Le samedi 2 septembre aura lieu, Cours julien, la nouvelle édition de la braderie des commerçants du Cours julien. Cet événement revient avec de nombreuses nouveautés.
Une nouvelle dimension pour la braderie
Comme chaque année la braderie se tiendra de 10h à 19h, mais cette année, elle s’étend à de nouveaux secteurs. Les commerçants des quartiers de Vauban et Edmond Rostand vont pouvoir rejoindre l’événement, offrant ainsi aux Marseillais de nouveaux lieux pour dénicher la bonne affaire. Les rues concernées par la braderie incluent la rue de Rome, le Cours julien, rue Edmond Rostand, rue Francis Davso, rue Paradis, rue Grignan, rue Saint Ferréol et rue Vauban.
La journée sera rythmée par des animations musicales, avec la participation de collectifs de DJ et de danseurs. Ces petits concerts se tiendront au Cours julien, mais aussi rue de Rome et rue Paradis. Et pour prolonger les festivités, de 18h à 22h, les terrasses des restaurants du centre-ville s’animeront aussi musicalement, dans les rues Glandeves, Haxo, rue d’Aubagne, place de l’Opéra et place Lulli.
Des initiatives écocitoyennes
Au cœur de la braderie, un village écocitoyen sera installé place de l’Opéra. Des jeux pour enfants y seront proposés, ainsi que des ateliers ludiques, place du Général de Gaulle, axé sur la préservation de l’environnement. Comme depuis 3 ans, le SAMU social tiendra deux stands de collecte de vêtements en faveur des plus démunis, l’un sur la Place du Cours julien et l’autre sur la place Lulli.
Une nouvelle programmation musicale
La braderie du centre-ville de Marseille mettra à l’honneur une programmation musicale variée. En journée, il y aura trois scènes distinctes
- Le Soundssytem : Scène Afro-Caraïbes
- Le Barrio : Scène latino-américaine
- L’Original : Scène Hip-Hop et House
Informations pratiques
Pour faciliter l’accès à la braderie, de nombreuses rues seront réservées aux piétons. Le stationnement sera interdit du vendredi 1er septembre à partir de 19h jusqu’au samedi 2 septembre à 19h30. La ligne T3 du Tramway ne fonctionnera pas ce jour-là.
La rédaction