de records

Steve Mandanda revient à l’OM un an plus tard et retrouve son statut de titulaire au détriment de Yohann Pelé, qui avait été plutôt convaincant la saison écoulée.

L’année 2017 est celle des records pour « El Fenomeno ». Le 15 octobre, il efface des tablettes le record du joueur ayant disputé le plus de rencontres sous la tunique olympienne. Il dépasse ainsi les 452 matchs de Roger Scotti – joueur dans les années 1940-1950.

2017 est l’année des records pour mandanda

Le portier glane également un 5ème trophée UNFP de meilleur gardien de l’année, lui permettant d’être le joueur le plus titré dans cette catégorie devant Grégory Coupet (4 trophées). Doublure d’Hugo Lloris chez les Bleus, il fait partie du groupe France pour la victorieuse Coupe du monde 2018.

Un départ inévitable

Etincelant avec l’OM et taulier du vestiaire, Steve Mandanda semble intouchable. Malgré le poids des années, ses performances continuent de porter l’équipe. Mais voilà, pendant l’été 2021, Pablo Longoria et Jorge Sampaoli recrutent Pau Lopez à la Roma.

un exemple de professionnalisme

Arrivé en qualité de numéro 1, l’Espagnol a finalement relégué l’Olympien sur le banc, qui s’est contenté de 20 apparitions cette saison. Perplexe à l’idée de revivre une telle situation, l’exercice prochain, le joueur au caractère affirmé a tranché et a décidé de quitter le club, direction la Bretagne et Rennes.

La fin d’une ère à l’Olympique de Marseille, qui perd l’un de ses guerriers les plus fidèles, lequel a traversé pas mal d’époques. Un grand gardien qui a toujours tout donné pour l’OM, un exemple de professionnalisme et une véritable légende du club.

Cyriane VIALA

MercatOM – Tudor voudrait un international croate

© WKMC

L’arrivée du nouveau coach entraîne forcément de nouvelles rumeurs mercato et si l’on en croit les médias italiens, l’OM serait intéressé par Domagoj Vida.

L’Olympique de Marseille serait de nouveau sur la piste d’un défenseur central après le recrutement de Touré et de Gigot. 

Tuttomercatoweb explique que l’OM serait sur les traces de Domagoj Vida : Igor Tudor apprécierait particulièrement son compatriote et souhaiterait le faire venir. 

L’international croate (98 sélections) est un défenseur central qui peut également jouer à droite, c’est un vrai leader sur le terrain et il possède une belle qualité technique. Il représenterait une recrue à moindre frais puisqu’il est libre de tout contrat depuis son départ du Besiktas, où il a passé 4 années (137 matches de Süper Lig). Il a en plus, l’avantage d’avoir une grande expérience européenne. 

Le joueur serait une recrue séduisante sur le papier afin de renforcer le groupe. 

Le dessin du jour par Miège

Image Mise en avant

David Miège croque l’actualité avec un regard moqueur et savoureux. Retrouvez chaque jour ses dessins dans les colonnes du Méridional.

Marseille – Les Grandes Halles du Vieux-Port : le nouveau cœur battant de la gastronomie ouvrira le 15 juillet

De gauche à droite sur la photo : Julien Fabre, Laurent Battisti et Reza Zographos, les trois fondateurs des Grandes Halles © Le Méridional

[Actualisation du 13 juillet : l’ouverture des Grandes Halles est décalée au lundi 18 juillet]

Il n’y a pas un siècle, ce qu’on appelle aujourd’hui le cours Honoré d’Estienne d’Orves avait des airs de Venise provençale : un « canal en u » prolongé du côté de la place aux Huiles et du cours Jean Ballard, qui laissera la place à un parking géant dans les années 1970. L’endroit, de nos jours très apprécié des Marseillais, a vu se succéder les siècles, et avec eux, leurs modes et leurs manies. C’est au 30 A du fameux cours, en face de l’ancien arsenal des galères, que veut s’écrire une nouvelle page de cette histoire. Gastronomique, en l’occurrence.

« Grande gueule, fine bouche » : une devise plutôt éloquente que Julien Fabre, l’un des fondateurs du projet des Grandes Halles du Vieux-Port, se plaît à souligner. « Un projet un peu fou, quand on y pense : développé en pleine crise du Covid, et peaufiné pendant deux ans et demi ! » Mais ça y est, après plusieurs reports de date, le lieu ouvrira ses portes ce 15 juillet.

Gastronomie et entrepreneuriat

Les trois fondateurs des Grandes Halles du Vieux-Port, Julien Fabre, Laurent Battisti et Reza Zographos, ont en commun l’amour de Marseille, de la gastronomie, et un passé d’entrepreneurs explicite. « On s’est payé le luxe d’imaginer nos halles idéales, répond le premier, quand on lui fait remarquer que les Halles de la Major occupent déjà le terrain de la Cité phocéenne. On a voulu s’installer ici, dans le cœur battant de la ville, au plus proche du Vieux-Port. »

Une partie de la fine équipe © Le Méridional

Les fondateurs, comme les restaurateurs (pour une quinzaine d’échoppes), tiennent difficilement en place. Il faut dire qu’avec le soleil qui cogne et les bruits de verre, les éclats de voix sont un peu rehaussés, histoire de montrer à la presse « parisienne » qu’à Marseille, on sait travailler tout en profitant de la vie.

Que trouvera-t-on aux Halles ?

Ce 6 juillet, un petit travail d’imagination est encore nécessaire pour visualiser ce que seront les Halles à l’ouverture officielle. Mais on observe avec envie le four « à la napolitaine » de la future pizzeria.

© Le Méridional

Fruits et légumes frais, épices, charcuteries et viandes, fromages… « On entre, on achète ce qu’on veut, on mange debout, ou assis sur des grandes ou des petites tables… », explique Julien Fabre en ponctuant ses explications de gestes animés. « L’idée est de faire ses courses et de manger un bout », renchérit l’architecte d’intérieur Olympe Zographos. Cette dernière a conçu l’endroit avec cet objectif, faisant alterner les grandes tables avec les petites échoppes – la plus petite étant celle de notre ami Tobias, qui revisite les classiques des sandwiches français. Les habitués marseillais de la bonne chère ne seront pas dépaysés, puisqu’on retrouve par exemple « La Cave à jambon » ou encore « La Minotte » ; d’autres échoppes se lanceront pour la première fois.

© Le Méridional

Les commerces des Halles se concentreront au rez-de-chaussée (et en face, l’arsenal accueillera bientôt un marché paysan) – l’étage étant réservé aux bureaux et aux sanitaires. Mais le clou du spectacle reste sans doute la grande terrasse extérieure et le bar (synonyme de mixologie), qui feraient envie à n’importe quel Nordiste.

Un projet ambitieux

Plus d’une centaine de personnes au total s’activeront autour du projet, qui a représenté plus de 6 millions d’euros d’investissement. Les Grandes Halles du Vieux-Port attendent entre 500 000 et 1 million de visiteurs par an (la comparaison a été faite en observant les halles de Toulon par exemple), pour un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros par an en « fourchette basse ». Mais les fondateurs, qui aiment à se définir comme « épicuriens dans l’âme » tiennent surtout à résumer l’aventure comme « 2 000 m2 dédiés à la bonne chère ».

© Le Méridional

Quels seront les curieux qui investiront la place ? « On n’a pas fait un lieu pour les touristes : mais quand les Marseillais aiment un lieu, les touristes viennent voir ! », conclut Olympe Zographos avec un fin sourire. Il ne reste plus qu’à remplir la cave à vin, pour accueillir dignement les premiers visiteurs estivaux dans une poignée de jours.

Jeanne RIVIERE

Calendrier – Le FidMed Riviera, la journée dédiée au financement de l’innovation

Le 12 juillet prochain aura lieu le FidMed Riviera, sur le Campus de SKEMA Business School à Sophia Antipolis. Une nouvelle édition généraliste co-organisé avec Telecom Valley et Medinsoft, les clusters de l’innovation de la Région Sud. Dédié au financement de l’innovation, l’événement accueille des intervenants spécialisés de la question, qui partageront leur expérience.

> A voir aussi : L’interview de la semaine – Francis Papazian évoque l’importance du « trait d’union entre les start-ups et les financeurs »

Le Directeur Régional de la Banque de France, Jean-Christophe Ehrhardt, viendra parler des outils mis en œuvre par la Banque de France pour les start-ups. Il détaillera pour la première fois le projet d’une cotation spécifique aux start-ups, et donnera des éléments sur l’écosystème des start-ups sur le territoire.

La grande conférence du matin, atour du financement de l’innovation, est ouverte au public sur inscription. Le programme détaillé est à retrouver sur le site de l’événement.

MercatOM – Un duel OM/Rennes pour un Coréen

© WKMC

Pablo Longoria serait sur les traces de Kim Min-Jae (25 ans) pour remplacer William Saliba. 

Ces derniers jours, le nom de Kim Min-Jae revient avec insistance du côté de la Cité phocéenne. Selon plusieurs sources, l’OM est intéressé par son profil mais a du retard dans le dossier. Le défenseur central plaît énormément aux dirigeants du Stade Rennais, qui avait bien progressé dans l’affaire, mais le club breton serait également en discussion très avancée avec Umtiti et aurait mis le dossier du coréen en suspens. Une aubaine donc pour l’Olympique de Marseille. 

L’international sud-coréen (41 capes) est sous contrat avec le Fenerbahçe pendant encore 3 ans et possède une clause libératoire de 18 millions d’euros. Il sort de sa première saison hors Asie où il a beaucoup joué (31 titularisations en Süper Lig). Surnommé « Monster » par sa taille (1m90), le natif de Tongyeong est à l’aise dans le domaine aérien et possède une bonne lecture du jeu. 

Son profil est intéressant pour le club olympien parce que c’est un bon défenseur qui peut encore progresser et qui a une petite expérience européenne, notamment en Europe League. 

Calendrier d’été – Nice Classic Live : de l’orchestre au jazz en passant par le récital

© Pxb

Après deux années marquées par les contraintes liées à la pandémie, le Nice Classic Live retrouve le cadre intime du Cloître du Monastère de Cimiez, dont l’acoustique sublime convient si bien à la musique.

Le Festival, qui aura lieu cette année du 16 juillet au 9 août, fera comme d’habitude la part belle à la musique de chambre, avec des artistes de renom, mais aussi à d’autres types de musique comme le jazz. Le thème choisi cette année est « la nature ».

Le Nice Classic Live entend aussi mettre en lumière de jeunes artistes à l’aube de leur carrière.

Plus d’informations sur le site de l’événement.

Territoire – Le poids de l’aérospatial en Région Sud

Le président de la Région Sud, Renaud Muselier, lors de l'ouverture du salon AeroSud © Florent Gardin / RS

A une période où la crise sanitaire a eu des conséquences économiques notables partout en France, la filière aérospatiale demeure une filière clef pour l’économie régionale. L’ouverture du salon AeroSud à Istres, dans le cadre de la semaine de la Défense, est l’occasion d’un coup d’œil à ce domaine sur notre territoire.

Avec 17 200 salariés (exclusivement consacrés à l’activité aéronautique et spatiale) dans 249 entreprises, la filière aérospatiale représente une filière majeure de l’industrie régionale. Elle se structure autour de grands donneurs d’ordre civils et militaires parmi lesquels Airbus Helicopters à Marignane, premier fabricant mondial d’hélicoptères ; Thales Alenia Space à Sophia-Antipolis, leader mondial dans le domaine des télécommunications, de la navigation, de l’observation de la terre et de la réalisation d’infrastructures ; Dassault à Aix-en-Provence ; la CNIM à la Seyne-sur-mer, SAFRAN Aircraft Engines à Istres, Daher à Marignane, ainsi qu’un tissu régional dense de TPE-PME sous-traitantes, de startups et d’ETI en croissance très largement représenté sur le salon AEROSUD.

1 700 chercheurs

L’innovation au cœur de la filière aéronautique et spatiale

Quelques chiffres permettent de se rendre compte de l’importance de l’innovation au sein de cette filière qui doit constamment rester à la pointe de la recherche. 40% des entreprises sont centrées sur une activité de recherche et développement (R&D) ; cette dernière totalise 1050 emplois à temps plein (hors grands constructeurs), 1 700 chercheurs (soit 30 % de la R&D régionale), 40 laboratoires en optique et optoélectronique, traitement d’images et signal, nouveaux matériaux et surfaces, génie logistique et systèmes, électromagnétisme et radar, robotique… On compte également 13 écoles d’ingénieurs (Ecole de l’air, Institut de Formation Aéronautique IFAERO équipé d’un simulateur de vol) et 16 IUT.

13 écoles d’ingénieurs

Le 4ème pôle aéronautique de France

Le territoire est fort de plusieurs aéroports de rayonnement international (Nice et Marseille), renforcés par de nombreux pôles de compétitivité soutenus par la Région, tels que le pôle SAFE (450 membres), le pôle MER Méditerranée (410 membres), OPTITEC (200 membres) et Solutions Communicantes Sécurisées (SCS) qui contribuent, entre autres, à la structuration de la filière ; la région Sud représente aujourd’hui le 4ème pôle aéronautique de France.

R.P

Gouvernement – La pression s’accentue sur Elisabeth Borne

© WKMC

« Borne 1 », puis « Borne 2 » : les Français vont mettre un peu de temps à intégrer les ministres d’un gouvernement remanié aussitôt après sa composition (certes tardive). Ce mercredi 6 juillet, la Première ministre doit prononcer un premier discours officiel présentant sa « feuille de route », à 15 heures devant les députés, puis à 21 heures devant les sénateurs.

Elle ne se soumettra pas à un vote de confiance – contrairement à beaucoup de ses prédécesseurs, faute de majorité absolue. Elisabeth Borne voit s’accentuer la pression des politiques qui attendent un « programme clair ». Le sujet du pouvoir d’achat est un dossier particulièrement attendu. Le retour d’une « vague de covid » pèse également sur les prochaines décisions du gouvernement.

Elisabeth Borne sera reçue par TF1 ce soir pour sa première interview télévisée en tant que Première ministre.

MercatOM – Le point sur la conférence de presse de Longoria

© OM / DR

Le président a présenté le nouvel entraîneur Igor Tudor, ce mardi 5 juillet. L’occasion pour l’Espagnol de dresser un état des lieux du mercato. 

Présent en conférence de presse pour la présentation d’Igor Tudor, Pablo Longoria a pu donner quelques précisions sur le mercato. Le président a notamment expliqué que la situation d’Alvaro Gonzalez, actuellement en Espagne, n’allait pas bouger avec l’arrivée du nouveau coach croate. La rupture est donc bien consommée entre les deux parties. 

Concernant la succession de Boubacar Kamara, Longoria a confirmé que le profil recherché avait changé : « Il y a des changements dans la recherche de profils. Avec Igor, les deux milieux sont différents de ce que recherchait Sampaoli. » Le besoin de combler le départ du Minot est donc beaucoup moins pressant.

L’Espagnol a également annoncé : « Il faut augmenter le niveau de l’effectif et c’est normal. Quand tu joues la C1, tu dois déjà changer entre 5 et 8 joueurs. Avec un nouveau coach, tu dois t’adapter aussi. »

Une déclaration qui montre que le chantier de cet été est colossal et que l’on peut s’attendre à des surprises dans le sens des arrivées mais aussi des départs.