Didier Deschamps va annoncer sa liste des 26 joueurs pour l’Euro ce mardi 18 mai à 20h. Les observateurs spéculent sur les noms retenus par notre sélectionneur. Un nom en particulier attire davantage l’attention que les autres : celui de Karim Benzema. Il n’a plus été sélectionné en équipe de France depuis 8 octobre 2015 et l’affaire de la « sextape », pour laquelle il a pourtant était blanchi depuis.
Karim Benzema jouit d’une mauvaise réputation auprès du grand public, elle est pourtant infondée. Toujours exemplaire en équipe de France, il avait une très bonne relation avec le sélectionneur Didier Deschamps avant la fameuse affaire. Sur les terrains, il est à l’heure actuelle le meilleur joueur français en activité. Flamboyant avec le Real Madrid, il a reçu le trophée de meilleur joueur français évoluant à l’étranger. Aujourd’hui, alors qu’il y a encore une semaine cela paraissait improbable, son retour n’a jamais été aussi proche.
Si cela se confirme ce soir, c’est une excellente nouvelle pour tous les amoureux du football. Omar Keddadouche, président de l’Asc Vivaux Sauvagère et chroniqueur sur France Bleu Provence, témoigne pour Le Méridional : « C’est une très bonne chose. Karim Benzema est reconnu par les plus grands joueurs et entraîneurs. Quand on aime le football on veut voir une équipe avec Benzema, Mbappé, Griezmann et Pogba réunis. Cette équipe ferait saliver.J’espère que cela va se confirmer. »Lorsqu’on lui pose la question de savoir si ce n’est pas dommage de ne pas l’avoir rappelé plus tôt il nous répond : « Oui et non. C’est sûr que de ne pas voir les meilleurs joueurs en équipe de France c’est frustrant, mais on a quand même été champion du monde sans lui ». Omar Keddadouche nous rappelle aussi qu’on ne gagne pas une compétition sur le papier…
En 1998, Eric Cantona et David Ginola n’étaient pas de l’aventure. L’Espagne de 2008 et 2010 a fait sans le grand Raúl González. Le Danemark de 1992 s’est passé de Michael Laudrup, l’un des meilleurs joueurs danois de tous les temps. Il faudra que l’équipe de France soit aussi bonne sur le terrain que le laisse suggérer le papier pour remporter un nouvel Euro, le premier depuis 2000.
La journée mondiale de célébration des plantes (« Fascination of plants Day ») a lieu le 18 mai. Cette journée est l’occasion d’organiser de nombreux événements en France et à l’international autour du monde végétal. Ils démontrent l’importance du lien entre les humains et les plantes.
Cette journée « spéciale plantes » a été fondée en 2012 sous l’égide de l’Organisation Européenne des Science Végétales (EPSO). Son ambition est de sensibiliser à l’importance des plantes dans notre quotidien. En raison du Covid-19, les événements organisés sont essentiellement numériques, et s’étalent sur plusieurs mois. Pour l’occasion, un site internet pour la France a été créé, regroupant de nombreux formats (vidéos, reportages, expositions, conférences, jeux etc.) En tout, pas moins de 70 contenus numériques sont disponibles. Il y en a pour tous les goûts et tous les âges.
A l’origine, la cryptomonnaie a été créée pour se passer des banques. L’idée était de fournir un moyen de paiement alternatif après la crise des subprimes de 2008. Un certain Satoshi Nakamoto (pseudonyme utilisé par le ou les créateurs du bitcoin), quelques mois après la faillite de Lehman Brothers, publie un article où il développe l’idée de créer un monde « cryptoanarchiste » qui se passerait des banques.
Dans ce monde, le bitcoin servirait de monnaie. Seulement voilà, plus la cryptomonnaie est volatile et moins elle est une réserve de valeur. Autrement dit, moins elle est une monnaie. Le bitcoin devient au fur et à mesure de son succès un actif spéculatif. Emmanuelle Andreani, journaliste de Society, l’affirme : « Une certitude : les adeptes du bitcoin ont, en réalité, bien tort de se réjouir de son succès actuel ». En effet, à chaque fois que le bitcoin passe un nouveau cap de 10 000 euros, la communauté applaudit en disant que la vieille monnaie est en train de mourir. C’est en réalité tout l’inverse qui se produit, puisque « l’ancien monde » est en train de coloniser cet univers, ce qui le rend de plus en plus ancré dans le système actuel traditionnel. La cryptomonnaie, qui se voulait à l’origine antisystème, est donc en train de se faire rattraper. L’exemple d’Elon Musk et de son investissement montre bien qu’aujourd’hui ce sont les milliardaires de la Silicon Valley, les grands fonds américains, la banque JP Morgan etc. qui investissent dans la cryptomonnaie comme dans un actif spéculatif.
Arkadiusz Milik, arrivé lors du mercato hivernal 2020, était l’un des gros coups de Pablo Longoria. Très attendu par les supporters, il a connu des débuts frustrants, notamment en raison de sa blessure. Mais maintenant la machine lancée, il va être difficile de l’arrêter.
15 matches, 9 buts, 1 passe décisive. Tout est dit pour l’attaquant polonais. En seulement 15 matches, il a été aussi décisif cette saison que Mauro Icardi, l’attaquant du PSG. En plus de cela, il se place déjà comme le troisième joueur de l’OM le plus décisif cette saison, derrière Florian Thauvin et Dimitri Payet. Sûr de ses qualités, il s’est offert son premier triplé le week-end dernier contre Angers, offrant ainsi la victoire à l’OM. Si Longoria parvient à le faire rester la saison prochaine, Marseille pourrait bien tenir là son canonnier en chef.
Quand on entend Antonin Ricard parler de l’Institut d’Administration des Entreprises, on a presque envie de retourner quelques années en arrière pour tenter cette aventure étudiante.Fondées vers le milieu du XXe siècle sur le modèle américain, les Instituts d’Administration des Entreprises (IAE) sont des établissements spécialisés dans la gestion et le management. L’IAE Aix-Marseille a été le premier créé en France. Intégrés au sein de certaines universités, leur formation d’excellence est reconnue et très observée. Antonin Ricard vient d’être élu directeur de l’IAE Aix-Marseille. Le 17 mai, il prenait officiellement ses fonctions. A cette occasion, Le Méridional a eu la chance de l’interroger sur un établissement qui fait la fierté de la région.
Le Méridional : Antonin Ricard, vous venez d’être élu directeur de l’IAE Aix-Marseille. Que représente pour vous cette nouvelle fonction ?
Antonin Ricard : Cela représente une importante responsabilité et ça ouvre le champ des possibles. C’est une importante responsabilité car la réputation de l’IAE Aix-Marseille est excellente, et qu’il faut maintenir un haut niveau d’excellence. Mais cette nouvelle fonction représente également pour moi la possibilité de développer des projets qui ont un impact sur l’enseignement de la gestion en France.
L.M : De quels types sont ces projets ?
A.R : Depuis de nombreuses années, l’IAE Aix-Marseille s’est engagé à former des futurs managers humanistes. Ce qu’on désigne en anglais sous le nom de « humanistic leadership ». Cet engagement nous permet de former des futurs managers capables d’évoluer au sein d’équipes aux profils très variés. Ils sont capables de comprendre la diversité du monde et de proposer des solutions aux entreprises adaptées à cette diversité.
Par ailleurs, depuis 2017, Anne Marie Guérin, Valérie Mathieu et moi-même avons initié en collaboration avec les alumni le projet icube qui développe l’intelligence situationnelle des étudiants.
L.M : Qu’entendez-vous par l’expression « intelligence situationnelle » ?
A.R : Le monde dans lequel nous évoluons est en mutation rapide. La question qui se pose très clairement pour nous est donc : comment former des étudiants à des postes qui n’existent pas encore ? Nous devons bien sûr continuer de leur inoculer les fondamentaux du management, mais il nous faut également voir plus loin. L’intelligence situationnelle peut être vue comme une compétence qui permet à nos étudiants de mobiliser rapidement leurs connaissances actuelles à un nouveau contexte. En d’autres termes, c’est une compétence qui permet aux étudiants de l’IAE Aix Marseille d’être employables quel que sera le contexte de demain.
L.M : Comment se positionne un IAE par rapport à une école de commerce classique ?
A.R : Le coût, d’abord, est soutenable pour tout le monde, et ce n’est pas un détail accessoire. Cela nous permet de recruter des profils avec une forte diversité. Ensuite, nous sommes une composante d’Aix Marseille Université, et c’est une réelle chance. AMU nous apporte une diversité et une ouverture incroyables en terme d’étudiants, mais également en terme de multidisciplinarité des expertises de recherche. Pour un chercheur en gestion, cette multidisciplinarité est essentielle. Appartenir à l’université se reflète dans l’engagement de l’ensemble du personnel de l’IAE qui a à cœur de suivre au plus près les étudiants.
L.M : Comment s’adapter en permanence à l’évolution du monde du travail ?
A.R : Notre modèle d’enseignement est basé sur l’intégration des entreprises au cœur des programmes et dans les cours. C’est cela qui nous permet de suivre au plus près les besoins des entreprises. Ici, le monde étudiant et le monde professionnel interagissent, que ce soit dans la vie de l’IAE, dans les formations, dans les réflexions stratégiques… Ces interactions permettent aux entreprises de connaitre nos étudiants et facilitent leur insertion. A L’IAE Aix-Marseille, nous recrutons souvent des enseignants-chercheurs qui ont déjà eu une expérience en entreprise, cette expérience permet d’avoir une approche pédagogique au plus près des besoins du monde du travail.
L.M : Quel est le rôle de l’IAE d’Aix-Marseille dans la région ?
A.R : Notre IAE s’est imposé comme un des acteurs incontournables de la formation de la région. Les étudiants de l’IAE contribuent au succès d’un grand nombre d’entreprises de la région. Un des axes de développement est de nouer des liens toujours plus étroits entre les étudiants et les entreprises, par des partenariats. Nous pouvons aller plus loin en nous insérant davantage dans l’écosystème de l’entrepreneuriat et de l’innovation. Aix-Marseille est un des plus gros viviers d’innovation français. Cependant nous sommes deuxièmes en terme de nombre d’habitants [Marseille est la deuxième ville de France], et seulement quatrièmes en terme de dynamisme entrepreneurial. Il y a donc une belle marge de progression, et l’IAE y contribuera !
L.M : Et au-delà, quelles sont les ambitions de l’IAE à l’international ?
A.R : Nous sommes accrédités EQUIS depuis 1999. Cette accréditation nous apporte une certaine reconnaissance, et nous a permis de construire de solides partenariats à l’international. Pour aller plus loin, nous visons de déployer notre modèle pédagogique au niveau international, de façon à ce que l’IAE Aix-Marseille devienne prescripteur d’une nouvelle manière d’appréhender l’enseignement de la gestion. L’an prochain, nous franchirons une nouvelle étape en testant notre modèle auprès de Kelley Business School, aux Etats-Unis.
Les bars, cafés et restaurants rouvrent à partir du 19 mai, leurs terrasses uniquement. Pour l’ouverture des salles, il faudra attendre le 9 juin. La ville de Marseille, comme cela avait déjà été fait il y a plusieurs mois, permet l’extension exceptionnelle des terrasses éphémères, dans le but d’ « accompagner le retour à la convivialité dans nos rues et faciliter le respect des règles sanitaires toujours en vigueur. »
Les professionnels peuvent bénéficier de cette mesure, en s’engageant cependant à respecter une charte qui garantit la propreté des lieux, la sécurité des clients et le respect des riverains. Pour les établissements qui ne possèdent pas naturellement de terrasse, une analyse au cas par cas est prévue.
La mesure est gratuite et pour l’instant étendue jusqu’au 30 septembre 2021. Le formulaire de déclaration d’installation est à remplir sur le site de la ville de Marseille.
Né le 25 août 1967, Xavier Niel grandit dans une famille de classe moyenne. A l’école il est également un élève moyen. Jamais le premier de la classe, jamais le dernier non plus. Xavier Niel est un autodidacte, il n’a pas de diplôme et a même fait un peu de prison avant de devenir le riche homme d’affaires qu’il est. Plongeons-nous dans le cerveau de ce génial entrepreneur à l’appétit insatiable.
Enfant discret, Xavier Niel grandit dans une famille de la classe moyenne qui ne jure que par les études. Mais, contrairement à sa sœur, Xavier Niel n’est pas un élève très brillant. L’école ne le passionne pas plus que ça. Il va en revanche trouver son bonheur dans la programmation. C’est à 15 ans que son père lui offre son premier ordinateur, avec lequel il va pouvoir apprendre à programmer. Grâce à la programmation, il va dès le lycée gagner plus que ses parents en programmant sur minitel pour des entreprises qui peinent à trouver des programmateurs. A seulement 17 ans, Xavier Niel se lance dans l’illégalité en fabriquant une contrefaçon de décodeur Canal+. Ce fait d’armes va lui valoir une convocation au commissariat dont le jeune Xavier Niel va se sortir sans la moindre sanction. Il aura même le droit de continuer de hacker comme il veut, tant qu’il fera des comptes rendus réguliers aux services de renseignements français. Fort de cette réussite, il va arrêter ses études en première année de prépa pour se consacrer à l’entreprenariat.
Xavier Niel savait déjà à cette époque ce qu’il voulait. Ou du moins il savait ce qu’il ne voulait surtout pas être : un conformiste. Il voulait s’aventurer hors des sentiers battus. A 24 ans, il devient millionnaire en hébergeant des sites de minitels roses. En 2000, il commence à travailler sur la première box Internet. Son ambition est de fusionner la télévision, le téléphone et Internet. A l’époque en effet, il fallait payer un abonnement différent pour ces trois services ce qui revenait assez cher. L’abonnement à sa box reviendrait à 29,99 euros contre 45 euros pour ses concurrents. Il sortira sa première box en 2002 alors que personne ne croyait qu’il y arriverait. Ses concurrents, comme SFR, ne le prenait pas au sérieux à ses débuts. Mais son succès va attirer de nombreux ennemis et en 2004, il va être placé en détention provisoire et accusé de proxénétisme aggravé. Il le devait à des parts qu’il possédait dans un sex shop strasbourgeois. Il sera rapidement blanchi car il ignorait qu’il y avait de la prostitution dans son établissement. Il perçoit cependant des sommes en liquide non déclarées de ce même sex shop, pour lesquelles il passera 1 mois en prison. Il en ressortira plus motivé que jamais.
En 2009, Free obtient une licence pour conquérir le marché du mobile. Xavier Niel vient ainsi casser le cartel du mobile mis en place par Bouygues, SFR et Orange. En 2012, il sort le premier forfait à seulement 2 euros. Lors de la conférence de lancement, il n’hésitera pas à traiter les consommateurs qui restent chez ses concurrents de « pigeons ». Malgré son immense réussite Xavier Niel, fidèle à lui même, n’en reste pas moins un marginal. Il continue de faire parler de lui grâce à des coups de communication qui viennent casser les codes établis. Sa communication le fait passer pour un justicier auprès des consommateurs. Voilà comment Xavier Niel est devenu le seul milliardaire français actuel dans le domaine de la tech.
Aujourd’hui, l’appétit de Xavier Niel ne s’est pas estompé. Après avoir fait fortune, il investit désormais dans les médias. Proche d’Emmanuel Macron, il compte bien jouer un rôle majeur lors de la présidentielle 2022. Avec Bernard Arnault, son beau-père et homme d’affaires français, ils sont plus ou moins en guerre contre un autre magnat des médias Vincent Bolloré. Ils se disputent notamment la radio Europe 1 ou encore le groupe M6. Le premier devrait vraisemblablement revenir à Vincent Bolloré. Au niveau local, on parle également de Xavier Niel pour racheter La Provence. Ce n’est pas un hasard si son bras droit est venu s’installer à Aix-en-Provence. Il a également déjà repris Nice-Matin au nez et à la barbe d’un certain Vincent Bolloré.
Certains décrivent Xavier Niel comme « un coucou qui fait son nid dans celui des autres ». Génie philanthrope pour les uns, arriviste pour les autres, Xavier Niel demeure en tout cas un homme d’affaires inclassable.
Selon le Centre International d’Etude du Sport (CIES), l’équipe la moins indisciplinée du big-5 (Angleterre, France, Allemagne, Espagne et Italie) est Arsenal avec une faute toutes les 10’40 ». La plus indisciplinée est Getafe avec une faute toutes les 5’44 ». Si on s’en tient à ces deux équipes, on voit bien que la réputation du championnat anglais comme championnat rugueux est infondée.
On constate par ailleurs qu’aucune équipe anglaise ne figure dans le top 4 des équipes les plus indisciplinées. Outre Getafe, on retrouve dans cette catégorie Hellas Vérone (une faute toutes les 5’54 »), FSV Mainz (6’30 ») et AS St-Etienne (7’10 »). De l’autre côté, le top 4 des équipes réalisant le moins de fautes est composé d’Arsenal, Barcelone (10’29 »), le Bayern Munich (10’19 ») et Naples (9’37 »). Un constat nous saute alors aux yeux : les équipes pratiquant un jeu de possession font moins de fautes. Il s’agit également d’équipes plutôt en haut du classement de leur championnat, tandis que les équipes réalisant le plus de fautes jouent généralement en bas du classement.
L’équipe de France de natation démarre aujourd’hui 17 mai les championnats d’Europe de natation qui ont lieu à Budapest. Pas moins de 38 nageurs sont sélectionnés pour les différentes disciplines. 24 garçons et 14 filles vont représenter fièrement la France. Il s’agit là de la sélection la plus importante après celle de Berlin en 2014 (44 nageurs). 13 d’entre eux vont honorer leur première sélection.
Même si ces championnats d’Europe vont surtout servir à préparer les JO de Tokyo, on espère de nombreuses médailles pour la natation française. On souhaite bonne chance à nos nageurs, et plus particulièrement aux nageurs du Cercle des Nageurs de Marseille.
Selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA, le taux moyen toutes durées confondues est actuellement à 1,07%. Un taux historiquement bas. Il est même possible d’obtenir un crédit à moins de 1% sur 15 ans (0,87%) mais aussi sur 20 ans (0,99%). Une bonne nouvelle, qui en cache malheureusement de mauvaises.
La première d’entre elles est connue de tous : les banques sont plus exigeantes. La deuxième est que désormais le taux d’endettement doit inclure le coût de l’assurance de l’emprunteur. Concrètement, s’il est possible aujourd’hui de s’endetter jusqu’à 35% au lieu de 33% de vos revenus disponibles, c’est pour mieux vous reprendre cet argent par la suite. « La banque reprend d’une main ce qu’elle vous a donné de l’autre« , résume Maël Bernier, de Meilleurtaux.com, courtier en crédit immobilier. Les conditions d’emprunts devenant plus strictes, les ménages au budget serré espèrent pouvoir emprunter sur une plus longue durée afin de réduire leurs mensualités. Mais les banques ne peuvent prêter pour une durée dépassant les 25 ans. Or les primo-accédants commencent à souscrire à des prêts allant jusqu’à 24 ans. « Et si les banques ne prêtent plus aux primo-accédants, le marché risque de se gripper sérieusement« , met en garde Philippe Taboret, directeur général adjoint chez Meilleurtaux.com. La ligne rouge se rapproche…