mercredi 6 novembre 2024
Accueil Blog Page 334

Décès de Bernard Tapie : il sera inhumé dans sa « ville de cœur »

© WKMC

La famille de Bernard Tapie a annoncé son décès, ce dimanche 3 octobre :

« Dominique Tapie et ses enfants ont l’infinie douleur de faire part du décès de son mari et de leur père,  Bernard Tapie, ce dimanche 3 octobre à 8h40, des suites d’un cancer. « Il est parti paisiblement, entouré de sa femme, ses enfants, ses petits-enfants et son frère, présents à son chevet. » Le message précise également que Bernard Tapie « a fait part de son souhait d’être inhumé à Marseille,  sa ville de cœur ».

Bernard Tapie a eu de multiples activités. Il a notamment été propriétaire de l’Olympique de Marseille bien sûr, d’Adidas, patron de presse, animateur de télévision, député des Bouches-du-Rhône… Il a également connu plusieurs scandales judiciaires.

Le Méridional reviendra sur cette figure d’importance du territoire marseillais.

« Eugénie Grandet », une nouvelle adaptation de Marc Dugain

Balzac, on le sait, a été et reste un vivier inépuisable pour les réalisateurs (Le colonel Chabert, le Père Goriot, et bien d’autres.) L’avantage des « classiques », dont Eugénie Grandet fait partie, mais qui implique aussi de conserver une certaine fidélité à l’esprit de l’auteur. La nouvelle adaptation (« librement inspirée du roman de Balzac ») du réalisateur Marc Dugain, aussi écrivain, ne pêche pas de ce côté-là dans les grands traits, mais dans des détails.

Celui qui a réalisé notamment « L’échange des princesses » a l’habitude des changements d’époques et des adaptations de livres. On retrouve avec plaisir l’excellent acteur Olivier Gourmet, qui endosse à merveille son rôle de père rusé, avare et inflexible (« De tous les vices, ton père a choisi celui qui coûte le moins cher : l’avarice », soupire la mère de l’héroïne) Il forme, avec Joséphine Japy, qui incarne le personnage éponyme, une fameuse paire ; tous deux illustrent cette relation père-fille, l’une de celles qui ont tant fasciné Honoré de Balzac dans son immense Comédie humaine.

Dans la petite ville de Saumur, quelques décennies après la Révolution française, la famille Grandet habite dans une modeste demeure, dépourvue de tout confort bourgeois. Le « père Grandet » est pourtant toujours à l’affût des bonnes affaires et des investissements « qui rapportent gros », sans coûter beaucoup. Sa femme et sa fille en font les frais. Eugénie attend que son père se décide sur son mariage. Mais la question de la dot irrite Félix Grandet… et puis, qui pourrait bien mériter cette enfant unique qui héritera de toute sa fortune ? Lorsqu’un jour débarque de Paris le fils de son frère, jeune homme parisien et bien mis, le cœur d’Eugénie s’y attache. Les jeunes gens se font des promesses. Et puis… Charles doit malgré lui traverser l’océan, pour réparer sa fortune et conserver la réputation de son nom. La vie passe, toujours dominée par le père autoritaire et maladivement avare : un de ceux prêt à sacrifier sa famille plutôt que son argent : « qui ne respecte pas l’argent n’est pas digne de bonheur » ; un adage que Félix Grandet ne reniera pas, jusqu’à son dernier souffle.

L’ambiance du XIXe siècle est là, comme on l’imagine en lisant le roman de Balzac. La façon de filmer, en clair-obscur, est assez pesante. Par ailleurs, la « patte » féministe est sans aucun doute exagérée par rapport à l’œuvre de Balzac, notamment la fin, très différente de celle du roman d’origine. Une nouvelle adaptation, sans plus, malgré ses bons acteurs. Mais la question des rapports humains démontre encore une fois combien l’œuvre de Balzac reste indémodable.

Jeanne RIVIERE

Conseil municipal de Marseille : le ballet des ventriloques

© WKMC

Le conseil municipal d’hier à Marseille, vendredi 1er octobre, a donné l’impression d’un enregistrement en play-back. On voit Benoît Payan parler, on voit Samia Ghali parler, mais on se demande s’ils ne sont pas des marionnettes agitées en coulisses par un puissant mentor.

Emmanuel Macron par exemple. La technique du playback consiste à bouger les lèvres en faisant croire que vous chantez en direct. Voilà. Le maire bouge les lèvres, la diva des quartiers nord bouge les lèvres et personne ne peut se résoudre à les entendre. Depuis qu’on a compris que M. Jean Castex était chargé de suivre à la loupe les finances de la ville de Marseille, les élus du Printemps marseillais sont aux abris. Ils savent que Castex est désormais leur patron à tous.

Le maire Benoît Payan est devenu un hyper-légaliste qui applique la loi municipale avec une rigueur de néophyte. Il se sait observé. Il se sait espionné par l’Elysée. Alors il respecte la loi municipale à la lettre pour ne pas être pris en défaut. Le sectarisme socialiste a pris le pas sur le pragmatisme gaudiniste. Les élus progressistes et écologistes sont aux manettes depuis quinze mois et ils n’ont toujours rien fait. Ils évoquent des « chartes », des « intentions », des « politiques sociales », mais les citoyens ne voient toujours rien venir. Comme sœur Anne, ils attendent…

On sent bien qu’on ne joue pas au stade Vélodrome mais sur le terrain annexe du stade Delort. C’est un simple échauffement. Le vrai conseil aura lieu à l’Elysée. C’est Emmanuel Macron et son porte-voix Jean Castex qui décideront de l’avenir de Marseille. La conseillère Sandrine D’Angio l’a fort bien résumé en préambule : « Les décisions finales ne vous appartiennent plus ».

On a donc affaire à un ballet de ventriloques qui font semblant d’être aux manettes et se gardent de prendre la moindre initiative. C’est rigolo. Marie Batoux, élue du Printemps, affirme que « savoir lire c’est la clef de tout ». Formidable. Lionel Royer-Perreaut, maire du 9/10 (LR) s’épuise à expliquer avec des prudences de Sioux que la visite présidentielle doit être une « opportunité » qui « doit nous conduire à une forme républicaine responsable collectivement du devenir de cette ville ».

Le vrai pilote, c’est M. Macron

M. Royer-Perreaut essaie de ne pas critiquer trop ouvertement la majorité municipale mais il décoche quelques flèches au passage : le président s’est axé sur les quartiers nord mais il a totalement ignoré les difficultés des citoyens du sud, de l’est et du centre de Marseille. « Comment pouvez-vous accepter, vous l’héritier putatif de Gaston Defferre, que M. Macron pilote  lui-même depuis Paris la politique de l’Etat en faveur de Marseille ? Comment pouvez-vous vous laisser déposséder d’une compétence essentielle de la municipalité ? En réalité, vous n’êtes que les figurants d’une histoire écrite par le président à des fins électorales… »

On ne saurait mieux dire. Emmanuel Macron a sacralisé à Marseille une forme de re-concentration des pouvoirs qui ferait bondir Defferre. Forcément, Benoît Payan est bien obligé d’acquiescer, même s’il paraît très doué pour jouer les ventriloques de l’Elysée. L’argent, oui. Les contreparties, non. « Le président est en train de faire du jacobinisme le viatique de sa politique, ose-t-il, beaucoup de choses m’opposent au président, nul ne m’obligera à inciter les directeurs d’écoles à recruter des profs dans le privé. Moi quand j’occupe un poste, je l’occupe… »

Le petit marquis se fait matamore. Stéphane Ravier en profite pour ironiser d’un ton sarcastique : « Pourquoi M. Macron est-il venu vous administrer une fessée républicaine et vous faire la leçon alors qu’il n’a jamais été un élu local ? » En vérité, l’Etat ne fait plus confiance à la classe politique marseillaise qui a considéré la ville comme un gâteau à se partager… 

Certes, c’est un  candidat en campagne qui est venu à Marseille. Mais il a aussi mis l’accent sur quelques vérités, comme l’omnipotence de certains syndicats et les « chicayas locales » qui paralysent l’action publique. M. Ravier appelle l’attention de ses collègues sur la résidence étudiante Le Campus au Merlan devenue « un repaire d’islamistes et de trafiquants ». M. Payan a promis de faire suivre l’information aux services concernés…

Enfin un éclair au cœur de cette matinée tristounette où chacun joue une partition qui ne lui appartient pas : Martine Vassal annonce  un accord avec le syndicat FO et la fin de la grève des éboueurs. Soulagement général sans le moindre applaudissement. Faudrait pas exagérer tout de même. Et puis tout à coup, après une série de rapports anodins adoptés à l’unanimité ou presque, voici une question très pertinente posée par Catherine Pila, présidente du groupe LR : « Que comptez-vous faire du parc Chano? »

Silence dans l’hémicycle. Mme Pila s’inquiète à juste titre de l’avenir de ce vaste espace dédié aux congrès, aux expositions, aux foires qui sont « une manne économique dont Marseille ne saurait se passer ». La société qui gère la foire de Marseille est pourtant présidée par Loïc Fauchon qui fut le directeur de cabinet de Gaston Defferre, ex-président de la société des Eaux de Marseille, ex-président du conseil mondial de l’eau, ex-maire socialiste de Trets entre 1989 et 1997 qui s’est converti opportunément au gaudinisme sur le tard. Comment une majorité socialiste peut-elle se permettre de virer comme un malpropre un de ses plus emblématiques représentants à Marseille ?

Mme Ghali, dans un sabir approximatif, essaie d’expliquer « qu’on ne peut plus proposer que des kermesses dans un site et des bâtiments qui nous coûtent 700 000 euros par an ». Fin de la kermesse pour Fauchon. S’ensuivent quelques escarmouches sur la politique « pro-migrants » de la nouvelle majorité et la gêne causée par les habitants de Font-Vert face à la venue d’un camp de Roms de 200 individus relogés à la lisière de leur cité….

La « xénophilie » s’apparente parfois à une « francophobie » lorsque les idéologues s’en mêlent avec leurs délires immigrationnistes et leur obsession diversitaire. Soudain, nouvel éclair, venu de la Gauche celui-là. Une femme très élégante prend la parole dans un français impeccable. Elle s’appelle Mathilde Chaboche, adjointe en charge de l’urbanisme et du développement harmonieux de la ville, et son intervention consacrée aux « opérations immobilières qui poussent comme des champignons juxtaposés » est remarquable. Son discours contre la bétonisation de Marseille restera dans les annales. Vérification faite, elle appartient bien au Printemps marseillais …

Bien sûr, sa politique idéaliste n’a guère de chance d’aboutir et Lionel Royer-Perreaut le lui a bien fait comprendre. Mais c’est un plaisir parfois de constater qu’une étoile peut briller dans la nuit au milieu d’un océan de nullités progressistes.

José D’Arrigo, rédacteur en chef du Méridional

Lille/OM : sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match ?

Lille reçoit l’OM ce dimanche 3 octobre, pour un match de Ligue 1 qui débutera à 17h.

Le match sera retransmis en direct sur Canal + Décalé.

Suivez le match commenté en direct sur la chaîne Twitch et la chaîne Youtube du Méridional.

Grèves à Marseille : quelles écoles fermées ?

© LM

Le mouvement de grève du personnel dans les crèches municipales et les écoles publiques a commencé ce vendredi 1er octobre. Un peu plus de 40 écoles étaient touchées par le mouvement (à l’appel du syndicat CGT).

Le personnel, notamment les « tatas » (chargées d’accueillir les enfants, de les servir à la cantine et de faire le ménage) protestent contre le passage aux 35 heures; une dérogation peut légalement être permise, en particulier via l’invocation de la pénibilité.

Les actualisations des fermetures (écoles et/ou cantines) sont à retrouver sur la page dédiée de la ville de Marseille.

Pépite Provence : le goût de l’entrepreneuriat

Récompense de Jungle Beer, en présence de Ludovic Perney, le 30 septembre 2021 © Pépite Provence

Jeudi 30 octobre avait lieu la 7ème édition de la remise des « Prix Pépite » 2021, en présence de l’équipe dirigeante et d’un certain nombre d’acteurs liés à Pépite Provence. Cinq lauréats jeunes entrepreneurs ont été récompensés pour leur travail. La mission du Pôle Pépite (Aix-Marseille Université) est de favoriser la création d’entreprises innovantes et créatrice par les étudiants et les jeunes diplômés : un tremplin évident pour l’entrepreneuriat.

Le Prix Pépite initié au national en 2014 par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et en partenariat avec Bpifrance, s’étend sur les 33 pôles qui constituent son réseau afin de nommer en régions les cinq lauréats dont 1 qui représentera le projet le plus prometteur lors de l’événement national du 7 octobre 2021 à Paris. Le projet peut s’apparenter à une innovation technologique ou non-technologique : innovation sociale, d’usage ou de service, innovation de produit, de procédé, de commercialisation, d’organisation…

Les Pôles Pépite veulent révéler les projets de création d’entreprises innovantes portés par les étudiants bénéficiant du Statut National Etudiant-Entrepreneur, et aussi soutenir et accompagner ces jeunes talents dans leur démarche entrepreneuriale en récompensant les meilleurs projets issus des 33 Pépite. Le soutien aux projets se traduit par une aide financière pouvant aller jusqu’à 10 000 euros et un accompagnement proposé par les Pépite présents sur l’ensemble du territoire. À Pépite Provence, des talents ont été révélés tels que Ornikar, qui représente à ce jour plus de 1 million d’utilisateurs, Tchek, qui a obtenu une levée de fond en janvier 2021 de 3 millions d’euros, ou encore Clever Beauty, qui développe le premier vernis green, végan et antigaspi en France.

Hier, quatre lauréats ont remporté 2 000€ de la part de Bpifrance, 10 000€ pour Gotattoo, champion au national.

Pépite Provence se présente comme un collectif qui rassemble des établissements d’enseignement supérieur (Aix-Marseille Université, l’université d’Avignon, Sciences Po Aix, l’ENSAM Aix, l’Ecole des Mines Saint-Etienne Gardanne) et le Rectorat d’Aix-Marseille. Il bénéficie aussi de l’appui d’un certain nombre de collectivités et d’une cinquantaine de partenaires socio-économiques sur le territoire. Le 30 septembre, Ludovic Perney représentait la région, en tant que vice-président chargé de la Jeunesse, des Sports et de la vie étudiante.

Cet écosystème veut accompagner l’innovation, la création d’entreprises des étudiants : 10 000 étudiants sont sensibilisés chaque année aux questions touchant à l’entrepreneuriat. Par ailleurs, les fonds obtenus par le Pôle Pépite Provence dans le cas de l’appel d’offres mis en place par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, « L’esprit d’entreprendre » vont permettre de poursuivre ses actions, y compris à un niveau national. Marc Savasta, de la délégation régionale académique à la Recherche et à l’Innovation, rappelle le dynamisme et le rôle phare de l’université d’Aix-Marseille dans le paysage universitaire national.

Ludovic Perney © Pépite Provence

Pépite Provence en chiffres

Pépite Provence, c’est :

  • 45 étudiants-entrepreneurs accompagnés en 2020-2021
  • Depuis 2014, 700 étudiants conseillés ; 80 entreprises créées (dont une cinquantaine toujours en activité)
  • Plus de 180 statuts d’étudiants-entrepreneurs

Pour Robert Laffont, directeur de Pépite Provence et vice-président au Partenariat avec le Monde Socio-Economique AMU, les 93 candidatures reçues pour le statut d’étudiants-entrepreneurs 2021-2022 démontrent mieux que tout « l’engouement des étudiants pour ce dispositif. »

La remise des prix était un symbole fort, une récompense de « l’audace et l’ambition », une démonstration du succès du Pôle Pépite sur le territoire, synonyme de vitalité économique. « L’histoire ne fait que commencer », a conclu Marc Savasta. Les talents d’aujourd’hui, ce sont les emplois de 2030 !

Raphaëlle PAOLI

Les cinq lauréats du Prix Pépite 2021 :

Mon folioscope : création de livre personnalisé à feuilleter avec effet d’animation à partir de vidéos personnelles de son choix.

Jungle Beer : plateforme 100% dédiée à l’univers brassicole qui réunit professionnels et amateurs avec média spécialisé intégré, marketplace.

Jumboo : réseau social inspirant qui rassemble une communauté engagée en faveur d’action à impact positif sur la planète.

Les maronneuses : marque de cosmétique naturelle, décalée, accessible et éco-conçue en Provence.

Gotattoo : application qui met en relation des professionnels, clients et passionnés par l’univers du tatouage afin de les accompagner dans leur projet via un outil qui reprend les codes de l’ubérisation.

La fin de la grève

© LM

Ce vendredi matin 1er octobre, la Métropole a annoncé qu’un accord avait été trouvé avec FO, alors que la grève (commencée il y a une semaine) des agents chargés de la collecte des déchets et du nettoyage menaçait de durer encore. Le représentant de la FSU déclare que les revendications ont été entendues. Les représentants de la CGT vont être, de leur côté, reçus par la Métropole.

La présidente du département Martine Vassal a exprimé sa satisfaction d’avoir trouvé un terrain d’entente. « Maintenant, le travail va reprendre », a-t-elle conclu.

Les premières collectes devraient recommencer dans les prochaines heures.

Les principales mesures incluent, pour les agents métropolitains :

  • une décote du temps de travail de 9,5 %, c’est-à-dire 1 467 heures. Les 28 jours compensatoires demeurent de mise.
  • l’ouverture d’un compte épargne-temps.
  • un accompagnement à la reconversion pour tous les agents qui le souhaitent.
  • des formations autour des bonnes pratiques pour limiter les risques d’accident pendant le travail de collecte.
  • à partir du 1er janvier prochain, la réouverture du dossier de Régime indemnitaire de la fonction publique.

La Cour d’appel et le tribunal judiciaire d’Aix célèbrent la Nuit du droit le 4 octobre

© WKMC

Le 4 octobre 2021, se tiendra une nouvelle édition de « la Nuit du droit » initiée par le Conseil Constitutionnel, laquelle a vocation à être organisée sur tout le territoire national dans les juridictions, les universités et tous les organismes qui interviennent dans le domaine du droit.

Le programme :

En lien avec ses partenaires (Cour administrative d’appel de Marseille, École nationale de la magistrature, Ordre des avocats du Barreau d’Aix-en-Provence, Ecole des avocats du Sud-Est, Faculté de droit et de science politique d’Aix-Marseille Université, Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence et Chambre régionale des comptes PACA), la Cour d’appel propose, au Palais Verdun, de 19h à 23h :

  • 19h00 – 19h45 : Présentation par Stéphane TRETZ de son œuvre intitulée « jusqu’à la vie » (œuvre représentant des portraits de femmes victimes de féminicide) et tenue de stands d’information par des associations intervenant en matière de violences conjugales (APERS, Solidarité Femmes 13, La Recampado, UNFF).
  • 19h-23h : Des stands de présentation des différents métiers du droit et de la justice par des représentants du monde juridique et judiciaire (Chambre régionale des huissiers de justice, Conseil régional des notaires, Cour administrative d’appel de Marseille, Faculté de droit et de science politique d’Aix-en-Provence, EDASE, Chambre régionale des comptes PACA, association des conciliateurs de justice) avec exposition de panneaux pédagogiques, mise à disposition de brochures d’information et projection de petits films de présentation.
  • 19h45 – 21h45 : Conférence faisant intervenir des personnalités actives sur le sujet des violences conjugales ainsi que des familles de victimes.
  • 19h30-23h : Des mini-conférences d’une vingtaine de minutes présentées par des magistrats, avocats et universitaires sur des sujets juridiques d’actualité.
  • 19h15-23h : Une simulation de plaidoiries devant le tribunal arbitral du sport par des étudiants de la Faculté de droit et de science politique d’Aix-en-Provence, étudiants de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence et avocats stagiaires à l’Ecole des avocats du sud-est (EDASE).
  • 20h-21h et 21h-22h : Un jeu de rôles « dans la peau d’un magistrat financier… ou d’un élu » organisé par la Chambre régionale des comptes PACA.

Plus d’informations sur le site de la mairie d’Aix-en-Provence.

Congrès Mission : plus de 1 000 jeunes attendus à Marseille

© LM

Ce week-end (2-3 octobre) se tiendra à Marseille, comme dans d’autres villes de France, un rassemblement de jeunes catholiques intitulé « Congrès Mission ». Près de 1 000 jeunes se rencontreront dans différents endroits de Marseille, pour prier et échanger à propos de leur foi autour de conférences, de moments d’échanges et de détente. Le thème de la « mission » vise à les faire réfléchir sur leur façon de vivre leur foi dans la société d’aujourd’hui, mais aussi à toutes les questions d’actualité. Le rassemblement est aussi ouvert à tout jeune qui veut réfléchir à la place de la religion dans sa vie.

Le Père Pierre Brunet, vicaire général de Marseille, a rappelé pour cette occasion que « l’Evangile est arrivé en Provence avec la première génération apostolique arrivant de Terre Sainte : saint Lazare, sainte Marie-Madeleine, sainte Marthe, les saintes Maries. Nos Pères l’ont reçu. Ils l’ont transmis et de témoins à témoins, dans la force de l’Esprit Saint, la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ est arrivée jusqu’à nous. À notre tour, comme les maillons d’une chaîne, nous voulons transmettre ce trésor par tout ce que nous sommes. Le Congrès Mission, par les expériences partagées, les rencontres, les prières et célébrations permettra à tous ceux qui viendront d’être renouvelés dans le désir de vivre l’Evangile et d’en témoigner. »

Un certain nombre de prélats de la région seront présents à cette occasion. Les inscriptions et autres informations sont à retrouver sur le site de l’événement.