vendredi 8 novembre 2024
Accueil Blog Page 314

Le Contrat de Destination Provence fait rayonner le territoire à l’international

© Pxb

Depuis sa création en 2015, le Contrat de Destination Provence a largement fait ses preuves. Par son biais, le territoire provençal a bénéficié d’une vaste visibilité, au-delà même des frontières nationales. Alors que la crise du Covid a bouleversé les équilibres, le renouvellement du Contrat de Destination Provence pour la période 2022-2024 vise à reconquérir les visiteurs internationaux et mettre encore davantage en lumière les atouts de la région.

Le Contrat de Destination Provence (co-piloté par le Comité Régional de Tourisme Provence-Alpes-Côte d’Azur et par Provence Tourisme) concerne la Provence au sens plus large que le périmètre purement administratif ; il réunit cinq départements : Bouches-du-Rhône, Vaucluse, une partie des Alpes-de-Haute-Provence, du Var et du Gar. Sous la marque « Provence, enjoy the unexpected » se sont regroupés plus d’une trentaine de partenaires. Ensemble, ils financent les diverses campagnes et actions de promotion. 23 millions de touristes viennent chaque année en Provence : un beau chiffre !

Promouvoir la Provence

Depuis son lancement, une enveloppe de 3,2 millions d’euros, portée par les co-financeurs, a été consacrée au rayonnement de la marque Provence. Des partenaires tiers comme Atout France ou Expédia ont également contribué au financement des campagnes.

Il s’agit de se rendre visible dans divers pays étrangers et de s’adapter à la clientèle qui peut être attirée par le territoire provençal. Cela passe par plusieurs biais, parmi lesquels des campagnes sur les réseaux sociaux (notamment chinois), des salons, la création d’un site dédié. Les prochaines campagnes en Europe cibleront particulièrement l’Allemagne et la Belgique.

Covid : une nécessaire adaptation

La relance rapide de ces mises en place après les plus fortes crises du Covid et une adaptation conséquente a permis à la région Provence de connaître une réelle différence par rapport à d’autres régions de France.

Pour Danielle Milon, présidente de Provence Tourisme, « dans un contexte sanitaire mouvementé, nous avons su faire preuve d’agilité et réorienter nos stratégies vers des marchés de proximité. »

Les enjeux des prochaines années

Le contexte international reste encore instable : les acteurs du Contrat devront continuer à s’adapter aux diverses situations à l’échelle régionale et mondiale.

François de Canson, président du Comité Régional de Tourisme PACA, le souligne avec clairvoyance : « Dans un climat fortement concurrentiel de reprise, il est nécessaire, aujourd’hui plus que jamais, de se regrouper derrière une bannière commune. »

L’objectif, entre 2022 et 2024, est de fédérer les professionnels et de poursuivre le travail des six dernières années pour que la région Provence s’impose face à la concurrence internationale.

Raphaëlle PAOLI

Archéologie – Aix-en-Provence expose ses trésors

© Pxb

Chaque année, grâce à diverses fouilles archéologiques, de multiples objets sont découverts dans la région d’Aix-en-Provence. Le but n’est pas seulement de les rendre accessibles aux chercheurs, mais également de les faire découvrir au public, de la région notamment. Jusqu’au 8 janvier 2022, l’Office de Tourisme d’Aix-en-Provence expose ces objets qui racontent un savoir technique, une valeur esthétique, religieuse ou culturelle. Le travail des restaurateurs est également mis en lumière.

Jusqu’au 8 janvier 2022 ; le lieu 9, Office de Tourisme d’Aix-en-Provence, 300 avenue Guiseppe Verdi, 13605 Aix-en-Provence. Entrée libre.

Galatasaray/OM : Sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match ?

©DR

L’OM se déplace en Turquie ce Jeudi 25 Novembre pour y affronter Galatasaray dans un match comptant pour la 5ème journée d’Europa League. Le coup d’envoi sera donné à 18H45, et le match diffusé en direct sur RMC SPORT 1.

Suivez les commentaires sur les pages FacebookYoutube et Twitch du Méridional.

Financer l’innovation – La marche à suivre du CIC auprès des start-ups

© Le Méridional

Le financement de l’innovation : une expression bien d’actualité, dont il est important d’aborder les différents angles. Yann Gozlan, chargé d’affaires auprès des entreprises innovantes au CIC Place de l’Innovation (13001), au sein du CIC – Lyonnaise de banque, explique la façon dont il échange avec ce monde dense et compétitif, et avec les acteurs qui le composent. Un entretien passionnant et clair, qui dresse aussi un portrait de la situation économique du monde des start-ups dans notre région.

> A voir aussi : Sylvain Berger, directeur marketing et innovation du CIC : « Le territoire marseillais déploie beaucoup d’énergie »

Qu’est-ce qu’un investisseur par rapport à un banquier ?

Quelles sont les clés de lecture qui décident de l’octroi d’un prêt à une entreprise innovante ?

Quel est votre rôle auprès des start-ups ?

Quelle est votre perception du paysage innovant sur le territoire de Marseille et dans la région ?

Fin de l’année anniversaire : les journées régionales napoléoniennes auront lieu les 4 et 5 décembre à Marseille

© Pxb

Pour clôturer le 200ème anniversaire de la mort de l’empereur Napoléon Ier, des colloques et cérémonies auront lieu à Marseille les 4 et 5 décembre prochains, organisées sous l’égide du Dr Jean-Baptiste Renucci, délégué régional du Souvenir Napoléonien. Seront notamment présents le prince Murat et le général Maurice Schmitt, ancien chef d’état-major des armées et ancien gouverneur des Invalides. L’entrée aux colloques est libre dans la mesure des places disponibles.

L’insupportable «ensauvagement» des «rageux» du football français

© OM English / Twitter

Le gouvernement a décidé de se saisir du problème de la violence dans les stades et autour des stades. Il est temps. « L’ensauvagement » ne touche pas que les banlieues hostiles, il touche aujourd’hui les stades de plein fouet.

Insupportable la vision de Dimitri Payet à terre et se tenant la tête après avoir reçu une bouteille d’eau lancée par un taré depuis la tribune des « Bad Gones » à Lyon.

Insupportable la pusillanimité des autorités préfectorales, arbitrales et de la Ligue de football qui se renvoient la patate chaude pour s’exonérer de toute responsabilité. On croirait avoir affaire à des enfants turbulents qui se chamaillent : « C’est pas moi, c’est l’autre ».

Insupportable l’idée d’en être réduit à protéger les tireurs de corners à l’aide de boucliers brandis par des gorilles autour du joueur.

Insupportables les palinodies grotesques du président lyonnais Jean-Michel Aulas, par ailleurs excellent gestionnaire, qui militait avant le match pour un retrait de points à l’encontre des clubs coupables d’éventuels débordements de leurs supporters et qui n’est plus du tout de cet avis dès lors que ce sont ses propres fans qui sont les fauteurs de troubles…

Insupportable la passivité délibérée des dirigeants du football français qui ferment les yeux sur l’ensauvagement des « rageux », ces pseudo-supporters enragés qui viennent se défouler au stade de leurs frustrations accumulées.

Faut-il rappeler aux instances du football que les actes délictueux se multiplient autour des stades et que les sanctions sont dérisoires ? Le 8 août, c’est Valentin Rongier qui a été atteint par un projectile à Montpellier alors qu’il célébrait un but de l’OM. Le club local n’a fait l’objet que d’une sanction minimale (fermeture de deux tribunes pour trois rencontres).

Le 22 août, bis repetita, c’est Dimitri Payet qui est touché à Nice par une bouteille d’eau puis agressé par un forcené alors qu’il s’apprêtait à tirer un corner. Là aussi, sanctions dérisoires à l’encontre de l’Olympique Gymnaste Club de Nice : retrait de deux points et un huis clos total. Pas de quoi dissuader l’écervelé qui déshonore les vrais supporters niçois.

Le 18 septembre, c’est le match Lens-Lille qui dégénère : les supporters lensois, d’ordinaire plus disciplinés et mieux inspirés, envahissent le terrain pour en découdre avec leurs homologues lillois. Là aussi, croit-on vraiment que les retraits de points avec sursis et les matches à huis clos peuvent empêcher les « rageux » nordistes de récidiver ?

Le 22 septembre à Angers, ce sont les supporters marseillais qui sont agressés par des Angevins et qui sortent du « parcage à bestiaux » dans lequel ils sont cantonnés pour répliquer. Sanction ridicule : un point de retrait avec sursis. Le 22 octobre, ce sont les supporters stéphanois scandalisés par le pitoyable classement de leur équipe, qui pénètrent sur le terrain pour mettre le feu et détruire les filets…

Le 24 octobre à Marseille pour la venue du Paris Saint-Germain, c’est un festival de fumigènes dans les tribunes et des projectiles sont lancés sur les joueurs. L’OM écope d’un match à huis clos total pour la venue de Troyes le 28 novembre. Insupportable crétinerie.

Insupportables les atermoiements des arbitres professionnels qui sont déjà très médiocres dans leurs appréciations des fautes et font preuve d’une incroyable clémence à l’égard des « charcleurs », « camphreurs » et autres tackleurs fous du championnat qui ne sont sanctionnés d’un carton qu’à la quatrième ou cinquième agression…

Insupportable le chauvinisme ébouriffant de certains journalistes qui, au lieu de commenter les matches avec l’impartialité liée à leur fonction, s’égosillent au micro comme des supporters acharnés de l’OM ou de Paris. Savent-ils au moins que les vrais supporters marseillais ont toujours encouragé l’équipe la plus faible sur le terrain ?

Insupportable le cinéma en technicolor de certains joueurs qui se livrent à des « Neymarades » en roulant sur eux-mêmes et en hurlant de douleur au moindre choc pour influencer l’arbitre et qui courent comme des lapins deux minutes plus tard.

Insupportables ces attaquants qui sont envoyés au charbon sur une ouverture trop longue ou mal dosée et qui remercient leur coéquipier fautif en levant le pouce à distance pour lui signifier leur gratitude alors qu’ils auraient plutôt envie de l’étrangler !

Insupportables ces hors-jeu sifflés pour un orteil qui dépasse alors que le mouvement de jeu collectif était magnifique et souvent ponctué par un but. Que fait-on du fairplay ? Que fait-on de l’esprit du jeu ?

Insupportables ces entrepreneurs de télévision qui monopolisent à prix d’or la diffusion des matches de Ligue 1 et imposent chaque année aux fans de foot un nouveau réabonnement… quand ils ne font pas faillite.

Insupportables les magouilles et autres rétro-commissions qui entourent certains transferts de joueurs et ces dirigeants voltigeurs qui passent sans encombres de Lille à Bordeaux après avoir laissé des ardoises astronomiques…

Insupportables les interventions arbitrales qui vont contre le cours du jeu : par exemple, lorsqu’un défenseur qui veut laisser sortir le ballon – acte d’antijeu – commet une obstruction grossière contre un attaquant qui veut récupérer la balle, il devrait être sanctionné et ce n’est jamais le cas. Lorsqu’un gardien de but dont l’équipe mène au score multiplie les gains de temps en s’allongeant sur le sol ou en conservant la balle dans les mains plus de six secondes – ce qui est interdit en principe – il n’est jamais sanctionné d’un coup-franc dans la surface.

Voilà pourquoi de nombreux passionnés sont lassés de toutes ces singeries et ne mettent plus les pieds au stade. Ils préfèrent aller voir jouer leurs enfants ou leurs petits-enfants et se régalent à les voir évoluer dans une ambiance familiale. Tel est mon cas au stade Jean-Bouin. Mon petit-fils Pierre est gardien de but de l’équipe 2 du Smuc en U 11 et je prends un plaisir fou à le voir s’amuser sur le terrain en respectant ses adversaires et ses partenaires… surtout lorsqu’ils gagnent et chantent à tue-tête le fameux « tchik-a-tchik-a-tchik-aïe-aïe-aïe » en se tenant par les épaules…

Le foot pro devrait s’inspirer de l’exemple de ces petits clubs amateurs qui font des merveilles avec des bouts de ficelles. Il est vrai que la section foot du Smuc est dirigée de main de maître par Romain Verron, Eric Touboul, Michel Khlat, Johann Piccamiglio entourés d’entraîneurs dévoués et compétents, de véritables éducateurs dans l’âme comme M’Baye Fall et Thomas Asinari – fils de l’ancien olympien Jean Louis Asinari – qui font honneur au football, à Marseille et à la France.

José D’Arrigo, rédacteur en chef du Méridional

Nécessaire collecte de la Banque alimentaire le dernier week-end de novembre

© WKMC

Comme chaque année le dernier week-end de novembre (26,27,28 novembre 2021), la Banque alimentaire organise sa collecte de produits.  Dans les Bouches-du-Rhône, elle s’effectuera dans près de 200 magasins. L’objectif est de récolter des denrées qui ne se périment pas rapidement (pâtes, conserves, farine…). En 2020, environ 140 000 personnes du département avaient pu être aidées.

Bouches-du-Rhône : la justice condamne deux incendiaires

© Pxb

La semaine passée, la justice s’est prononcée dans deux affaires d’incendiaires qui avaient sévi dans le département des Bouches-du-Rhône il y a quelques années.

Lundi 15 novembre, un jeune homme de 23 ans a été condamné par la Cour d’assises des Bouches-du-Rhône à une peine de cinq ans de prison, dont quatre assortis d’un sursis probatoire d’une durée de trois ans. Entre mai et août 2017, il avait allumé des feux en périphérie de la ville d’Istres.

> A voir aussi : Prévention des feux : le bilan d’un travail d’ensemble

Le lendemain, mardi 16 novembre, un homme de 34 ans a été condamné par le tribunal correctionnel d’Aix à cinq ans de prison (dont quatre avec sursis), pour avoir involontairement causé l’incendie du 10 août 2016, en jetant un mégot sur des broussailles. Il a également été condamné à deux amendes de 150 et 1 500€. Lors de cet incendie, plus de 2 000 personnes avaient été évacuées, huit personnes brûlées ou intoxiquées par des fumées ; 2 655 hectares de forêt et broussailles étaient parties en fumée et 26 maisons avaient été détruites : une catastrophe. Du côté du bilan financier, une lourde charge également : près de 63 millions d’euros et une intervention des Pompiers 13 évaluée à 1,2 million d’euros.

Ce genre de jugement vient rappeler la gravité de gestes inconséquents ou volontaires, et rappeler la nécessité d’une vigilance tout au long de l’année. En 2021 encore, le feu de Gonfaron a encore fait des ravages et mis des vies en péril.

R.P

FORINDUSTRIE – 26 novembre : échanges et débats pour réinventer l’industrie

© Pxb

Alors que l’Usine extraordinaire vient d’ouvrir (virtuellement) ses portes ce lundi 22 novembre, le Forum de l’Industrie de demain met le cap sur vendredi 26 novembre, avec FORINDUSTRIE. L’événement en ligne rassemblera des acteurs de l’industrie et des leaders d’opinion notamment.

> A voir aussi : « L’Usine extraordinaire » : à la redécouverte du monde de l’industrie

On comptera ainsi Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l’Economie, chargée de l’industrie ; Renaud Muselier, président de la Région Sud, président-délégué de Régions de France ; Jean-Bernard Levy, PDG d’EDF, président de la Fondation Usaine Extraordinaire ; Alexandre Saubot, président de France Industrie ; Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance ; Bernard Bigot, directeur général d’ITER.

Au programme de cette journée : un grand débat, deux talks et 15 ateliers thématiques interactifs. Plus d’informations et inscriptions à retrouver en ligne.

Roland Giberti renouvelle son soutien à Martine Vassal

Roland Giberti © Roland Giberti DR / Fb

Après l’épisode houleux de vendredi dernier, 19 novembre, en conseil de la Métropole, durant lequel Sophie Joissains, nouvelle maire d’Aix-en-Provence, a démissionné de sa place de cinquième vice-présidente chargée de la réforme métropolitaine, les orientations budgétaires de la collectivité restent au cœur du débat.

Roland Giberti, maire de Gémenos et président du groupe EPIC Métropole, renouvelle de son côté son soutien à Martine Vassal dans un communiqué officiel.