lundi 21 avril 2025
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Angers vs OM : les commentaires sur Le Méridional

Retrouvez les commentaires en direct sur YouTube et Twitch

Nuit européenne des chercheurs : à Aix, des rencontres originales et des regards différents

© Nuit européenne des chercheurs

Pour la sixième fois, l’Université d’Aix-Marseille participe à la Nuit européenne des Chercheurs, le vendredi 24 septembre à partir de 18 heures. L’événement, qui a lieu dans plus de 300 villes à travers toute l’Europe, vise à faire se rencontrer, le temps d’une longue soirée, le public et le monde des « chercheurs », grâce à des formats originaux et détendus.

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Les années précédentes, la Nuit européennes des chercheurs avait lieu à Marseille. Elle se passe à Aix pour la première fois. Dans tous les cas, il était cohérent de l’organiser sur ce territoire, puisqu’AMU est l’une des plus grosses universités françaises. Et aussi parce que dans des villes comme Paris, les universités sont davantage « éclatées ». Cela a donc un sens particulier pour les chercheurs d’AMU de participer à un tel événement.

AMU s’organise avec une douzaine d’autres villes pour concevoir des programmes à partir du monde de la recherche. Mais qu’est-ce que c’est qu’un chercheur, au juste ? C’est une question à la fois simple et un peu abstraite. Hannah Robin est chargée de médiation scientifique et l’une des organisatrices de la Nuit européenne des Chercheurs. Pour elle, « un chercheur est une personne qui pose des questions, fait des expériences, tout cela au sein d’une équipe qui elle-même est rattachée à une institution. On peut être chercheur et ingénieur, chercheur et technicien, chercheur et étudiant… »

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Précision importante : « On peut être chercheur dans toutes les disciplines. » Cette réalité se reflète d’ailleurs dans le programme de l’événement : chercheurs littéraires, scientifiques, historiens, physiciens… ce qui n’exclut pas les regards croisés entre les disciplines.

Plus d’une centaine de chercheurs d’AMU, tout de même, se mobilisent pour cette soirée spéciale (avec l’association des partenaires de recherche, comme le CNRS etc.) Loin des clichés du chercheur enfermé dans sa « tour d’ivoire », comme le souligne Hannah Robin avec un sourire, cette soirée propose toutes sortes d’activités (voir plan et programme ci-dessous).

© Nuit européenne des chercheurs

C’est aussi parce que l’événement est organisé de nuit que le regard peut changer, sur les lieux comme sur les disciplines ! Le Musée des Tapisseries, par exemple, sera ouvert toute la soirée : des scientifiques s’inspireront des œuvres de Macha Makeïeff dans Trouble fête, collections curieuses et choses inquiètes et de celles d’Isabelle RocheMars dans Microscopiques reliques, pour parler de leurs recherches sous un angle inédit.

Bref, la Nuit européenne des chercheurs est une belle occasion de côtoyer le monde de la recherche sous différents aspects, et de rencontrer des chercheurs… en chair et en os !

Jeanne RIVIERE

L’événement est gratuit et ouvert à tous (passe sanitaire demandé). Même si le public attendu est de « plus de 12 ans », il n’y a pas cette année de programme spécifiquement consacré aux enfants. Pour toute autre information, consulter le site de l’événement.

Vaucluse : 2ème réunion publique autour des sols agricoles et forestiers

© Pxb

Le 23 septembre à Mazan (84) aura lieu un nouveau point d’étape de la concertation citoyenne organisée par la SAFER PACA (Société d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural) avant le lancement de la seconde tournée en région « Parlons de la terre, parlons de nous ! » dans le Vaucluse.

La SAFER assure aujourd’hui quatre grandes missions de service public :

  • Assurer la transparence du marché foncier rural
  • Contribuer à la protection des espaces agricoles, naturels et forestiers
  • Contribuer au développement d’une agriculture dynamique et durable
  • Préserver les ressources naturelles et les paysages

L’objectif annoncé de la démarche est d’identifier et de partager les attentes des citoyens en matière d’utilisation des sols agricoles et forestiers, afin d’alimenter la SAFER PACA dans l’élaboration de ses futures orientations stratégiques. Entre juin et juillet 2021, six réunions publiques ont permis d’échanger sur les problématiques spécifiques des territoires, plus de 50 000 personnes – représentants d’organismes professionnels et d’associations, élus, agriculteurs, citoyens – ont été sensibilisées au débat et 172 contributions actives sont d’ores et déjà enregistrées.

À mi-parcours de la concertation citoyenne « Parlons de la terre, parlons de nous » organisée par la SAFER en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, les premières réunions publiques livrent les premières réflexions et des pistes d’orientations sur la manière de favoriser l’accès au foncier au plus grand nombre pour répondre aux attentes des agriculteurs.

L’élaboration du futur Programme Pluriannuel d’Activité (PPAS) de la SAFER Provence-Alpes-Côte d’Azur pour les six années à venir s’appuiera, après validation du Conseil d’Administration, sur ces contributions citoyennes, afin de définir une stratégie optimale d’observation et de régulation du marché foncier des espaces ruraux. Deux autres points d’étapes auront lieu : le 30 septembre à Brignoles (83) et le 4 octobre à Digne (04).

Mazan, 23 septembre 2021, 18h, salle de La Boiserie, 150 Chemin de Modène.

Ces entreprises qui misent sur Marseille, « ville phare de la prochaine décennie »

© yohanbrandt / Upe 13

La crise du Covid a entraîné un véritable choc économique et révélé les urgences de repenser l’avenir à court et long terme. Nicolas Mérindol, fondateur du groupe Carmin Finance, était présent lors de la 21ème édition du forum des Entrepreneurs, organisé par l’Upe 13 (Union pour les entreprises) à Marseille. Pour lui comme pour beaucoup d’autres entrepreneurs, Marseille est une ville pleine de promesses et d’occasions.

Le Méridional : Nicolas Mérindol, en quoi était-ce important pour le groupe Carmin Finance d’être partenaire financier du 21ème forum des Entrepreneurs ?

Nicolas Mérindol : Pour le groupe Carmin Finance, être partenaire du 21ème Forum des entrepreneurs à Marseille s’est imposé comme une évidence. Cela signifiait à la fois confirmer notre volonté de nous développer sur ce territoire auquel je suis si attaché, marquer notre volonté de participer à son rayonnement en soutenant un événement important, et enfin montrer notre attachement à l’entrepreneuriat !

L.M : Quel a été votre sentiment à propos du forum de cette année ?

N. M : Ce Forum avait une saveur particulière : un air de retrouvailles, avec des dirigeants qui ne s’étaient pas vus depuis longtemps, une volonté d’en découdre avec la crise et de relancer les machines, une ambiance porteuse avec la venue du président de la République et une mobilisation générale, transversale, avec tous les acteurs que sont les patrons bien sûr, mais aussi la CCI, l’Etat, les élus… tous invités par l’Upe13, au service du développement économique. Un événement vraiment mobilisateur et une réussite, donc.

L.M : Comment le monde de la finance peut-il aider à bâtir le monde de « l’après Covid » ?

N.M : La Finance doit être un outil au service de l’économie tout en étant acteur de cette économie. Elle doit être imaginative et anticipatrice. Il n’y aura pas de sortie de crise et de « résilience Covid » sans une étroite collaboration et une solidarité entre l’Economie et la Finance, dont cette dernière fait partie intégrante. La banque commerciale va être particulièrement sollicitée par la fin du « quoi qu’il en coûte », la fin de la trêve Urssaf et le remboursement des prêts garantis par l’Etat ; car oui, il faudra les rembourser…

L.M : Pourquoi miser sur Marseille ?

N.M : Je crois en Marseille comme ville phare de la prochaine décennie en Europe. Beaucoup de choses sont à faire et le potentiel est énorme. Là où il y a de la volonté il y a un chemin et cette rentrée montre que la volonté est présente ! 

Propos recueillis par Raphaëlle PAOLI

Avant-match – Angers/OM : maintenir le cap

© OM / Twitter

Une nouvelle journée de championnat est programmée ce mercredi à 21h contre le SCO d’Angers.

> A voir aussi : Angers/OM : sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match ?

Le début de la saison a été presque parfait : l’OM est deuxième de la Ligue 1 après 6 journées. Les Marseillais comptent 4 victoires et 1 nul avec un match de retard par rapport au leader.

La passe de quatre

L’équipe reste sur 3 victoires consécutives. Au-delà des résultats, c’est la manière dont le groupe construit ses succès qui est intéressante. En effet, ils sont maîtres du jeu en monopolisant le ballon à chaque rencontre ; parfois le jeu de possession peut être ennuyeux, mais pas celui des Olympiens qui, après un temps de fixation, accélèrent le jeu par des renversement. Ils utilisent le un contre un, voire le jeu direct, pour surprendre leur adversaire.

Cette variété dans le jeu, associée à la qualité technique de la totalité du groupe, donne la possibilité de se créer un bon nombre d’occasions.

© LM

Concernant l’aspect défensif, les Olympiens restent sur 2 matchs sans avoir encaissé le moindre but et en concédant peu d’occasions. Le replacement défensif est généreux, l’intelligence et la lecture de jeu équilibrent l’ensemble.

L’OM doit malgré tout rester concentré face à des Angevins qui font un très bon début de saison, mais qui restent sur une défaite 4 buts à 1 face à Nantes. Attention au piège. A noter, l’absence de Dimitri Payet, qui est certes préjudiciable mais le coach Jorge Sampaoli peut compter sur un groupe de qualité pour pallier cette absence.

Pronostic : victoire de l’OM 2 à 1.

Fabrice HUART

Suivez le match commenté en direct sur la chaîne Twitch et la chaîne Youtube du Méridional.

Fabrice Huart est entraîneur de football depuis une vingtaine d’années. Né à Nîmes, il a suivi sa pré-formation et sa formation au club de sa ville natale : le Nîmes Olympique. Ayant exercé à différents niveaux, il est aujourd’hui entraîneur en National 3 avec le FC Côte Bleue et consultant pour le Méridional, où ses articles sur l’OM sont à lire chaque semaine. Formateur occasionnel pour la Ligue Méditerranée, il forme et certifie les diplômes des futurs entraîneurs régionaux.

Street Food Festival : du 24 au 26 septembre place de la Major

© WKMC

Du 24 au 26 septembre, le Street Food Festival s’installe place de la Major. L’événement veut mélanger cuisine de rue et culture : street art, concerts et performances artistiques… Côté cuisine, une vingtaine de stands seront sur place pour faire goûter leurs spécialités : cuisine méditerranéenne et cuisine du monde.

Vendredi 24 septembre : Soirée d’ouverture

18h – 20h : Live Painting Street Art par Ayne
18h – 21h : DJ sets de Magi.K et Eve Dahan
21h – 23h : Scène musicale avec DJ Jack de Marseille

Samedi 25 septembre

14h – 17h : initiation au street art
18h – 21h : Humantronic et Raphael Palacci
A partir de 21h30 : Performance Street Art 2.0 avec Philippe Echaroux
21h – 23h : Dj set de Yuksek

Dimanche 26 septembre

11h – 16h : Big Buddha
14h – 17h : Initiation au street art

La programmation détaillée et la liste des stands présents sont à retrouver sur le site de l’événement.

Esport : l’excellence marseillaise s’exporte au Qatar

De gauche à droite : Pierre Distinguin de Pulp (accélérateur de sport), Kamel Badawy, Mohammed Mubarak AlKuwari et Romain Sombret © Le Méridional

C’était au sommet de la tour La Marseillaise que le club MCES (Mon Club ESport) et la fondation qatarienne Aspire Zone présentaient leur partenariat ce lundi 20 septembre devant un petit nombre de journalistes. De part et d’autre, une satisfaction palpable : pour l’immense complexe sportif de Doha, il s’agit d’installer une académie esport d’excellence dans ses locaux. Pour MCES, ce partenariat marque une avancée significative dans son objectif majeur : l’internationalisation.

10 fois Clairefontaine

Il y a de quoi ouvrir de grands yeux devant un tel complexe sportif, et pour cause : Aspire Zone ne fait pas les choses à moitié. Egalement connu comme le « Doha Sports City », il réunit sur plus de 250 hectares (soit plus de 10 fois notre centre de préformation de Clairefontaine) une multitude de structures sportives, mais inclut aussi des centres médicaux et des centres de recherche : une « planète Sport » où tout est conçu pour pousser à l’excellence.

L’ouverture au esport revêtait, au sein de ce complexe, un sens évident : aujourd’hui, la pratique du esport (ou sport électronique) s’intensifie de plus en plus, en Asie, au Moyen-Orient, aux Etats-Unis, mais aussi en Europe.

Sport/esport : un savant mélange

C’est à Marseille que s’est lancé MCES, il y a trois ans. La marque de l’académie, c’est un mélange dosé entre sport et esport, qui s’adresse aussi aux amateurs. Cours, stages encadrés par des coachs spécialisés… En quelques années seulement, le club d’origine a essaimé dans d’autres villes françaises (Bordeaux, Toulouse, Paris) et aussi à l’étranger (Italie, Maroc). Mais un tel partenariat représente une réelle réussite et une reconnaissance certaine pour MCES : « L’objectif est d’exporter le savoir-faire de nos coachs et une formation à la française », souligne Romain Sombret, président et co-fondateur de MCES. Des formateurs de MCES se rendront donc au Qatar dans un premier temps. Pourquoi pas ensuite mettre en place des échanges pour les « gameurs » dans un deuxième temps ?

Mohammed Mubarak AlKuwari et Isabelle Campagnola-Savon © Le Méridional

Un engagement pour la jeunesse

Situé à L’Epopée, son siège cotoie celui de différentes associations, également engagées auprès de la jeunesse, comme Synergie Family. Loin du schéma de l’adolescent enfermé dans sa bulle – ou sa chambre, MCES veut favoriser le mélange sport/esport. Une formule qui a plu aux dirigeants Qataris d’Aspire Zone. Mohammed Alkuwari, directeur marketing d’Aspire Zone opine : « Nous avons travaillé pour chercher le meilleur modèle et considéré que c’était le bon moment pour s’impliquer dans l’esport, pour trouver une bonne académie » ; lui qui avoue, après le match OM/Rennes au Vélodrome, n’avoir jamais vu une telle ambiance dans un stade, veut faire « mieux encore » : « Il y aura bientôt de grandes choses, des choses concrètes à montrer. » Parents, enfants, coachs : « Le but est d’encadrer et d’accompagner, pour que chacun y trouve son compte », ajoute Kamel Badawy, directeur commercial et stratégique d’Aspire Zone.

Une fierté pour la région

Le prestige de ce partenariat rejaillit sur Marseille et la région, et montre le dynamisme de ses entreprises et un accompagnement qui paye. Isabelle Campagnola-Savon, notamment conseillère régionale en charge de l’économie et présente ce lundi, rappelle sa fierté de voir se développer des entreprises nées il y a quelques années : « A la Région, nous avons des outils qui permettent aux entreprises d’être accompagnées depuis la création jusqu’à la transmission, en passant par le développement, dont l’internationalisation. » Un plan de financement réaliste et la cohésion de l’équipe ont permis d’en arriver là. « On va continuer à faire rayonner le territoire », reprend de son côté Romain Sombret.

Une entreprise qui est d’autant plus cohérente que les yeux se tournent déjà vers Marseille comme ville de sport à propos des JO 2024. Et que, pourquoi pas en 2028 ? l’esport pourrait être intégré aux Jeux olympiques. Ce qui est certain, c’est que ce partenariat représente une formidable occasion pour MCES.

Jeanne RIVIERE

Coteaux d’Aix-en-Provence : des vendanges presque terminées et une qualité au rendez-vous

© Pxb

Alors que le mois de septembre tire bientôt sur sa fin, les vendanges sont toujours en cours. Chaque année est particulière, mais la grosse question des récoltes de 2021 demeurait (et demeure encore, sur certains domaines) si l’épisode de gel du printemps dernier allait avoir des conséquences.

« Pour les vins regroupés sous notre AOP, on est plutôt content cette année », résume Françoise Pietri, directrice de l’ODG (Organisme de défense et de gestion) des vins des Coteaux d’Aix-en-Provence. Ces derniers sont parmi les plus à l’ouest des vins de Provence. « Les récoltes ont été un peu en avance par rapport à l’année dernière, une petite semaine. Pour les zones les plus précoces, on s’achemine vers une fin de la récolte autour du 25 septembre. Pour les zones tardives, comme Jouques, on part plutôt sur fin septembre, voire début octobre. » Il y a eu quelques épisodes orageux, mais le temps au beau fixe permet de mieux prévoir le calendrier à venir.

Un état sanitaire satisfaisant

Cette année, pas de mauvaise surprise concernant l’état des grappes. Une détérioration reste possible pour les grappes compactes, mais pour l’instant, l’état général reste stable.

Et le gel ?

« L’épisode de gel du printemps dernier a forcément entraîné une diminution de volume. Mais les parcelles ont été affectées de façon très hétérogène », précise Françoise Pietri. En effet, sur les 4300 ha sous l’appellation Coteaux d’Aix-en-Provence, 600 ha avaient été touchés par le gel. Mais les viticulteurs ont constaté ces derniers mois que les vignes repartaient. En tous les cas, comme le souligne notre interlocutrice, « le gel a affecté la quantité, pas la qualité. A ce stade notamment, on constate un très bon potentiel pour les vins rouges. »

Sur le terrain, mêmes échos donc : « Une belle qualité des jus et un bon rendement », témoigne une viticultrice du domaine Château La Coste. Mais comme elle, beaucoup restent encore prudents : « On ne se prononce pas avant la fin des récoltes, ce sont juste des impressions. On va dire qu’on est plutôt contents à ce stade car on ne savait pas trop à quoi s’attendre. »

Et le travail ne s’arrêtera pas avec la fin des vendanges… « C’est au viticulteur et à son savoir-faire de profiter d’une belle récolte, ce qui demande encore beaucoup d’engagement », conclut Françoise Pietri.

Jeanne RIVIERE

Brignoles – Fête de l’agriculture paysanne le 2 octobre

© Pxb

La Confédération Paysanne du Var et l’ADEAR (Association pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural) organisent une 10ème édition de la Fête de l’Agriculture Paysanne, le samedi 2 octobre à Brignoles, à partir de 10h. Le marché paysan rassemble les producteurs et les associations locales.

Le marché paysan rassemble les producteurs et les associations locales. L’événement veut à la fois proposer aux visiteurs de bons produits, les faire rencontrer les producteurs, et montrer l’importance des petites structures agricoles.

Chargeurs : la Commission européenne veut les rendre universels

© Pxb

C’est ce jeudi 23 septembre que la Commission européenne expose une proposition de loi : le Parlement et le Conseil européen examineront un texte visant à rendre universels les chargeurs d’ordinateurs, de téléphones, de tablettes etc. de façon à ce que chaque câble puisse être utilisé d’un appareil à l’autre. Les constructeurs seraient également obligés de laisser au moins un port USB-C. Ceci alors que Apple joue cavalier seul avec une technologie propre.

Cela réduirait évidemment l’impact écologique et simplifierait de la même façon la vie des consommateurs, qui passent souvent leur temps à racheter de nouveaux câbles.