C’est dans le cadre prestigieux de l’hôtel Sofitel Vieux-Port de Marseille que s’est tenu ce 8 février 2023 le 4ème Diner-débat organisé par la Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes d’Aix-Bastia, en partenariat avec le Tribunal de commerce MARSEILLE et l’Association pour le Soutien de l’Institution Consulaire (ASIC) Les acteurs du monde judiciaire, économique, social et politique présents ont pu assister et participer à des échanges autour du thème du rôle majeur du Commissaire aux comptes aux côtés des entreprises. C’est dans le contexte actuel, porteur de fortes incertitudes, que les entreprises doivent gérer le remboursement des PGE (Prêts Garantis par l’État), la très forte hausse du coût de l’énergie et des matières premières, tout en tentant de conserver leur équilibre financier.
« Le Commissaire Aux Comptes a, bien sûr, une mission de certification des comptes de son client mais son rôle ne se limite pas à cela. Il doit être un acteur prégnant de la vie de l’entreprise, une véritable vigie, doit être attentif aux signaux faibles afin d’alerter l’entrepreneur et l’inciter à réagir le plus en amont possible. Ce positionnement est d’autant plus important que nos entreprises doivent faire face actuellement à de fortes turbulences. Plus que jamais la rapidité de réaction et coordination entre tous les intervenants qui accompagnent l’entreprise peuvent être source de survie » précise Jean Pierre PATOU, Président de la Compagnie Régionale des CAC Aix-Bastia.
C’est bien cette vocation de « lanceur d’alerte » qui a été au cœur des débats avec les interventions de : M. Jean Marc LATREILLE, Président du Tribunal de Commerce de Marseille Mme Lucie HALLONET-SAUZE, Responsable du Service aux Entreprises de la Banque de France Marseille Me Remi GOMEZ, Associé du cabinet BBLM avocats
La Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes d’Aix-Bastia est l’instance représentative des commissaires aux comptes. Elle assure une mission de soutien et de promotion des intérêts de la profession sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Corse. En relais de la Compagnie Nationale (CNCC), elle entretient des liens directs et réguliers avec les professionnels, les pouvoirs publics, les régulateurs, et anime ainsi l’ensemble du réseau régional dans le domaine juridique, politique et économique. A ce jour, elle comprend précisément dans son ressort 1005 commissaires aux comptes et 535 sociétés, inscrits sur la liste des commissaires aux comptes. Indispensables à la certification des comptes des milliers de petites et moyennes entreprises et associations de la région, les commissaires aux comptes sont également de solides atouts pour rassurer les entrepreneurs et/ou leurs actionnaires. Dotée de la personnalité morale, elle est administrée par un Conseil régional de 22 élus, présidé par Monsieur Jean-Pierre PATOU.
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Collectif, famille, engagement font partie des valeurs du capitaine Jean-François Le Bigot, sapeur-pompier volontaire, qui s’est vu remettre les insignes de chevalier de l’Ordre du mérite national par l’inspecteur général Grégory Allione, directeur de l’École nationale des officiers de sapeurs-pompiers (Ensosp).
Volontaire, le capitaine Jean-François Le Bigot ne l’est pas uniquement lorsqu’il revêt l’uniforme de sapeur-pompier… volontaire. D’ailleurs, rien ne le prédisposait à devenir sapeur-pompier. Si ce n’est une passion, celle de la plongée sous-marine. Une passion qui en a appelé une autre. « A l’époque, en 1985, ce sport restait marginal. Les conditions étaient bien différentes de celles que nous connaissons aujourd’hui. C’était l’avant Grand-Bleu (référence au film, ndlr). Nous sommes en 1985 à Argelès, dans les Pyrénées-Orientales, pour ma toute première immersion en compagnie de copains. Fuyant les clubs pour des plongées en solo, ce sport à risques nous a conduit rapidement à posséder un minimum de connaissances en secourisme. C’est ce qui m’a conduit à pousser la porte du centre de secours de Laragne-Montéglin, dans les Hautes-Alpes en juin 1991, j’avais un peu plus de 16 ans », explique Jean-François Le Bigot. Laragne est sa caserne de cœur, forcément. Elle marque le début d’un engagement sans faille et d’une expérience humaine marquante dans tous les sens du terme. « Les premières interventions, le sens de l’engagement, des valeurs ainsi que des sacrifices et ce qui peut paraître comme de l’insouciance. En effet, là où les gens s’empressent de fuir le danger, nous nous empressons d’y faire face », souligne le capitaine avant de rendre un hommage à « la bande de zouaves », ses collègues qui constituent sa deuxième famille du centre de secours de Laragne. Ce sont eux qui l’ont soutenu dans les moments difficiles : « Une grande partie de ce que je suis devenu, je le dois à ce collectif, à cette deuxième famille pour laquelle les mots famille et fraternité prennent tout leur sens ». En 2002, il intègre le centre de secours d’Aix-en-Provence où, durant dix ans, des liens se créent là encore.
Une double vie professionnelle… Titulaire d’un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) dans le domaine de l’ingénierie marine, il débute son parcours professionnel en 1999, en qualité d’ingénieur dans une société spécialisées dans les études et travaux de modulation optique de signaux numériques. En 2002, il est recruté par Airbus Helicopters, premier constructeur mondial d’hélicoptères. Dans le même temps, ou presque, il intègre le dispositif préventif du Sdis 13, assurant des gardes et de nombreuses missions de feux de forêts sur hélicoptère bombardier d’eau (HBE). « Comment ne pas être fier de pouvoir, chaque été, défendre nos forêts en étant à bord des produits que nous fabriquons », ajoute résolument Jean-François Le Bigot.
Et un engagement associatif En 2004, le capitaine Le Bigot est élu membre de la commission consultative départementale des sapeurs-pompiers volontaires (CCDSPV) des Bouches-du-Rhône. En 2015, il est secrétaire général au sein de l’Union départementale du Sdis 13, structure principalement axée sur les sujets sociaux, où il développe des actions caritatives permettant de recueillir des fonds destinés aux orphelins de sapeurs-pompiers. Il a également coprésidé le congrès national des sapeurs- pompiers de France qui s’est déroulé à Marseille, en octobre 2021.
Jean-François Le Bigot, un sapeur-pompier volontaire très engagé, reçoit les insignes de l’Ordre du mérite.
Les Fosséens ont repris espoir dans la course au maintien en alignant trois victoires de suite. L’exploit est d’autant plus notable qu’il a été réalisé sans l’aide de plusieurs joueurs. Avec Shevon Thompson, qui pourrait faire son retour face à l’Asvel ce samedi, Rémy Valin a dû composer depuis fin janvier avec l’absence de RJ Nembhard, qui n’aura joué qu’un match sous le maillot « Black&Yellow ».
Touché au mollet, RJ Nembhard va donc laisser sa place à la nouvelle recrue fosséenne : Tahjere McCall (28 ans, 1,93m). L’arrière américain dispose d’un joli CV, entre ses expériences en G-League (ligue de développement de la NBA), étant sacré champion avec le Lakeland Magic en 2021, son passage remarqué en France à Orléans en 2020-2021 (18 matchs à 6.1 points, 3.3 rebonds et 2.6 passes décisives en moyenne), et ces deux dernières saisons intéressantes en première division australienne (NBL).
« Il est capable de faire beaucoup de choses sur le terrain, qui est un hyperactif au rebond, à la passe, en défense et qui court », a souligné son nouveau coach, Rémy Valin. « Il est présent dans beaucoup de secteurs de jeu. Il peut évoluer sur plusieurs postes et performer tant en attaque qu’en défense. C’est ce qui nous intéresse aussi car il peut être associé sur le terrain avec tous nos joueurs. Il joue avec beaucoup d’enthousiasme et d’énergie et on en aura besoin d’ici la fin de saison ».
Peut-on utilement gouverner contre son peuple en ayant recours à de basses connivences, interroge le politologue Arnaud Benedetti ? Question cruciale.
« La réforme des retraites va plus loin que son objet, estime-t-il, il s’agit de la préservation de la démocratie et de la légitimité écornée d’un pouvoir minoritaire. L’opposition massive au projet gouvernemental ne l’est pas par incompréhension ni par caprice : elle l’est parce qu’elle détricote un modèle social que l’on voudrait immuable. Le recul de l’âge de la retraite est vécu comme la régression de trop dans une société qui s’est construite dans la perspective d’un élargissement continu des droits sociaux ».
On ne saurait mieux dire. Benedetti aurait pu ajouter que si les partis politiques français avaient vraiment rempli leur rôle essentiel d’éclairage des citoyens au lieu de se réfugier dans l’invective et l’incantation, on n’en serait probablement pas là.
Nous avons demandé leur avis à plusieurs baroudeurs de la politique marseillaise, Maurice Talazac (LR), Guy Nicolaï (ex-LR), Bruno Gilles (Horizons), Jean-Louis Geiger (RN), Jean-Marc Chipot (Debout La France) et Stéphane Durbec (Ex-RN, ex-LR et ex-Reconquête) qui ont bien voulu répondre aux questions du « Méridional ».
Maurice Talazac a longtemps été l’adjoint de Jean-Claude Gaudin après avoir été un des fondateurs du RPR à Marseille avec le docteur André Mattei. « Nous avons connu l’âge d’or des partis, estime-t-il. Ils étaient fondés sur plusieurs pôles : les idées, les militants, les électeurs et leur animation était relayée par des canaux d’information et des journalistes professionnels. Chacun de ces pôles s’est effondré. Et puis nous avions des partis qui s’incarnaient dans des leaders charismatiques, style Chirac ou Mitterrand. Tout était clair : libéraux contre marxistes. On n’en était pas encore au grand mélange idéologique. »
« Emmanuel Macron est socialiste, ajoute Talazac, il est arrivé en disant : je vais tout changer, avant moi il n’y avait personne. C’est le miroir symbolique de Sarkozy pour la droite. Modernisme, énergie, bobards, ils se ressemblent vraiment. Ils ont amorcé la décadence des convictions en faisant exactement le contraire de ce qu’ils avaient promis de faire. Je ne parle même pas de Hollande, un politicien d’une faiblesse insigne dont la présidence a été un désastre. Nous n’allions pas chercher dans la politique de quoi bouffer. Nous étions des militants de conviction. Tout ça, c’est fini. »
De fait, les grands hommes politiques ont disparu. Les grandes plumes de la presse ont disparu aussi. Les débats politiques ne rassemblent que des gens qui sont d’accord entre eux ou qui simulent des oppositions de façade. « Les partis sont des coquilles vides et ils ne demeureront que pour des opportunités de conjoncture dans des temps limités », souligne Maurice Talazac.
Pour lui, Renaud Muselier a compris cette évolution de la société et sa démarche régionale vise à s’assurer des majorités sur des sujets consensuels qui peuvent emporter l’adhésion du plus grand nombre. Il semble que Martine Vassal ait elle aussi épousé cette philosophie du pragmatisme politique en fuyant le pas cadencé des partis. « Le danger qui se profile à l’horizon, fait observer Talazac, ce n’est plus celui de l’homme providentiel, c’est celui du fanatisme et de la démagogie. Je vois se lever des Savonarole dans l’univers écolo-gauchiste : ils ont le culte religieux de la planète comme Mao et ses gardes rouges… »
« En ce qui me concerne, avoue Guy Nicolaï, ex-adjoint à la sécurité de Sabine Bernasconi dans le 1/7, je me suis retiré lorsque j’ai vu qu’ils partaient tous à la gamelle pour conserver leurs postes. Chacun crée sa petite association politique pour faire sa petite tambouille dans son coin. Nous, trois fois par semaine, avec Sabine on virait les clodos de la Canebière avec l’aide de la police municipale, les vendeurs à la sauvette on les chassait de Noailles et leurs babioles finissaient dans des camions bennes, on contrôlait les terrasses, les commerces, aujourd’hui c’est la catastrophe cette ville. C’est la débandade générale. La politique peut y être assimilée à une foire d’empoigne où chacun ne pense qu’à sauver sa peau… »
Bruno Gilles, lui, n’a pas perdu la main. Il regarde…l’horizon et le trouve plutôt dégagé. Gilles ne croit pas que le macronisme survivra à Macron et il sait que tout ce qui aura touché de près ou de loin à Emmanuel Macron sera carbonisé. Il s’est mis en réserve de la République pour 2027 en devenant le référent dans le sud d’Edouard Philippe, l’ancien Premier ministre qui avait ébloui les Français par ses explications sur le Covid.
« Les Républicains se sont disloqués, reconnait-il, Emmanuel Macron a attiré à lui les centristes et fait fuir les nationalistes, il n’y a plus d’espace politique viable pour les LR. Si le projet de réforme des retraites est adopté au parlement, il ne le sera que grâce à la division idéologique des oppositions et au renfort supplétif des LR. L’assurance-vie du macronisme réside dans la balkanisation pérenne de ses opposants… »
Pour Bruno Gilles, un parti qui n’a plus de chef charismatique est un parti condamné à mort…et depuis le départ de Sarkozy, les LR divaguent au fil de l’eau d’un petit chef à l’autre. « A Horizons, dit-il, nous avons un vrai chef qui sait ce qu’il veut pour la France, c’est un avantage. C’est un gaulliste social qui veut remettre de l’ordre dans la rue et dans les comptes publics. Le Covid a été mortifère pour les partis car nous n’avons pas pu tenir de permanences ni de réunions pendant des mois et cela nous a pénalisés. Les seuls qui parviennent à survivre sont ceux qui ont un tribun à leur tête : c’était le cas de Mélenchon, mais il a sombré dans le délire, c’est aussi le cas de Roussel, par exemple, qui a redonné des couleurs au PC ».
Ce qui chagrine aussi les vieux routiers de la politique, c’est de constater la prééminence de certaines « fraternelles » bleues ou roses qui ont beaucoup plus d’influence sur le pouvoir central ou municipal que les partis politiques car elles rassemblent sans le moindre scrupule des personnalités de tous les bords politiques.
Quant à Jean-Louis Geiger (ex-LR, conseiller régional RN), il pense que les partis se sont transformés en « clans » et qu’il faudrait promouvoir des hommes ou des femmes d’Etat en surplomb des bisbilles personnelles. Pour Geiger, « les fonctionnaires du parti communiste se divisent en deux catégories : les bons à rien et les prêts à tout. Voilà pourquoi le parti unique de l’union soviétique a été si fort si longtemps… »
L’Olympique de Marseille s’est une nouvelle fois imposé à l’extérieur. Les Marseillais ont réussi à faire tomber le Stade de Reims, jusqu’alors invaincu sous l’ère Will Still, en clôture de la 28e journée de Ligue 1. Balogun a d’abord ouvert le score avant qu’Alexis Sanchez ne renverse la match en première période avec un doublé. Au classement l’OM retrouve sa place de dauphin derrière le PSG.
Tops :
Alexis Sanchez en patron :
Véritable leader de son équipe, c’est lui qui a fait basculer la rencontre en faveur des Olympiens en première période grâce à un sublime doublé. D’abord sur un merveilleux coup-franc direct (16e) puis d’un face-à-face gagné contre Yehvann Diouf (29e). Le Chilien a été impressionnant dans le jeu grâce à sa technique et son intelligence. Il fut un danger permanent pour la défense Rémoise.
Pau Lopez de nouveau passeur décisif :
C’est en grande partie grâce à lui que le club phocéen a pu conserver son avance. Auteur de cinq parades, l’Espagnol a été brillant, ce dimanche soir. D’abord impuissant sur l’ouverture du score, le portier s’est vite remis d’aplomb en étant passeur décisif pour Alexis Sanchez (29e).
2 – Pau Lopez a délivré 2 assists en Ligue 1 2022/23, devenant le 1er gardien à compter plus d'une assist parmi les 5 grands championnats européens cette saison. Quarterback. #SDROMpic.twitter.com/uqik79RWFP
Un peu plus d’un mois après sa blessure face à Clermont, le défenseur était de retour dans le onze de départ. Un retour payant puisque Gigot a effectué une prestation plutôt convaincante. Au marquage de Falorin Balogun, le Marseillais ne l’a jamais laissé se retourner pour filer au but et a été excellent dans les airs. Solide physiquement, il n’a pas hésité à se projeter et aurait pu mettre l’OM à l’abri en fin de match (83e). Un vrai guerrier.
Les statistiques qui donnent le sourire :
8 – Marseille a remporté chacun de ses 8 derniers matches à l’extérieur en Ligue 1, seule une équipe étant parvenue à faire mieux dans l’histoire de l’élite : l’OM lui-même entre février et août 2009 (9). Voyageur. #SDROMpic.twitter.com/r0M6awUgD4
59 – Marseille compte 59 points après 28 matches de Ligue 1 2022/23, son plus haut total à ce stade d’une saison dans l’élite au 21e siècle. Rêveur ? #SDROMpic.twitter.com/3wH77zgsxS
Titularisé dans son couloir préférentiel, le Portugais a de nouveau été l’auteur d’une prestation peu aboutie. Plus calme qu’à son habitude le joueur n’a jamais rien offert et a été tout aussi mauvais offensivement que défensivement. Le latéral a encore une fois perdu énormément de ballon dans la rencontre (30).
Ruslan Malinovski peu inspiré :
Dans le dur depuis quelques semaines, l’Ukrainien a connu un match difficile. Inexistant offensivement il n’a touché qu’une vingtaine de ballons et a été dépassé dans les duels (27% de duels gagnés). Rapidement averti en première période, Tudor a logiquement décidé de le remplacer peu après l’heure de jeu par Ounahi.
Accroché à domicile par Strasbourg (2-2) dimanche dernier, l’Olympique de Marseille a grillé un précieux joker dans la course à la deuxième place de Ligue 1. Pour se rattraper les Marseillais devront s’imposer à Reims pour le compte de la 28e journée. Un déplacement compliqué chez l’équipe surprise de cette saison, huitième au classement à quatre points de la première place qualificative pour une coupe européenne.
1-Une série à faire tomber :
Les Marseillais devront être particulièrement appliqués pour faire tomber le Stade de Reims ce dimanche. Reims n’a perdu aucun de ses 18 derniers matchs de Ligue 1 (8 victoires, 10 nuls), soit la meilleure série en cours des cinq grands championnats européens. Depuis 2011-2012, hors PSG, seul Monaco a connu une série aussi longue dans l’élite (24 entre décembre 2016 et août 2017).
2-Une défense solide
Les Rémois restent sur cinq clean sheets de rang en Ligue 1, égalant le record établi en septembre-octobre 1946. Dans les cinq grands championnats européens, seul Liverpool est sur une aussi longue série actuellement. Le club champenois est également la 4ème meilleure défense de Ligue 1 avec 26 buts encaissés.
3-Un roc
Yehvann Diouf affiche un pourcentage de tirs arrêtés de 84.6% en Ligue 1 cette saison, soit le deuxième plus élevé parmi les gardiens du Big 5 à minimum 10 rencontres en 2022-2023 derrière Marc-André ter Stegen (85.5%).
4- Un roc avec ses faiblesses
Cependant, il est aussi celui qui a commis le plus d’erreurs amenant à un tir adverse en championnat sur la période (4), lui qui n’a perdu qu’un seul de ses 19 matchs avec Reims dans l’élite, contre… Monaco, le 18 septembre (0-3).
5-Rookie
17 – Will Still est le 2e entraîneur invaincu lors de ses 17 premiers matches dans les 5 grands championnats européens au 21e siècle, après Tito Vilanova avec Barcelone en 2012/13 (18). Invincible ? #ASMSDRpic.twitter.com/Lk2UgwVR4p
Pour la dernière journée de la World Cup, la France s’est encore inclinée. Une courte défaite face au Japon (18-15) avec un premier quart temps incroyable de la part des Nippons. Les Bleus quittent la compétition sans aucune victoire mais avec quelques certitudes sur lesquelles s’appuyer pour les JO 2024 à Paris.
La France a subi sa troisième défaite par trois buts d’écart dans cette World Cup. Les Bleus se sont inclinés face au Japon dans un match assez prolifique (18-15).
Les Français ont très mal débuté la rencontre puisque la victoire japonaise s’est construite sur l’un des quarts d’heure les plus prolifiques de l’histoire de la Coupe du monde (probablement), le Japon a pris une avance incroyable de 10-5 à la première pause. Cette avance a été renforcée par une deuxième période de deux buts. La troisième s’est soldée par un score de 8-4 pour un avantage inébranlable de 18-11 à la dernière pause. La France, qui a marqué le dernier but du troisième quart-temps, s’est ensuite distinguée en empêchant le Japon de marquer dans le dernier quart-temps, tout en inscrivant quatre buts, pour une défaite flatteuse de 18-15.
La pression française dans le dernier quart-temps s’est traduite par deux interceptions, deux arrêts de jeu, un tir manqué et deux pertes de balle pour le Japon. Le Japon n’était pas inquiet car l’écart était trop important pour que la France puisse égaliser, et encore moins gagner.