dimanche 18 mai 2025
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Économie – Le grand Opening par Medinsoft, le rendez-vous numérique de la région Sud

Ce mardi 19 septembre aura lieu la 8e édition du « Grand Opening » organisée par l’association Medinsoft. Le milieu professionnel numérique évolue très rapidement, et les marchés deviennent de plus en plus exigeants. Ce qui nécessite beaucoup d’adaptation de la part des gestionnaires d’entreprise. C’est pourquoi l’association Medinsoft se veut être le cluster de la région Sud, pour aider les entreprises dans leurs innovations, leur croissance, et dans leur transformation digitale. Cet évènement est l’occasion pour tous les acteurs du monde numérique de rencontrer d’autres professionnels. En plus de cette l’occasion donnée , e Grand Opening promet d’être une soirée mémorable puisque l’association Medinsoft y fêtera ses 20 ans d’existence.

Rendez-vous est donné à 19h00, à la gare maritime de la major pour le « Grand Opening ».

La rédaction

L’édito de Jean-Baptiste Jaussaud – Monsieur le maire, « tu me fends le cœur »!

« Le Château de ma mère », aussi connu des Marseillais sous le nom de château de La Buzine, lieu témoin de la vie et de l’œuvre de Marcel Pagnol, lieu symbole de la culture provençale, mais aussi lieu de culture moderne, d’exposition, cinéma, ne sera plus ce qu’il est aujourd’hui !
La nouvelle mairie printemps marseillais a d’abord voulu y installer un collectif moins représentatif de notre histoire locale et plus représentatif de son électorat, puis a finalement repris sa gestion en direct, l’arrachant au petit-fils de Marcel, Nicolas Pagnol.

La culture doit passer avant la politique

Première raison de s’indigner dans cette triste affaire, la politique et ses raisons bassement utilitaristes prennent ici le pas sur notre culture, nous sacrifient ici Pagnol, le grand Marcel, le premier grand nom de la littérature française issu de la culture populaire, de notre culture vernaculaire locale, l’académicien qui a notre accent, le cinéaste de talent qui a inspiré tant de Provençaux et d’amoureux de la Provence.

Loin d’une concorde autour de ce qui est constitutif de notre identité, cette affaire vient créer la discorde sur des sujets réputés consensuels. Nous, Marseillais, avions pour fierté que le château de la Buzine présente des souvenirs du parcours de l’enfant du pays ayant réussi, de bobines originales de ses films à son costume d’académicien, ce patrimoine exposé à Marseille était une fierté pour tous et l’association, qui gérait cet espace, était ouverte à tous les publics du plus jeune âge au bel âge. Bref sur les résultats culturels, un lieu qui prêtait peu ou pas le flanc à la critique.

bref, la chanson de la Buzine sonnait aux oreilles de monsieur Payan comme du Sardou aux oreilles de Juliette Armanet.

Si l’on apprécie tout cela au regard de la culture, une réussite, mais monsieur Payan nous a habitués à lire entre les lignes, à ne pas regarder la tête de liste d’une élection pour savoir qui sera maire, à ne pas regarder le programme d’une liste pour apprécier comme elle gouvernera et apparemment il faudra désormais s’habituer à ne pas regarder le bilan culturel d’un lieu de culture mais son bilan politique ! Car oui le problème est bien là, La Buzine était un lieu trop de « droite » pour notre édile, dirigé par une ancienne élue « de droite », ouvert à des amis de Pagnol qui ne sont pas amis du printemps marseillais, bref la chanson de la Buzine sonnait aux oreilles de monsieur Payan comme du Sardou aux oreilles de Juliette Armanet.

« Château de ma mère » ou « château de mon maire »

Alors se sont créés dès le début de cette affaire deux camps, celui des défenseurs du « Château de ma mère », celui décrit sous la plume de Marcel Pagnol, celui qui prend le parti de ses héritiers, familiaux comme Nicolas ou spirituels.

Face à eux, les défenseurs du « Château de mon maire », au service d’un politicien qui se dit qu’il est plus facile de récupérer la gloire des autres que de créer la sienne. Le camp de ceux qui ont choisi de réécrire et réinterpréter l’histoire, allant jusqu’à contester que ce soit bien le château décrit par Pagnol. Ceux qui préfèrent l’histoire de Pagnol écrite dans leur Pravda que celle écrite dans l’histoire de la littérature française

En récupérant la gestion, le camp du « Château de mon maire » s’absout du cahier des charges permettant d’attribuer la délégation de service public et se débarrasse d’autant de critères objectifs garantissant que ce lieu reste un lieu de culture, où l’on peut partager et s’approprier notre histoire locale.

Monsieur le maire, certains de vos choix hypothèquent notre futur, certains rendent plus difficile notre présent, mais de grâce laissez notre histoire en paix !

Pour ma part mon choix est fait, je défends le « Château de ma mère », celui de notre héritage, ce qui fait que la littérature et l’histoire culturelle sont à tous. Je défends l’attribution de ce lieu en délégation de service public à l’équipe qui propose depuis des années un projet et un programme attractif et fidèle aux valeurs du lieu. Sans surprise je m’oppose au copinage en politique, aux bras de fer symboliques, aux combats politiques dont il ne peut sortir qu’un perdant : les Marseillais!

J’appartiens à ce peuple marseillais, qui perd un lieu de culture, qui perd les collections privées de la famille Pagnol jusqu’ici exposées à Marseille, qui perd un peu de son histoire et donc irrémédiablement un peu de son avenir.

Monsieur le maire, certains de vos choix hypothèquent notre futur, certains rendent plus difficile notre présent, mais de grâce laissez notre histoire en paix !

Laissez en paix le château de « ma mère », car pour l’instant tout cela n’est pas à la gloire de « mon maire ».

Jean-Baptiste Jaussaud

Economiste et entrepreneur, administrateur du Méridional

© DR

International : Une semaine après les inondations en Libye, quel bilan ?

Dimanche dernier, la tempête Daniel s’est abattue sur la Libye, provocant des pluies torrentielles d’abord sur la métropole Benghazi, puis en se déplaçant, la tempête s’est transformée en « médicane » au-dessus de la ville de Derna produisant des chutes d’eau encore plus importantes. Celle-ci a fait céder deux barrages se trouvant sur « l’Oued-Derna », le fleuve qui travers la ville de Derna, emportant des ponts et des quartiers entiers de la ville.

Pour le moment le bilan humain est incertain, le gouvernement libyen annonce 3 166 morts. Dans le même temps, L’ONU fait état de 11 300 morts, un chiffre démenti par le croissant-rouge. L’Organisation Mondiale de la Santé a pondéré les deux positions en affirmant qu’à ce jour 3 895 corps ont été retrouvés et identifiés, et l’on peut dénombrer 9 000 personnes portées disparues.

Malgré que le drame survienne quelques jours après le tremblement de terre qui a eu lieu au Maroc, l’aide internationale s’est déjà mise en place. L’OMS a annoncé l’arrivée de 29 tonnes d’aides médicales, et de nombreux pays ont proposé leur aide à la nation libyenne.

La rédaction

Basket (Pro B). Steeve Ho You Fat : « À Fos-sur-Mer, je ne vois que des joueurs de cœur »

L’effectif de Rémi Giuitta n’est pas encore au complet, mais les forces en présence de son groupe pour 2023-2024 sont déjà bien établies. Aux côtés de Chris Evans ou de la paire arrière Diggs-Smith, on trouve notamment l’intérieur Steeve Ho You Fat. Rompu aux joutes de la Pro B au cours de sa carrière débutée à Antibes en 2009 (il a d’ailleurs joué son premier match en professionnel à Fos-sur-Mer), Steeve Ho You Fat a ensuite évolué en première division à partir de 2019, deux ans à Roanne puis deux saisons à Boulogne-Levallois, où il a notamment côtoyé la pépite du basket français, Victor Wembanyama. À l’occasion de la cérémonie de présentation de l’équipe version 2023-2024, l’intérieur guyanais s’est exprimé sur ce nouveau défi au sein d’une formation fosséenne qui va viser la remontée, et où il évoluera en tant que cadre expérimenté.

Le Méridional : la présaison est à présent terminée. Quel bilan tirez-vous de celle-ci et de vos premiers pas sous vos nouvelles couleurs ?

Steeve Ho You Fat – Je suis très content d’être là déjà. Ça fait vraiment plaisir qu’on m’ait proposé ce projet là. J’arrive à une étape particulière donc je suis content d’avoir ce projet là et cette continuité. Et puis de retrouver des joueurs et un coach que j’ai souvent affrontés dans ma carrière. Au niveau du terrain, c’est encore le début. La pré-saison s’est bien passée. Il y a eu de petits pépins physiques, on n’est pas encore au complet, donc on a dû faire avec l’absence de certains joueurs. Mais dans l’ensemble, ça s’est bien passé. Le groupe a tout de suite pris, il y a une belle alchimie, et avec le coach ça se passe bien. Il faut juste que chacun digère les saisons passées ou la saison passée, parce que pour la plupart des joueurs, on sort de grosses saisons qui ont duré longtemps. Donc maintenant il faut passer à autre chose et avancer vers les objectifs actuels. On arrive au premier match officiel avec la réception du HTV en Coupe de France ce mardi qui va vraiment lancer notre saison. J’ai hâte d’enchaîner les matchs et de rencontrer le public.

Le Méridional : Pourquoi avoir choisi Fos-sur-Mer ? Qu’est-ce qui a fait pencher la balance ?

Steeve Ho You Fat – C’est un club vraiment particulier pour moi parce que beaucoup d’aînés, des joueurs que je respecte, des vétérans qui m’ont formé ou ont un peu guidé ma carrière, sont passés ici. Que ce soit Luca Vébobe, Mamadou Dia, Sacha Giffa, on peut vraiment citer beaucoup de noms, même de joueurs américains. La liste est longue. Je n’avais jamais imaginé jouer ici, car il y a souvent eu des joueurs que je respectais donc je ne pensais pas qu’un jour on m’appellerait. Et puis on m’a appelé, et ça a été vraiment un plaisir avec le coach, avec Mam qui m’a appelé aussi, c’était vraiment sympa. Rémi m’a présenté le projet de remonter, on sait que c’est une saison un peu particulière qui va arriver parce qu’il n’y a qu’une seule remontée. Donc ça me fait plaisir d’avoir ce défi à relever. Je vais me battre pour le club, pour bien finir mais aussi assurer le passage de témoin avec mon expérience auprès des jeunes joueurs qui vont prendre la relève. Pouvoir guider les nouveaux qui arrivent et en même temps apporter mon expérience récoltée tout au long de ma carrière et notamment ces deux dernières années à Boulogne-Levallois avec Vincent Collet. Je vais mettre tout ça au service de l’équipe.

Le Méridional : Le contexte est assez particulier puisque 95% de l’effectif a été renouvelé. C’est aussi un gros challenge à relever ?

Steeve Ho You Fat – Tout est plus difficile quand on repart de zéro c’est sûr. C’est pour ça que la préparation est importante. Les nouveaux joueurs doivent vite se remettre dans le contexte, découvrir le club, l’environnement et ensuite le terrain. C’est sûr que tout est nouveau. Nos entraînements servent aussi à ça. On a été un peu perdu au début mais on sait faire, on est professionnel. Je n’ai aucune inquiétude à ce niveau-là. Il va peut-être falloir être un peu tolérant avec nous au début parce que c’est très particulier comme contexte. Mais à Fos-sur-Mer, je ne vois que des joueurs de cœur. On va montrer les valeurs qu’on sait véhiculer et je pense qu’on fera plaisir au public.

Le Méridional : Même s’il est encore très tôt, avez-vous déjà discuté des objectifs de la saison ?

Steeve Ho You Fat Il est évident qu’on vise les playoffs. Maintenant ce sera un long travail parce qu’on est sur un processus de reconstruction. On a une équipe qui se construit encore. On va non seulement devoir rapidement trouver notre identité sur le terrain mais aussi finaliser le recrutement. Mais je fais confiance à Rémi, que je connais depuis des années et j’ai déjà vu faire plusieurs fois, donc je sais qu’il est plus que compétent à ce niveau là. Le premier objectif sera d’atteindre les playoffs peu importe la façon, parce qu’il y aura aussi la leaders Cup et le championnat. L’objectif ultime est de remonter. C’est notre but, on joue pour ça et pour prendre du plaisir aussi par-dessus tout.

Romain Davesne

OM-Toulouse : On perd 2 points et on n’est pas encore au point!

L’OM recevait au Vélodrome le surprenant vainqueur de la coupe de France de l’an dernier. Une équipe toulousaine remaniée mais qui peut ressembler à un match piège. Un match pour rappeler que le Vélodrome n’est pas définitivement un stade de rugby et que Toulouse n’est pas qu’une ville de ballon ovale.

A noter aussi le soutien affiché par les supporters à Marcel Pagnol et son héritage au moment où la ville chasse sa descendance du « château de ma mère »

Crédit photo Sylvain S.

Le rythme manque et les buts aussi

Le match débutait avec les intentions olympiennes affirmées et une action du virevoltant ailier camerounais, François Mughe. Le milieu de terrain allemand du Téfécé, Niklas Schmidt recevait un carton jaune pour son engagement trop visible dès la 4eme minute. Le vice champion du monde Veretout ratait un coup franc quelques minutes après. Le match s’enlisait et les intentions des olympiens avaient besoin d’être concrétisées.

Joachim Correa montrait un visage plus fringant que lors de sa première.

Les marseillais se heurtaient à un bloc toulousain bien en place et devaient exploiter les prises de risques toulousaines pour tenter de trouver la brèche.

Un peu avant la demi heure Valentin Rongier recevait un choc qui le laissait au sol quelques minutes, mais retrouvait ses esprits et ses partenaires.

Le match s’endormait légèrement mais le stade était réveillé par le public du stade Vélodrome qui rappelait s’il en était besoin sa ferveur, à l’heure où Philippe Pujol consacre à ses supporters extraordinaires un documentaire : Dans les yeux des miens, ce sont bien eux qui s’illustrent le plus. 

Malgré une vraie présence dans le jeu le duo Vitinha-Aubameyang ne faisait pas encore parler la poudre, malgré une belle passe du jeune portugais pour une reprise de volée spectaculaire de l’avant-centre Gabonais. Malgré la trêve internationale, les joueurs semblaient assez fatigués et le match, comme eux manquaient de rythme. Le danois Desler prenait un dernier carton jaune et après 4 minutes d’arrêt de jeux, les deux équipes rentraient aux vestiaires sur un match nul.

Beaucoup de ratés, pas de défaite mais pas de victoire…

La seconde période reprenait avec les 22 mêmes joueurs. Le Vélodrome, lui, attendait surtout de voir d’autres intentions et de voir trembler les filets de Guillaume Restes le portier toulousain, qui a également la confiance de Thierry Henry pour garder les buts de l’équipe de France espoir.

Balerdi souffrant d’une douleur à la 51eme minute laissait penser à un remplacement et une entrée en jeu de Bamo Meité, le petit nouveau, rentrait quelques minutes plus tard. Léo Balerdi rejoignait Samuel Gigot sur la triste liste des défenseurs centraux olympiens blessés. Mughe sortait également pour laisser sa place à Illimane Ndiaye qui entrait à droite, après avoir joué au centre et à gauche en ce début de saison, laissant profiter son équipe de cœur de sa belle polyvalence.

Clauss amenait du danger avec une frappe sur le poteau qui remettait la pression sur les Toulousains. Peu avant l’heure du jeu Aubameyang allait glisser et rater une reprise qui aurait pu faire mal. 

Les Toulousains laissaient entrer sur la pelouse l’international marocain Aboukhlal et le hollandais Spierings et sortaient le suisse Sierro et le norvégien Donnum à l’heure de jeu. Ces changements illustrant bien la légion étrangère toulousaine bâtie à grand renfort de statistiques par le président du TFC Comoli, avec un certain succès.

Correa baissait en régime progressivement dans ce match et prenait un carton jaune à la 64eme minute. L’international argentin peine encore à montrer son niveau laissant dans la foulée sa place à Amine Harit.  Kondogbia remplaçait, quant à lui, Rongier prenant à la fois sa place sur le terrain et son brassard de capitaine. Marcelino espérait apporter une énergie nouvelle avec ce sang neuf sur la pelouse.

Un OM plus offensif montrait enfin quelque chose avec une belle passe de Ndiaye pour Harit qui tirait malheureusement au-dessus.

Les Toulousains procédaient à la 72eme minute à un double changement, le défenseur chilien Suazo remplaçant Diarra et le milieu burkinabé Bangré remplaçant Genreau.

Un carton pour le toulousain Franck Magri pour une vilaine faute sur Vitinha à la 77eme minute.

Clauss touchait la transversale quelques minutes plus tard à la 79eme et Restes, le gardien toulousain, prenait un carton jaune pour gain de temps excessif sur son dégagement.

Sur l’action suivante, c’est Marcelino qui se faisait reprendre par le corps arbitral pour geste d’humeur sur le banc et serrait dans la foulée la main de l’arbitre retrouvant instantanément son calme et son image d’entraîneur Fair play.

A la 84eme Warren Kamanzi remplace Franck Magri.

Les Olympiens se feront quelques frayeurs sur deux contres toulousains qui, heureusement, feront plus de mal aux gabians qu’au gardien marseillais.

A quelques minutes de la fin, Nicolaisen se couche, Aboukhlal attaque et l’arbitre laisse jouer, les Marseillais prendront un contre avantageux mais là ! L’arbitre arrête le jeu pour Nicolaisen…une situation rageante parce qu’on est mauvais et pas aidés !

Carton jaune pour Harit à la 89eme pendant une attaque défense en faveur de l’OM où l’attaque olympienne manque de coordination et multiplie les ratés.

8 minutes d’arrêts de jeu pour un éclair de génie au milieu des ratés…Un carton jaune pour Bangré à la 95eme minute mettait en lumière l’emballement soudain d’un match qui avait été si longtemps ennuyeux.

Cela ne suffira pas, un match nul qui vient sanctionner un match décevant.

Le stade aura du mal à vibrer si ce genre de spectacle se multiplie. En attendant, le prochain événement qui fera vibrer le Vélodrome ne sera ni notre cher OM, ni le monde de l’ovalie mais la visite du Pape « à Marseille et pas en France » dans le cadre des rencontres méditerranéennes. Quand on vous dit que ce stade est mystique…

Pierre BOYER

Sorties et loisirs – 10 films à voir sur les plateformes de streaming

Chaque dimanche, Le Méridional vous présente les meilleures nouveautés sur les plateformes de streaming.

Tapie :

🎞️ Date de sortie sur Netflix : 13 septembre 2023

🕙 Durée : Série

🎭 Genre : Drame

😎 Distribution : Laurent Lafitte, Joséphine Japy, Patrick d’Assumçao

🧾 Synopsis : Un homme ordinaire à l’ambition sans bornes devient l’une des personnalités publiques les plus controversées de France, dans ce biopic fictionnel sur Bernard Tapie.

🍿 Où voir ce film : Netflix

What If ? :

🎞️ Date de sortie sur Netflix : 07 septembre 2023

🕙 Durée : 1h 52min

💖 Genre : Romantique

😎 Distribution : Alessandra de Rossi, JM de Guzman, Chard Ocampo

🧾 Synopsis : Retenus sur l’île de leur lune de miel à cause d’une tempête, deux jeunes musiciens sont obligés d’affronter de pénibles vérités qui pourraient bien menacer leur couple.

🍿 Où voir ce film : Netflix

Depuis la prison : La version de Rosa :

🎞️ Date de sortie sur Netflix : 08 septembre 2023

🕙 Durée : 1h 20min

📽️ Genre : Documentaires

😎 Distribution : Rosa Peral

🧾 Synopsis : Dans ce documentaire criminel, découvrez la première interview de Rosa Peral depuis son incarcération pour le meurtre de son conjoint avec la complicité de son ancien amant.

🍿 Où voir ce film : Netflix

Freestyle :

🎞️ Date de sortie : 13 septembre 2023

🕙 Durée : 1h 28min

💥 Genre : Action, Policier

😎 Distribution : Maciej Musialowski, Michal Sikorski, Nel Kaczmarek

🧾 Synopsis : Une star montante du rap au passé criminel doit trouver de l’argent pour payer ses heures de studio. Le chanteur se lance alors dans un deal risqué qui pourrait lui faire tout perdre.

🍿 Où voir ce film : Netflix

Nos soirées gâteau-bar :

🎞️ Date de sortie sur Prime Video: 8 septembre 2023

🕙 Durée : Série

🤣 Genre : Comédie, Romantique

😎 Distribution : Yara Shahidi, Odessa A’zion, Bette Midler

🧾 Synopsis : Une jeune femme malchanceuse en amour prépare un gâteau d’anniversaire pour une de ses amies. Elle réalise que cette pâtisserie agit comme un aimant auprès de la gent masculine. Son amie la convainc donc de préparer des gâteaux et de les apporter dans les bars pendant un an, dans le but de trouver le grand amour.

🍿 Où voir ce film : Prime Video

Plus tard, j’attendrai les étoiles :

🎞️ Date de sortie sur Prime Video : 15 septembre 2023

🕙 Durée : 2h 01min

Genre : Biopic, Drame, Science fiction

😎 Distribution : Michael Peña, Rosa Salazar, Garret Dillahunt

🧾 Synopsis : Jose M. Hernandez est né au Mexique. Lui et sa famille travaillaient dans les champs et déménageaient souvent. Il a commencé à apprendre l’anglais qu’à l’âge de 12 ans. Malgré ce départ dans la vie, il a co-développé le premier système d’imagerie numérique de mammographie pour détecter le cancer du sein à un stade précoce et a persévéré – malgré de nombreux refus – pour devenir membre d’équipage de la mission STS-128 de la navette spatiale.

🍿 Où voir ce film : Prime Video

66.5 :

🎞️ Date de sortie sur Canal+ : 18 septembre 2023

🕙 Durée : Série

💥 Genre : Action, Policier

😎 Distribution : Alice Isaaz, Raphael Acloque, Nailia Harzoune

🧾 Synopsis : Jeune avocate d’affaires dans un prestigieux cabinet parisien, Roxane voit sa vie bouleversée quand son mari, associé du cabinet, est accusé de viol. Ramenée malgré elle dans la cité de son enfance, elle va tenter de se reconstruire en tant qu’avocate pénaliste au tribunal de Bobigny.

🍿 Où voir ce film : Canal+

Mayans M.C. :

🎞️ Date de sortie sur Canal+ : 20 septembre 2023

🕙 Durée : Série

💥 Genre : Série d’action, Policier, Gangster

😎 Distribution : J. D. Pardo, Clayton Cardenas, Danny Pino.

🧾 Synopsis : Le parcours initiatique d’Ezekiel Reyes, dit EZ, un jeune bandido tout juste sorti de prison et jeune recrue au sein du Mayans Motorcycle Club. Rongé par son désir de vengeance contre les cartels, EZ s’engouffre rapidement dans un monde de violence.

🍿 Où voir ce film : Canal+

Le monde selon mon père :

🎞️ Date de sortie sur Arte : 13 septembre 2023

🕙 Durée : 1h 55min

🎭 Genre : Drame

😎 Distribution : Margarita Broich, Felizia Trube, Stella Holzapfel

🧾 Synopsis : Marie, 50 ans, réalisatrice, reçoit un jour chez elle une malle contenant de nombreux albums et films consacrés à sa famille. Son père, aujourd’hui malade, travaillait dans les années 1950-1960 comme photographe industriel à Cologne, et passait son temps de loisirs à documenter sa vie domestique. Ébranlée par ces images, Marie replonge dans les années qui ont suivi la mort de sa mère, marquées par le sceau d’un patriarcat ordinaire.

🍿 Où voir ce film : arte.tv

Kidnapping :

🎞️ Date de sortie sur Arte : 14 septembre 2023

🕙 Durée : Série

😱 Genre : Thriller

😎 Distribution : Anders W. Berthelsen, Zofia Wichlacz, Nicolas Bro

🧾 Synopsis : Rolf Larsen est un ancien enquêteur de la police de Copenhague dont la vie a basculé lors de la disparition de sa fille. 5 ans après, la révélation d’une erreur dans le fichier ADN de la police danoise fait brusquement émerger une nouvelle piste : sa fille pourrait encore être en vie…

🍿 Où voir ce film : arte.tv

Économie – La taxe foncière gomme petit à petit la suppression de la taxe d’habitation

Le gouvernement avait supprimé le 1er janvier 2023 la taxe d’habitation pour les résidences principales, mais cette apparente hausse du pouvoir d’achat est entrain progressivement rattrapé par les taxes foncières locales.

Dans les 191 plus grandes villes de plus de 40 000 habitants, la taxe foncière ne fait qu’augmenter. Paris enregistre une hausse de 59% d’augmentation, +42% à Meudon, 35% à Grenoble, +25% à Bobigny, +25,60% à Troyes. Cette augmentation est en grande partie du à l’État qui a réévalué à la hausse les bases cadastrales qui sont déterminantes dans le calcul de cette taxe, en effet elle est la représentation du niveau annuel théorique qu’une propriété pourrait avoir si elle était louée, et elle est indexée sur l’inflation. Cette année la revalorisation est de 7,1%.

Certains contribuables comme à Marseille se sont réunis pour déposer des recours contre cette hausse au tribunal administratif. Cette hausse de la taxe foncière aura un effet négatif sur le marché locatif. Il est très probable que cette hausse pousse les propriétaires à augmenter les loyers de leur bien immobiliers.

La rédaction

Politique – Pagnol quitte le château de la Buzine : qui est le coupable ?

Nicolas Pagnol, petit fils de Marcel Pagnol se retire du château de la Buzine, emportant avec lui l’héritage de son grand-père.

Nicolas Pagnol, le petit-fils du légendaire Marcel Pagnol, a annoncé ce jeudi 14 septembre lors d’une conférence de presse, sa décision de quitter le château de la Buzine, celui du très célèbre roman Le château de ma mère, servant jusqu’à aujourd’hui de musée sur la vie du romancier. L’ayant droit emporte avec lui tous les souvenirs de l’auteur et cinéaste provençal. Il interdit également toute utilisation du nom ou de l’œuvre de Marcel Pagnol par la ville. Une grande perte pour la ville de Marseille et son territoire.

Mais comment sommes-nous arrivés à cette situation ? Tout commence lorsque la mairie de Marseille décide de reprendre la main sur la gestion du château, évinçant ainsi Nicolas Pagnol, car selon elle, la visite du château n’était pas assez accessible aux Marseillais. Après 12 ans de gestion saine par l’association du petit-fils de l’écrivain, le château revient en régie municipale, décision actée ce matin en conseil municipal. Par peur que le personnel qui travaille actuellement au château soit licencié, Nicolas Pagnol n’a pas voulu contester cette passation.

Des poursuites pour injures et diffamation

En revanche, n’allant pas vers un apaisement entre les deux parties, des propos du maire de Marseille, Benoît Payan, ont également jeté de l’huile sur le feu, conduisant à une rupture totale entre la famille Pagnol et la mairie socialiste. Cela a poussé Nicolas Pagnol à porter plainte contre le maire Benoî²t Payan et cinq de ses adjoints (Jean-Marc Coppola, Jean-Pierre Cochet, Pierre huguet, Sophie Roques, Théo Challande Névoret) pour diffamation et injures.

Du côté de la mairie, Benoît Payan a rappelé ce matin, durant le conseil municipal que : « Nicolas Pagnol a le droit de penser que je suis un mauvais maire, c’est son droit. Pour autant, doit-il priver les Marseillais de l’œuvre de son grand-père ?« .


Politique – La région sud s’engage pour la préservation du patrimoine religieux

La région Sud, en réponse à l’appel du Président de la République, a annoncé un financement de 2,7 millions d’euros pour la rénovation du patrimoine religieux en 2024. Une initiative qui vise à préserver et valoriser les trésors historiques de la région.

Un engagement fort pour le patrimoine religieux

La Provence est une terre riche en histoire et en patrimoines. Ces monuments, souvent centenaires, nécessitent des travaux de rénovation pour continuer à briller de mille feux et à accueillir fidèles et visiteurs. C’est dans cette optique que la région Sud a décidé de répondre à l’appel du Président de la République en allouant une somme conséquente pour la rénovation du patrimoine religieux.

Ce financement, qui s’élève à 2,7 millions d’euros pour l’année 2024, sera réparti entre différents projets de rénovation à travers la région. Parmi eux, la restauration du mur du vieux cimetière et du clocher de l’église Saint Roch à Saint-Julien-du-Verdon, ou encore les travaux de mise en sécurité de l’abbaye de Clausonne à Saix. Ces projets, parmi tant d’autres, témoignent de la volonté de la région de préserver son riche patrimoine religieux.

La rédaction

OM – TFC : Sur quelle chaîne et à quelle heure ?

Ce samedi 17 septembre 2023, l’Olympique de Marseille recevra au Vélodrome le Toulouse football club pour le compte de la cinquième journée de Ligue 1.

Infos pratiques

Coup d’envoi du match à 17h05

Rencontre à suivre sur Canal+Foot

ou à écouter sur France bleu Provence : fréquence 103.6